jeudi 30 mai 2019

La thérapie par le rire


Qu'est-ce que la thérapie par le rire?
Dès notre plus jeune âge, on rirait jusqu’à 300 fois par jour, sans raison, par pur plaisir. À l’âge adulte, ce serait moins de 20 fois par jour. Même si tous les chercheurs ne s’entendent pas sur ces données, il semble bien que l’école, le travail et les conventions sociales nous incitent peu à peu à devenir plus sérieux et à perdre notre capacité de rire spontanément. Dommage, car il est désormais démontré que l’humour et le rire sont excellents pour la santé, et constituent, entre autres, un bon antidote contre le stress.

Les grands principes
Le rire permet d’oxygéner l’organisme, de réduire les tensions musculaires, de masser les côtes en plus de faire travailler le diaphragme. Cela favorise entre autres l’élimination des résidus présents dans les poumons et augmente la capacité respiratoire. Il semble que le fait de rire - que ce soit drôle ou non - pourrait contribuer à soigner toutes sortes de problèmes.

Il ne faut pas croire que nous rions uniquement lorsque c’est drôle. Au contraire, cela ne serait le cas que 1 fois sur 10, selon le neurobiologiste Robert Provine. Cet auteur de plusieurs livres étudie les mécanismes du rire depuis de nombreuses années. Ses observations l’ont amené à conclure que le rire exerce avant tout une fonction sociale, ce qui pourrait expliquer en partie son importance dans l’équilibre psychologique des personnes.

Les bienfaits du rire sur la santé
Les gens qui ont un plus grand sens de l’humour sont moins ébranlés par les expériences stressantes. Ils ont plus tendance à les considérer comme des défis stimulants que comme des épreuves pénibles. En outre, ils ont en général une plus grande estime de soi et sont plus réalistes dans leur appréciation d’eux-mêmes. De nature optimiste, ils ont une vie sociale plus remplie. Mais, l’auteur fait remarquer qu’il est difficile de déterminer avec précision si ces états favorables résultent du sens de l’humour ou si ce ne sont pas plutôt ces états qui permettent d’aborder la vie avec humour.

Rod Martin souligne aussi que l’humour peut également être utilisé de façon malsaine. Il peut servir d’échappatoire ou de mécanisme de défense inconscient pour fuir ses problèmes ou éviter de les affronter de façon constructive, ou encore pour dénigrer les autres.

Dans une autre synthèse d’études, publiée en 2001, le professeur Martin rend compte des théories les plus documentées qui pourraient expliquer les effets bénéfiques du rire et de l’humour.
  • En générant des émotions positives puissantes, le rire et l’humour entraîneraient des effets analgésiques et un renforcement de l’immunité.
  • Voir la vie avec une attitude humoristique permettrait de réduire le stress et donc d’améliorer indirectement la santé.
  • Les individus ayant un plus grand sens de l’humour seraient mieux adaptés socialement et plus « séduisants », ce qui augmenterait leurs chances d’être en santé — ce n’est pas une blague.
 La thérapie par le rire en pratique

Comment rire?
Bref, rire et développer son sens de l’humour, c’est bon pour la santé physique, mentale et émotive. Mais comment y parvenir si on n’est pas, au départ, d’un naturel « guilleret »? On peut, bien sûr, suivre une psychothérapie ou s’initier aux approches de développement personnel pour avoir davantage d’humour afin de mieux affronter la vie et les événements « malheureux ». Une façon plus directe est de participer à un Club de rire, ou de faire du Yoga du rire!

Il est bien plus amusant de se rendre à une séance de rire, aussi appelée Yoga du Rire ou Rigolotherapie. L’effet de groupe amplifie le rire et la chaleur qui en émane fait chaud aux cœurs.

Déroulé d'une séance
La séance se déroule sur une heure environ avec des exercices d’échauffement, puis l’animateur donne les règles : prendre soin de soi, se regarder dans les yeux, participer, personne ne peut rester assis à regarder. En faisant semblant de rire, finalement on arrive à rire voir même attraper un fou-rire. Le rire c’est bon pour le moral et pour le corps, alors on se déplace aussi dans la salle. Chaque séance se termine par une relaxation guidée pour accueillir les derniers rires.

Le rire à l'hôpital
Norman Cousins a été le premier, en 1964, à expérimenter « scientifiquement » une thérapie par le rire. En utilisant la pensée positive et le rire, il s’est guéri d’une maladie arthritique très douloureuse, considérée comme irréversible. Il a fait connaître à la communauté médicale et au grand public les résultats de son expérience dans un article publié dans le New England Journal of Medicine en 1976. Trois ans plus tard paraissait son succès de librairie Anatomy of an Illness. Sa méthode consistait essentiellement à visionner des films comiques aussi souvent qu’il le pouvait et à consommer de la vitamine C en très grande quantité. Il a constaté que chaque visionnement de 30 minutes lui procurait 2 heures de repos sans douleur. Après 6 mois de ce traitement, il était complètement rétabli.

Vers la même époque, au début des années 1980, vêtu d’un habit de clown, le Dr Patch Adams - personnifié au cinéma par Robin Williams - commençait à soigner ses patients en utilisant le rire et l’humour comme des instruments thérapeutiques. Aujourd’hui, dans des hôpitaux un peu partout à travers le monde, les patients peuvent bénéficier de la présence de clowns thérapeutiques ou de clowns professionnels. Au Canada, l’organisme Dr Clown visite ainsi chaque semaine des hôpitaux et des centres hospitaliers de soins de longue durée (CHSLD) de Montréal, Québec et Toronto. Les clowns-docteurs cherchent entre autres à diminuer la crainte de l’hospitalisation ressentie par les jeunes patients et la solitude vécue par les personnes âgées. En 2008, Dr Clown a ainsi réalisé plus de 30 000 interventions, qu’il nomme joliment « prescriptions de tendresse ».

Aussi, dans certains hôpitaux, des médecins se déguisent et s’amusent avec de faux instruments de travail - par exemple, un stéthoscope qui laisse échapper des bulles de savon - afin de créer une plus grande complicité avec les patients, en particulier les enfants. Des hôpitaux disposent aussi d’une salle de rire pour les adultes, où ils peuvent visionner des films drôles, lire des livres et des bandes dessinées ou écouter des enregistrements humoristiques. Des programmes qui se servent de l’humour et du rire s’adressent également aux professionnels de la santé afin de les aider à affronter les exigences de leurs fonctions.

Contre-indications de la thérapie par le rire
L’humour et le rire peuvent, a priori, paraître dépourvus d’effets secondaires. Pourtant, certaines précautions s’imposent. Par exemple, chez des personnes paranoïdes, gravement malades ou en soins palliatifs, l’humour doit être utilisé avec précaution, car il pourrait être mal interprété.

De plus, avant de participer à une séance de rire comme celles qui se déroulent dans les clubs du rire, on conseille d’obtenir l’avis d’un médecin dans les cas suivants : descente d’organes (de vessie par exemple), glaucome, hernie abdominale, hypertension artérielle, hémorroïdes actives, troubles cardiaques, après une chirurgie abdominale, et durant une grossesse à risque.

Histoire de la thérapie par le rire
Déjà au début du XXe siècle, Freud affirmait que l’humour permet à l’humain de démontrer son refus de se laisser abattre par la souffrance, d’affirmer l’invincibilité de son moi et de faire triompher le principe du plaisir - tout cela en demeurant sain d’esprit! À partir d'une synthèse d'études réalisée en 1996, le professeur Rod Martin, un spécialiste du rire de l’Université Western Ontario au Canada, a conclu que d’envisager la vie avec humour ou la prendre « avec un grain de sel » aurait des conséquences bénéfiques mesurables sur la santé psychologique et émotive.

Les Clubs de rire ont été créés en Inde par le Dr Madan Kataria en 1995. On en compte aujourd’hui au-delà de 6 000, répartis dans plus de 60 pays. Dans un Club de rire, chacun expérimente le rire en groupe, sur une base régulière, pour son plus grand bien. Toutes sortes d’exercices visent à stimuler sa propre capacité à rire, à relaxer et à se libérer de ses inhibitions. Le tout permettrait de cultiver sa santé et d’adopter une attitude plus positive et plus joyeuse envers la vie. Des instructeurs enseignent la technique aux personnes qui veulent mettre un club sur pied. Les séances de rire se déroulent en groupe, le plus souvent le matin, pour commencer la journée du bon pied. On retrouve une liste des clubs à travers le monde sur le site Laughter Yoga du Dr Kataria et un répertoire pour l’Europe francophone sur le site Club de Rire.

L'avis du spécialiste
Souvent les personnes qui vivent isolées, pour des raisons de divorce, deuil ou tristesse, cherchent des moyens de se reconnecter à un groupe. Le rire étant un excellent moyen de respirer, se sentir radieux et de remettre son corps et sa vie en mouvement, je l’indique souvent comme un moyen d’aller mieux rapidement. Beaucoup de thérapeutes, médecins et personnel soignants exposés à des récits de vie triste, sont privés des bénéfices du rire.

De nombreuses vidéos gratuites de séances de rire étant disponibles, je les propose à mes clients. Certains rejoignent aussi le festival du yoga du rire qui se tient à Dourdan chaque année. J’interviens en entreprise ou dans des centres de yoga le week-end à la demande.

Les bénéfices sont immédiats : meilleure humeur, souplesse, sensation de se sentir reconnecté à la vie est au monde.

Source : https://www.passeportsante.net/fr/Therapies/Guide/Fiche.aspx?doc=rire_th

12 trucs pour vaincre sa timidité


Une fois qu’on se reconnaît comme « timide », il est possible de devenir moins craintif du jugement des gens pour pouvoir mieux profiter de leur compagnie. Mais comment faire? Voici quelques conseils donnés par des ex-timides et lus sur l’excellent site timidité.info.

Relever de petits défis

Pour modifier une attitude que l’on a, on n’en sort pas, il faut s’exercer à agir autrement. Dans le cas de la timidité, on pourrait s’affirmer davantage dans une situation qui normalement nous fait fondre ou fuir. Lors d’une rencontre : dire bonjour en regardant la personne dans les yeux, sourire, passer un commentaire sur le beau ou le mauvais temps (avoir une conversation légère), etc. Ce qui importe, c’est d’accumuler les petites victoires. Pensez que chaque fois que vous vivez un succès, votre cerveau l’enregistre et se prépare pour un autre. Autre défi : lancer une invitation!

Ne pas viser trop haut

Cela dit, ne soyez pas trop ambitieux ou sévère avec vous-même. Faites un pas à la fois vers l’affirmation de soi, et réjouissez-vous des petits changements plutôt que de viser trop haut et de risquer d’être déçu des résultats.

Parler

Au lieu de garder pour soi le fait qu’on se sent timide, il vaut mieux en parler avec nos proches, ceux qui nous connaissent bien, mais aussi avec les gens qu’on côtoie régulièrement. S’ouvrir aux autres sur une part de ce qu’on est et de ce qu’on vit est déjà un acte de « détimidisation ».

Changer la direction d’une caméra imaginaire

Un des problèmes avec la timidité est qu’on focalise une caméra sur soi. On croit que tout le monde s’intéresse à nous. Or, comme le dit Mme Deschâtelets, « les gens nous observent et nous analysent beaucoup moins qu’on a tendance à le penser ». En orientant une caméra imaginaire sur les gens qu’on rencontre ou même sur le lieu où l’on se trouve, on peut cesser de se centrer sur soi et son malaise.

Un micro

On peut aussi remplacer cette caméra imaginaire par un micro (tout aussi imaginaire). On dirige ce micro vers son interlocuteur : on lui pose une question, on obtient une réponse qu’on écoute, on pose une autre question... Il s’agit de porter son attention sur l’autre. Un bénéfice : vous ferez plaisir à la personne avec laquelle vous êtes en vous intéressant à elle.

Un ballon

Avant et pendant une situation intimidante, pensez à bien respirer. Imaginez que votre ventre est un ballon. Lentement, vous le gonflez, le dégonflez, le gonflez, le dégonflez... La posture importe aussi. Sans être tendus, vos épaules et votre dos sont droits. Relevez la tête, ne penchez pas trop vers l’avant : les timides ont tendance à vouloir se rapprocher du plancher.

Imaginer l’autre

Dans une situation malaisante, imaginez la personne avec qui vous vous trouvez toute nue ou... au petit coin. Elle deviendra moins intimidante.

La boule de papier

Sur une feuille de papier, faites un dessin qui représente votre timidité. Ce peut être un visage timide ou une représentation de vous, penaud ou penaude. Ce n’est pas grave si vous dessinez mal, il s’agit simplement de symboliser votre gêne sur une feuille de papier, de prendre cette feuille, de la froisser et de la jeter dans une poubelle ou de la brûler.

Un autre acte psychomagique

Inspirons-nous d’Alejandro Jodorowsky. En situation où vous devez par exemple parler en public, vous pourriez porter une ou des médailles sous votre chandail qui vous donneraient une sensation de pouvoir. Tout objet qui, pour vous, symbolise l’affirmation de soi, la réappropriation de votre pouvoir et votre protection fera l’affaire.

Se donner un rôle

Vous êtes invité à une fête et cela vous terrorise! Une solution consiste à être occupé : vous rendez service, vous faites quelque chose. En agissant, on a moins de temps pour penser à sa gêne. À retenir : la personne qui aide à desservir la table est toujours appréciée.

Des idées dans la poche

Je crois moins à celui-là, mais le voici quand même : écrivez sur deux ou trois cartons des idées de sujets de conversation. Ce sera aidant si vous avez la crainte de n’avoir rien à dire.

Attention aux étiquettes

Un des problèmes avec la timidité est l’étiquette que l’on porte quand on se décrit comme tel. En se disant timide, on se programme pour le futur. En particulier avec les enfants, il est important de ne pas les affubler d’une telle étiquette. Un enfant discret ou réservé, s’il est dit « timide », continuera de porter ce rôle à bout de bras alors qu’il n’est peut-être pas en fin de compte si timide que ça. De même, nous, adultes, pouvons-nous délivrer de certains rôles qu’on nous a donnés ou qu’on a empruntés. Il s’agit en somme de retrouver une part de son pouvoir personnel.

Source : https://www.journaldemontreal.com/2018/01/27

jeudi 23 mai 2019

L’argent ne fait pas le bonheur : l’histoire qui change mes pensées


Si vous n’êtes pas d’accords avec cette pensée, cet article vous convaincra. Comme vous le savez, beaucoup de personnes (comme moi aussi d’ailleurs) se tuent à rechercher des solutions pour gagner plus d’argent. Parfois elles oublient les choses les plus importantes de la vie et passent à côté des moments de bonheur. Mais le saviez-vous? l’argent ne fait pas le bonheur; du moins pas toujours… Je ne vais pas vous mentir, j’ai aussi penser que l’argent faisait le bonheur, plus précisément il joue un grand rôle.

Aujourd’hui, j’ai reçu un message d’un de mes amis qui m’a prouvé que l’argent ne fait pas le bonheur. Il m’a convaincu que nous devrions savoir accorder du temps à sa recherche mais surtout on doit donner des priorités aux choses importantes de la vie. Accorder du temps à ce qui nous rend plus heureux. Pourquoi l’argent ne fait pas le bonheur? Voici l’histoire qui résume tout.

Un jour, un homme revenant du travail très tard, fatigué et agacé trouva son fils de 5 ans, à l’entrée de la porte.
Le fils lui demanda : « Papa, je peux te poser une question? »
« Qu’est-ce que c’est? » répondit l’homme.
« Papa, combien tu gagnes par heure? »
« Ce n’est pas ton problème… Pourquoi une question pareille? » répondit l’homme, d’une façon agressive.
« Je veux juste savoir. S’il te plaît dit moi ce que tu gagnes en une heure de travaille Papa. »
« Tu sais quoi, je gagne 20 $ par heure! » Répondit l’homme.
« Ah! C’est bien Papa. » répondit le garçon, avec sa tête vers le bas.
« Papa, prête-moi seulement 10 $ s’il te plaît. » Ajouta le garçon.
Le père était furieux, « C’est pour cette raison que tu demandais cela, penses-tu que c’est comme ça que tu peux gagner de l’argent pour acheter des jouets? Vite va au lit dans ta chambre. »
Le garçon restant silencieux, entre dans sa chambre et ferme la porte. L’homme assis devient de plus en plus nerveux sur les questions de l’enfant. Comment ose-t-il poser ce genre de questions justes pour gagner de l’argent? Une heure plus tard, l’homme se ressaisit et se dit : Peut-être qu’il avait vraiment besoin d’acheter quelque chose avec ces 10 $ et après tout ce n’est pas dans ses habitudes. L’homme se dirigea vers la chambre du gamin et ouvrit la porte.
« Tu dors, mon fils? » demanda l’homme.
« Non papa, je suis éveillé », répondit le gamin.
« Je pense que j’ai été trop dur avec toi mon fils… j’ai eu une journée très dure et je me suis déchargé sur toi. Voici les 10 $ que tu as demandés. »
Le petit tout souriant s’écria … « Oh, merci papa! »
L’homme a vu que le gamin avait déjà de l’argent, et commença à se fâcher de nouveau. Le garçon comptait son argent doucement, puis regarda son père.
« Pourquoi voulais-tu plus d’argent si tu en avais déjà? » Demanda le père.
« Papa, c’est parce que je n’en avais pas assez. » Répondit le gamin.
« Papa, maintenant j’ai 20 $. Puis-je acheter une heure de ton temps? S’il te plaît prends les 20 $, rentre à la maison une heure plutôt demain. J’aimerais souper avec toi. » J’ai besoin de toi papa et tu me manques assez souvent.

Le père a été brisé. Il vient de comprendre que l’argent ne fait pas le bonheur de son enfant. Il vient de comprendre qu’il pourrait passer un peu plus de temps avec son fils qui a besoin de lui.

C’est juste un petit rappel à tous ceux qui travaillent dur dans la vie. Nous ne devons pas la laisser (la vie) filer entre les doigts sans avoir passé un temps, ou une partie de ce temps avec ceux qui en ont vraiment besoin, ceux qui sont proches de notre cœur.

Dans certains cas comme celui-ci, l’argent ne fait pas le bonheur… mais dans un autre cas comme celui-ci, l’argent peut faire le bonheur. Ne l’oubliez pas.
N’oubliez pas de partager ces 20 $ (la valeur d’une heure de votre temps) avec quelqu’un que vous aimez.

Si on meurt demain, la société pour laquelle nous travaillons, pourrait facilement nous remplacer dans les prochaines heures. Mais la famille et les amis que nous avons laissés derrière sentiront la perte pour le reste de leur vie.

Même si l’argent ne fait pas le bonheur, vous devez en gagner pour vivre : c’est la seule valeur que l’argent a. Il existe de nombreuses solutions pour gagner de l’argent passivement en prenant du vrai plaisir avec vos proches. Vous pouvez simplement baisser vos heures au bureau et lancer un travail à domicile histoire d’être plus proche de votre famille et gagner de l’argent pour vivre avec eux.

Si vous êtes touché et que vous pensez aussi que l’argent ne fait pas le bonheur, partagez cette publication pour aider à sauver des relations entre enfant et parent. De nombreux enfants souffrent de l’absence de leurs parents qui travaillent dur pour se faire des revenus complémentaires.

Source : https://www.buziness24.com

Le respect de soi et des autres


Le respect de soi et des autres commencent d'abord dans la façon que l'on communique. Le secret de la vraie communication, c'est de le faire avec sincérité. Que ce soit dans un cadre professionnel ou en famille, si nous ne sommes pas sincères dans nos paroles, qu'est-ce que cela montre? Tout simplement que nous ne les respectons pas.

Comment considérez-vous les gens dans votre vie? Chaque jour, nous croisons des centaines d'individus et nous ne les voyons pas. C'est normal, car notre vie moderne ne nous permet de nous concentrer que sur quelques personnes. Mais les personnes qui comptent dans notre vie, comment les considérons-nous?

Être sincère... un choix gagnant. Parler à son interlocuteur et lui dire un contenu qui est vrai, c'est la façon la plus honnête de respecter l'autre ainsi que soi-même.

10 conseils pour gagner le respect des autres

Respectez les autres

Le respect marche dans les deux sens... Si vous n'avez jamais rencontré quelqu'un vous manquant de respect, je vous invite à penser à une personne envers qui vous n'êtes pas respectueux en ce moment. Il y a de fortes chances que vous trouviez au moins une personne... Plutôt que de vous focaliser sur le manque de respect des autres envers vous, travaillez à être respectueux avec ceux que vous traitez pauvrement. Cela vous aidera à avoir de meilleurs rapports et échanges dans vos relations avec les autres.

Traitez-vous avec respect

C'est drôle comme beaucoup cherchent le respect des autres sans pour autant se respecter soi-même... Avant d'aller chercher le respect chez les autres, respectez-vous comme il se doit. Traitez-vous avec attention et respect. Est-ce que vous vous aimez intégralement et inconditionnellement? Vous vous offrez ce dont vous avez besoin : suffisamment de sommeil, alimentation saine, exercice, repos, lecture, loisirs et passe-temps...? Des moments pour vous Si vous ne vous respectez pas, vous ne pouvez pas espérer gagner le respect des autres.

Commencez par vous aimer. L'amour des autres viendra par la suite.

Ne médisez pas

Que ce soit dans un cadre professionnel ou social, médire n'est jamais approprié. Vous ne gagnerez certainement pas le respect des autres de cette façon. Peut-être aurez-vous l'impression de faire partie d'une bande si vos relations font de même. Mais n'y a-t-il pas d'activité plus intéressante et gratifiante? Si vous n'êtes pas satisfait de quelqu'un, de ce qu'il fait, parlez-lui en face. Ne parlez pas derrière son dos. C'est ce genre de comportement qui attire les ragots et la négativité. Non seulement celui-ci nuit à l'autre personne, mais il nuit aussi et surtout à votre réputation. Si vous vous retrouvez dans une conversation où médisance et ragot vont bon train, mettez-vous en retrait et n'y participez pas. L'idéal est même de quitter les lieux, mais cela n'est pas toujours possible. De plus, n'allez pas colporter vous-même ce que vous avez pu entendre à ce moment-là. Soyez honnête et transparent dans vos communications.

Soyez bon à ce que vous faites

Ne vous laissez pas arrêter par de mauvaises critiques ou par vos échecs. Ce n'est pas toujours facile lorsqu'on manque de confiance en soi. L'important est d'en tirer parti. Apprenez, posez des questions, pratiquez avec assiduité, implication et régularité. C'est grâce à l'expérience et l'amélioration constante que vous deviendrez meilleur et gagnerez le respect des autres.

Honorez ce que vous dites

Personne n'aime les personnes malhonnêtes ou peu fiables. Une personne respectée est avant tout honnête dans ses relations et communications et fiable pour faire ce qu'elle s'est engagé. L'intégrité est l'une des plus grandes valeurs humaines. Veuillez toujours respecter et honorer vos engagements, voire à faire mieux que promis.

Comportez-vous correctement

Avoir un comportement adéquat n'améliorera pas nécessairement le regard des autres à votre égard. Toutefois, vous comporter à l'opposé vous amènera les foudres de vos relations et vous isolera sûrement. Cela inclut d'être bien habillé et bien élevé, en utilisant un langage approprié et en respectant un minimum l'étiquette sociale. Dire « bonjour » en arrivant et « au revoir » en partant est toujours apprécié, de même qu'un honnête « merci » à bon escient.

Soyez ouvert aux critiques

Contrairement à ce qu'on pourrait croire, être respecté ne signifie pas « ne pas être digne de critiques ». En fait, être respecté tient plus de comment vous réagissez aux critiques. Vous recevrez forcément des critiques. Il ne s'agit pas de rejeter les critiques, mais d'être capable de les gérer gracieusement. Les gens respectent celui qui est capable de gérer une réaction négative et de la transformer en quelque chose de positif.

Soyez vous-même

Affirmez-vous ! Il vaut mieux une version originale de vous-même que la réplique exacte de quelqu'un d'autre. Bien sûr, si vous êtes trop original ou excentrique, les autres vous regarderont bizarrement. Mais ceux qui font preuve d'originalité et affirment leur style attirent le respect. Trop de gens essaient d'être quelqu'un d'autre. Et en définitive, ils n'ont pas vraiment d'identité propre. Découvrez qui vous êtes et ce que vous représentez.

Levez-vous pour ce que vous croyez

Avez-vous déjà rencontré des personnes qui sont simplement d'accord avec tout ce que disent les autres? En fait, ces personnes sont lassantes; discuter avec elles est inutile, car elles sont juste toujours en accord et n'ont pas d'avis tranché. La plupart des gens ont plus de respect pour quelqu'un qui n'est pas d'accord et qui le dit courtoisement, que quelqu'un qui n'est qu'un simple perroquet. De même, c'est en ayant votre propre opinion et un esprit critique que vous pourrez mériter le respect des autres.

Soyez un modèle

Les actions parlent bien plus que les mots. Soyez un modèle par vos actes. Ne courrez pas après le respect. Vous le gagnerez en prêchant par l'exemple. La personne la plus respectée est celle qui inspire les autres.

Source : http://www.entrainsm.org/motrespect.shtml

jeudi 16 mai 2019

Activité mensuelle de l'APPAMM-Estrie

Source : Diane Beaulieu, conseillère pédagogique au PVS

Document ajouté sur le PARTAGE

Comité Santé et sécurité

-  Compte rendu du 8 avril 2019

jeudi 9 mai 2019

D'où provient l'expression...


C’est de valeur

Cette expression est synonyme de fâcheux, qui est dommage.

C'est une expression qui provient des amérindiens. Dans leurs conversations avec les canadiens, ils utilisaient souvent des réponses concises. Lorsqu'une situation était importante et nécessitait de réfléchir aux pours et aux contres, ils répondaient que « la chose est de valeur ». Du moins c'est ainsi que les interprètes français le traduisaient. Avoir de la valeur, qui mérite d'être réfléchi en opposition à ce qui ne vaut rien. Par cette expression, l'Amérindien voulait faire entendre poliment à son interlocuteur que ses propos sont dignes d'intérêt, mais qu'il ne veut pas s'engager tout de suite à une réponse. Puisque souvent c'était relié à des choses tristes, l'expression a pris le sens de fâcheux, dommage.
Le Comte de Frontenac, gouverneur de la Nouvelle-France, dans une lettre adressée à la cour de France le 20 octobre 1691, parle d'une escarmouche avec les Iroquois où ces derniers perdirent quarante-cinq hommes. « Cet échec qui était de valeur pour eux, pour me servir de leurs termes, parce que parmi leurs morts, il y avait de leurs principaux chefs, les ralentit beaucoup ».


Ça prend pas la tête à Papineau

Cette expression fait référence à quelque chose qui ne demande pas une grande intelligence.

La tête à Papineau fait référence à Louis-Joseph Papineau. Il s'agit d'un politicien célèbre et reconnu pour sa grande intelligence. Il a notamment mené les Patriotes durant la rébellion de 1837.


Le diable est aux vaches

Cette expression trouve son origine dans le milieu rural, elle était utilisée lorsqu'un fermier voyait son troupeau s'agiter ou ses bêtes particulièrement nerveuses. En temps d'orage ou avant une tempête par exemple. L'expression a ensuite été réutilisée à l'intérieur des maisons lorsque l'ambiance est tendue. Dans les cadres familiaux ou entre amis, lorsque les tensions sont palpables et les crises de nerfs sur le point de se déchaîner, on peut s'exprimer : « Le diable est aux vaches! »


Passer un sapin

Expression qui signifie « se fait avoir », « se faire arnaquer », biaiser, duper, tromper.

Cette expression tire son origine du sapin baumier (utilisé presque exclusivement pour les sapins de noël) qui a une très faible valeur marchande car il ne résiste pas au temps et fini par sécher et se fissurer. Lorsqu'on achète du bois (de construction par exemple), on cherche souvent du bois résistant et noble comme le pin ou l'épinette, on ne souhaite pas se retrouver avec quelques planches de sapin, d'où l'expression « se faire passer un sapin ».


Avoir des croûtes à manger

Lorsque quelqu'un dit « j'ai des croûtes à manger », cela veut dire qu'il a encore de l'expérience à acquérir.

Au début de la colonisation, et durant des générations, la vie était rude dans les campagnes. Et la nourriture n'était pas abondante, il ne fallait donc pas faire de gâchis et finir son assiette. Ainsi, l'enfance était marquée par des expressions comme « finis ton assiette! », « mange, sinon pas de dessert! », et le fameux « mange tes croûtes! ». Il s'agissait de manger les tranches de pain en entier, sans laisser les croûtes. Il fallait donc manger ses croûtes pour devenir grand et fort. Ainsi, « manger ses croûtes » ou « avoir des croûtes à manger » veux maintenant dire qu'il faut encore travailler fort, apprendre à la dure, pour progresser et prendre de l'expérience.


Se faire prendre pour une valise

Cette expression vient du fait qu'une valise se laisse remplir passivement de tout ce qu'on veut bien y mettre. Et si on est pas une valise, on ne se laisse donc pas bourrer le crâne de n'importe quelle histoire invraisemblable sans broncher. « Avoir une poignée dans le dos » est également une autre expression ayant la même signification que « Se faire prendre pour une valise ».


Source : http://www.je-parle-quebecois.com/lexique/definition/expression-quebecoise.html

Pourquoi même les adultes continuent de bouder?


Se fermer comme une huître, faire la tronche, bouder… Si cette tendance est fréquente dans l’enfance, certains adultes n’en sortent pas. Pourquoi?

« Pourquoi tu fais la gueule? Qu’est-ce que j’ai dit? Qu’est-ce que j’ai fait? » Ces questions, les conjoints de personnes boudeuses les posent plus souvent qu’à leur tour. Tout va bien, l’ambiance est joyeuse, et hop, d’une minute à l’autre, la personne que vous avez en face de vous se ferme. Parfois, elle restera dans le mutisme pendant des heures… voire des jours!

Un trait qui ne s’estompe pas avec l’âge

Si ce trait de caractère est fréquent dans l’enfance et l’adolescence – avec les bras croisés, les sourcils froncés et la bouche en cul-de-poule – il devrait disparaître ou du moins s’estomper à l’âge adulte. Mais de nombreuses personnes gardent ce pli, qui s’avère déstabilisant pour l’entourage. On peut excuser un enfant boudeur car il est en plein développement. Avec un adulte, c’est moins évident!

« Je boudais souvent quand j’étais ado, et ce fonctionnement est toujours là, constate Caroline, 40 ans. Je le fais principalement avec mon ami. Je m’éloigne et je ne lui parle plus, j’utilise tous les signes qui lui feront comprendre que je ne suis pas contente. Et ce n’est pas toujours facile à désamorcer! Dans le fond, ce serait à moi de m’exprimer. Ce serait plus constructif. Mais c’est une émotion que je n’arrive pas à verbaliser ».

Pour le Dr Nicolas Belleux, psychiatre et psychothérapeute, le fait de bouder est un mécanisme de défense. « La personne a été touchée de plein fouet dans ses valeurs, sa fierté. C’est si douloureux qu’elle n’a d’autre choix que de se replier sur elle-même ».

Face à un mur

Exemple : prenez une personne au chômage qui doit trouver un nouvel emploi. Cette démarche l’angoisse, elle va donc avoir tendance à tout faire pour éviter la confrontation avec une situation difficile. À la fin de la journée, son conjoint lui demande : « Alors? T’as cherché du boulot? » Confrontée à la réalité froide et pragmatique, la personne va se fermer comme une huître, alors que la principale responsable, c’est elle! Explique le psychiatre. Le boudeur souffre car il est obligé de regarder ses angoisses en face. Mais avouer une angoisse et demander de l’aide est souvent surhumain. Résultat : le conjoint qui a posé une question banale se retrouve face à un mur.

Le mur. C’est le mot fort utilisé par Louis, marié depuis 50 ans avec une épouse à tendance boudeuse. Comment a-t-il géré ces accès de mutisme, dont un qui a duré deux semaines? « La seule façon c’est de la laisser tranquille et d’attendre qu’elle remonte petit à petit. Le reste ne marche pas, que ce soit la plaisanterie ou l’énervement. »

Pour certains, un paravent d’émotions

Pour le Docteur Belleux, ce type de comportement peut réveiller d’autres angoisses et engendrer une spirale infernale. Il relève également un aspect manipulateur dans ce fonctionnement. Tant que la personne boudeuse ne prend pas la responsabilité de ses actes, elle ne va pas s’en sortir. Mais idéalement, pour débloquer la situation sur le moment, le conjoint – car oui, celui-ci est une cible privilégiée! – devrait prendre sur lui, respirer, et clarifier sa pensée. « Je sais que ce sujet te tracasse, je ne veux pas te blesser, je suis là pour toi, etc. » Bref, enfiler une bonne paire de gants. Ce qui n’est pas donné à tout le monde!

« Caroline avoue faire la tronche sur le fait de ne pas avoir raison. Et ça me fâche ». Elle qualifie ce trait de caractère comme étant son « paravent d’émotions ». Aujourd’hui, elle parvient de temps en temps à se raisonner, à stopper le processus.

Avec les années, ferait-on moins facilement « la pote » selon l’expression 100% helvétique? Malheureusement non. Ou du moins, rien à voir avec le temps qui passe, mais plutôt avec une prise de conscience, selon les conséquences de la bouderie. Au bout d’un moment, le conjoint en aura marre de se trouver face à une huître et menacera de partir. Ce qui créera un électrochoc, assure le psychiatre. Louis, qui aime sa moitié telle qu’elle est, même après un demi-siècle de bouderies régulières, n’a qu’un conseil : « Il faut juste se dire que ça ne va pas durer »!


Source : https://www.letemps.ch/opinions

jeudi 2 mai 2019

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'établissement

-  Procès-verbal du 11 février 2019


Mise à jour

-  Organigramme 2018-2019

Prix d'excellence de la CSRS pour Mario Roy



Enseignant en réfrigération depuis 25 ans, Mario Roy est un ambassadeur de la formation professionnelle par ses valeurs et son charisme. Il est animé par un désir de trouver des solutions et de faire avancer les choses. Il aime dire qu’il vient s’amuser, plutôt que travailler. Passionné par son métier de frigoriste et sa profession d’enseignant, monsieur Roy fait avancer son département en tissant des liens avec les entreprises du domaine et en s’assurant que les élèves aient la meilleure formation avant de rejoindre le marché du travail. La notoriété de la formation dépasse l’Estrie, car même les entreprises de Laval ou de Québec demandent nos élèves. Responsable du département depuis 10 ans, il a participé à la rédaction du dernier programme au Ministère et, avec ses collègues, il organise une compétition locale, où des entrepreneurs voient les élèves qui se dépassent et se démarquent dans un domaine en évolution. Mario est en amélioration continue, même après tant d’années. Membre du comité CNESST ou de la table de travail du projet éducatif, il a le département de réfrigération et le Centre 24-Juin tatoués sur le cœur.

Mobilisé et engagé, monsieur Roy met son énergie à la réussite des élèves. Sa disponibilité n’a aucune limite lorsqu’il s’agit de faire du renforcement ou de la récupération.

Désireux de faire évoluer ses élèves avec les nouvelles technologies, ses partenariats avec l’industrie de la réfrigération sont importants pour le département, mais surtout pour leurs apprentissages. Il organise tous les deux ans une visite enrichissante au salon Climatex et au Biodôme, afin que les élèves puissent découvrir et comprendre comment fonctionnent les installations permettant de recréer différents biotopes. Attentif et à l’écoute de ses élèves, son objectif est de les emmener le plus loin possible, en mettant en place des stratégies pour les aider s’ils ont des difficultés, en les guidant dans une réorientation s’ils ne veulent plus poursuivre leur formation ou en les accompagnant vers l’excellence, comme en témoigne la médaille d’argent récoltée aux provinciales des Olympiades des métiers il y a quelques années. Mobilisateur et rassembleur, cet enseignant aime travailler en équipe, et instaurer une rigueur et une ambiance de travail toujours dirigée vers la réussite scolaire. Selon ses dires, Mario Roy fait le plus beau métier du monde. Nous pouvons affirmer qu’il le fait avec passion et conviction, et que son professionnalisme a un impact significatif sur la réussite des élèves.


Félicitations, Mario Roy, pour ce prix d’excellence de la CSRS!

Source : Éric Marceaux, directeur adjoint par intérim à l'unité 1