jeudi 27 mai 2021

Les sept merveilles du monde

Un groupe de jeunes gens étudiait en géographie les 7 merveilles du monde. À la fin d'un cours, le professeur demande aux étudiants de faire une liste de ce qu'ils croient être les 7 merveilles du monde.



Sauf quelques désaccords, les étudiants écrivent pour la plupart sur leur copie :

1.    Les pyramides d'Égypte;

2.    La grande muraille de Chine;

3.    Le Taj Mahal en Inde;

4.    Les statues de l'Île de Pâques;

5.    La tour Eiffel à Paris;

6.    Le Colisée de Rome;

7.    La statue de la Liberté à New York.

Tout en recueillant les réponses, le professeur aperçoit une jeune fille bien tranquille qui n'a pas encore commencé sa réponse, alors, il lui demande gentiment si elle éprouve quelque difficulté à rédiger cette liste.

La jeune fille lui répond : « oui, en effet, je ne peux vraiment pas me décider, il y en a tellement ».

Le professeur de lui répondre : « Dis-moi ce que tu as trouvé, et je pourrai peut-être t'aider ».

La jeune fille hésite, puis commence à écrire :

1.    Voir;

2.    Entendre;

3.    Toucher;

4.    Sentir;

Elle hésite encore un peu puis continue avec :

5.    Courir;

6.    Rire;

7.    Aimer.

Comme c'est facile de regarder les exploits humains et de les considérer comme des merveilles, tandis que nous ne voyons même plus la grandeur de ces cadeaux si merveilleux qui nous ont été donnés gratuitement. Nous avons même tendance à les qualifier de « très ordinaires ».

Nous pourrions peut-être faire une petite pause aujourd'hui et nous rappeler combien ces cadeaux de vie sont vraiment de Grandes Merveilles.

Source : https://www.academia.edu/21024449/Les_histoires_qui_vous_remontent_le_moral

Défi d’une rosette de viande de 100 pieds le 2 juin au PVS

 













Depuis plusieurs années, différents centres de formation professionnelle à travers le Québec ont établi des records de rosette de viande géante. Si la première n’avait que 16 pieds, elles se sont rapidement allongées, pour atteindre 56 pieds par notre Centre de formation professionnelle. Ce record a été battu par une épicerie de Joliette, qui en a fabriqué une de 77 pieds.

Cette année, nos élèves en boucherie tenteront d’assembler une rosette de 100 pieds. Ce mercredi 2 juin, à compter de 11 h, vous pourrez nous visiter au Pavillon du Vieux-Sherbrooke pour discuter avec nos étudiants de leur expérience. Des portions individuelles seront mises en vente au comptoir de boucherie de notre école. Nous espérons que vous viendrez en grand nombre encourager nos élèves.

Source : Johanne Braun, agente de bureau au PVS

jeudi 20 mai 2021

LES REGRETS : Obstacles ou moteurs pour mieux avancer?

 

Chaque année, quand mon anniversaire approche, c’est la même chose.

Immanquablement, je vois quelques vieux regrets resurgir. Comme des invités plus ou moins bienvenus qui se joignent à la fête.

L'ajout d’une année à mon compteur m’amène à réfléchir à celle qui vient de passer. C’est le temps d’un court bilan personnel. Tantôt, je suis plutôt fière. Tantôt, quelques choix m’écorchent un peu.

 

« Un regret est lié à quelque chose qui est derrière nous, explique Christine Grou, présidente de l’Ordre des psychologues du Québec. C’est comme si l’on regardait dans le rétroviseur. On voit la route qu’on a parcourue, les choix qu’on a faits, notre tracé. Ensuite, il faut utiliser le tout pour continuer d’avancer. C’est l’occasion de réfléchir à notre situation actuelle et de déterminer le chemin qu’on veut emprunter ensuite ».


Vivre sans regret est quasi impossible. Et ce n’est pas le but à poursuivre. Même s’il est parfois désagréable, le regret agit souvent comme catalyseur de changements. « D’abord, on en détermine la cause. Est-il lié, par exemple, à notre mode de vie, à notre façon d’être en couple, à notre carrière, à nos relations? Ensuite, pour le transformer en quelque chose de positif, on choisit entre réparer en partie ce qui s’est passé ou en tirer des leçons pour l’avenir », estime la psychologue. 

 

J’ai vu réapparaitre mes regrets avec le confinement et le bouleversement de mes repères. Pas un tsunami, mais une vague assez forte pour que je songe à chambarder de tout bord tout côté les différents pans de ma vie. Je me suis morfondue, un peu en proie à de grands élans de « Est-ce que je veux continuer comme ça pendant des années? », « Et si j’avais choisi un autre métier? », « Et si l’on avait déménagé́? », etc.

 

Valérie Gosselin, psychologue, constate : « La vie nous oblige à faire toutes sortes de choix. Nous avons tous une nature profonde, et l’on refoule cette part de nous. Mais il arrive que, dans certaines situations, tout ce qu’on a enfoui remonte à la surface. On constate alors qu’on n’a peut-être pas écouté́ la petite voix qui nous criait d’être nous-mêmes ».

 

La ronde des « et si » est à éviter, car elle nous force à faire du surplace au lieu d’avancer. « Et puis, il faut se remettre dans le contexte de l’époque où l’on a dû faire ces choix! Finalement, il y a assurément des choses positives que l’on vit présentement qui ne se seraient pas produites si l’on avait fait les choix que l’on regrette aujourd’hui », nuance Valérie Gosselin.

 

Exactement ce que fait Véronique, 35 ans : « J’ai toujours voulu être médecin, mais j’ai opté pour une autre profession de la santé qui m’a permis d’être sur le marché́ du travail trois ans après la fin de mon secondaire.


Comme technologue en imagerie médicale, je gagne bien ma vie, je m’accomplis, mais être à l’hôpital tous les jours me rappelle que je ne suis pas médecin. Cela ne me pourrit pas la vie, mais, parfois, c’est plus intense, comme le jour où j’ai réalisé́ que le nouveau radiologiste en poste était plus jeune que moi. Ça m’a sauté́ au visage : ç’aurait pu être moi. Ces 12 ans de scolarité́ qui me faisaient si peur auraient été derrière moi, et mon plus grand rêve commencerait.

 

Cette prise de conscience m’a toutefois poussée à changer quelque chose. J’ai suivi des formations, afin de poser plus d’actes médicaux de façon autonome et j’ai intégré des équipes multidisciplinaires pour relever de nouveaux défis. Quand ce regret revient, je m’efforce aussi de voir les avantages de mon choix de carrière par rapport aux inconvénients de la médecine, car les médecins aussi ont des insatisfactions. Ça m’aide à atténuer le sentiment de ne pas être totalement sur mon X ».

 

Voir un regret comme un moteur qui propulse le changement nous permet justement de ne pas tout balayer de notre passé. Qu’est-ce que j’ai appris dans mon parcours qui peut être utile ou qui va me permettre de mieux apprécier ma prochaine trajectoire?

 

Un tel malaise signifie qu’un changement est nécessaire. On ouvre les yeux et, tout à coup, on remarque un petit sentier : on bifurque ou l’on poursuit comme avant? La décision est nôtre! Personnellement, j’avance en tremblant un peu, mais en disant : « Ciao, mes regrets! Voilà une nouvelle chance »!


PAR NADINE DESCHENEAUX

Source : https://www.coupdepouce.com/vie-perso/psychologie/article/les-regrets-obstacles-ou-moteurs-pour-mieux-avancer

La médaille du Lieutenant-Gouverneur du Québec pour une élève d'Esthétique










Claudel Chabot a su se démarquer tout au long de ses études DEP en Esthétique par sa gentillesse, sa douceur, son attitude positive, et sa sensibilité.

Elle est un exemple de persévérance et de détermination pour les gens qui l’entourent. Elle propage le bonheur et la joie de vivre partout où elle passe. Cette médaille est amplement méritée. On est très fière de toi!

Crédit photo : Megan Buzzell (élève, DEP esthétique) 

Maquillage réalisé par : Sabrina Lapierre et Anne-Sophie Dubé (élèves, DEP esthétique)

Source : Annick Carrière, responsable de la promotion

jeudi 13 mai 2021

La leçon du papillon

Un jour, apparut un petit trou dans un cocon.

Un homme, qui passait là par hasard, s’arrêta, et durant de longues heures, observa le papillon qui s’efforçait de sortir par le petit trou.

Après un long moment, le papillon semblait avoir abandonné, et le trou demeurait toujours aussi petit.

On aurait dit que le papillon avait fait tout ce qu’il pouvait, et ne pouvait plus rien tenter d’autre.

Alors l'homme décida d'aider le papillon. Il prit un canif et ouvrit le cocon. Le papillon sortit aussitôt.

Mais son corps était maigre et engourdi; ses ailes étaient peu développées et bougeaient à peine.

L'homme continua à observer le papillon, pensant que, d'un moment à l'autre, ses ailes s'ouvriraient et qu'elles seraient capables de supporter son corps pour qu'il puisse enfin s'envoler.

Hélas, il n'en fut rien! Le papillon passa le reste de son existence à se traîner par terre avec son maigre corps et ses ailes rabougries. Jamais, il ne put voler.

Ce que l'homme, avec son geste de gentillesse et son intention d'aider, ne comprenait pas, c'est que le passage par le trou étroit du cocon, était l'effort nécessaire pour que le papillon puisse transmettre le liquide de son corps à ses ailes, de manière à pouvoir voler. C'était le moule à travers lequel la vie le faisait passer pour grandir et se développer.

Parfois, l'effort est exactement ce dont nous avons besoin dans notre vie.
Si l'on nous permettait de vivre notre vie sans rencontrer d'obstacles, nous serions limités. Nous ne pourrions pas être aussi forts que nous le sommes. Nous ne pourrions jamais voler.

J'ai demandé la force... Et la vie m'a donné des difficultés pour me rendre fort.

J'ai demandé la sagesse... Et la vie m'a donné des problèmes à résoudre.

J'ai demandé la prospérité... Et la vie m'a donné un cerveau et des muscles pour travailler.

J'ai demandé à pouvoir voler... Et la vie m'a donné des obstacles à surmonter.

J'ai demandé l'amour... Et la vie m'a donné des gens à aider dans leurs problèmes.

J'ai demandé des faveurs... Et la vie m'a donné des potentialités.

Je n'ai rien reçu de ce que j'avais demandé... Mais j'ai reçu tout ce dont j'avais besoin.

Vis la vie sans peur, affronte tous les obstacles et démontre que tu peux les surmonter.

Source : http://sesouvenirdesbelleschoses.eklablog.com/la-lecon-du-papillon-a114151224 

18 fleurs comestibles à découvrir

Manger des fleurs est devenu une réelle tendance culinaire, ce n’est pourtant pas né d’hier! Cette pratique remonte à l’antiquité et au Moyen Âge où l’on en retrouvait souvent au menu.

Les fleurs comestibles peuvent ravir nos papilles autant que nos pupilles. Colorées, elles apportent de la gaieté et des saveurs surprenantes dans nos assiettes. Elles sont aussi souvent très nutritives. Elles doivent toutefois être plus utilisées en tant que condiment que comme aliment. En effet, certaines sont de telles bombes parfumées qu’une petite quantité suffit. D’autres sont à consommer avec modération… comme pour tout!

LA CAPUCINE

La Capucine (Tropaeolum majus) forme un tapis de fleurs de mai jusqu’aux premières gelées. Sa saveur poivrée évoque celle du cresson. Elle est riche en vitamine C. Entières ou ciselées, les 
fleurs et les feuilles se mangent en salade de préférence crues afin de préserver les vitamines. Les boutons floraux peuvent être utilisés marinés à la manière des câpres. Les graines, encore vertes, pourront être parsemées dans les salades. Elles rappellent la saveur du radis.
Parties consommées : boutons, fleurs, feuilles et graines.

Utilisation : salade, infusion, décoction.


LA BOURRACHE

Les fleurs étoilées de la Bourrache (Borago officinalis) sont très décoratives. On les récolte d’avril jusqu’aux gelées. Elles ont un goût iodé alors que les feuilles rappellent la saveur acidulée du concombre. Mais il faut les consommer avec modération du fait de sa forte teneur en alcaloïdes. Les fleurs peuvent également servir à confectionner des glaçons très originaux.
Parties consommées : fleurs et jeunes feuilles.
Utilisation : fleurs (ôtez les pédoncules) et feuilles crues ciselées en salade (enlevez les parties les plus coriaces), feuilles en soupe, tisane.

L'HÉMÉROCALLE OU LYS D'UN JOUR

Chaque fleur d’Hémérocalle (Hemerocallis) ne dure qu’un jour mais elles se renouvellent tout le mois de juillet. Certaines espèces sont à privilégier comme « fulva »’ dont les pétales sont croquants et savoureux ainsi que « Buttercup » qui est très goûteuse. Les boutons, les jeunes pousses et les fleurs se consomment cuits ou crus en salade. Les tubercules se préparent comme les pommes de terre.
Parties consommées : boutons, fleurs, jeunes pousses et tubercules.
Utilisation : salade, soupe, farci, glacé, friture.

LA PENSÉE

Les Pensées (Viola) ont saveur douce et sucrée. Crue, cette cousine de la violette agrémente joliment les salades et décorent les pâtisseries. Elle est en fleurs du printemps à la fin de l’automne. Notez que certaines variétés, comme « Tasty » ont même été sélectionnées pour leurs qualités gustatives.
Parties consommées : fleurs (ôtez le pédoncule amer).

Utilisation : salade, parfume beurre et crème, sirop, décore les gâteaux.

LE SOUCI

Le Souci (Calendula officinalis) ne sert pas que pour la cosmétique. Il se cueille dès le début du printemps et ce jusqu’aux gelées. Son parfum rappelle le safran et en fait un bon substitut. N’hésitez pas, parsemez une poignée de pétales frais dans vos salades. Séchés, ils colorent les gâteaux et le riz. Les boutons peuvent être confit dans du vinaigre.
Parties consommées : boutons et fleurs.
Utilisation : salade, soupe, beurre, sauce, boisson, biscuits.



LA ROSE

Les pétales de Rose, séchés aromatisent le thé. Cristallisés dans du sucre, ils décorent les gâteaux. On peut confectionner des confitures et des gelées très appréciées avec les pétales et les fruits.
Parties consommées : fleurs et fruits (les cynorrhodons).

Utilisation : thé, cristallisé, confiture, sirop, gelée, eau de rose.


LE PELARGONIUM

Et oui, le « Géranium » ou Pélargonium (P. fragrans, P. graveolens, P. crispum, etc …) se mange. Les feuilles des espèces les plus parfumées sont infusées. L’été, les fleurs crues agrémentent les salades. Elles peuvent être cristallisées pour décorer les gâteaux.

Parties consommées : fleurs et feuilles.

Utilisation : salade, confite, eau de fleurs, cristallisé, confiture et gelée, tisane.

LA LAVANDE

La Lavande vraie ou dite officinale (Lavandula angustifolia ou officinalis) est elle aussi comestible mais elle doit être utilisée avec parcimonie car son parfum puissant l’emportera sur tout autre saveur.
Parties consommées : fleurs, feuilles en aromate.

Utilisation : infusion, glace, pour aromatiser du sucre, desserts, salade de fruits, cristallisé en décoration.


L'OEILLET D’INDE

L’Oeillet d’Inde (Tagetes tenuifolia, Tagetes lucida, Tagetes patula, etc…) fleurit au printemps et en été. C’est un bon compagnon pour les tomates mais pas seulement : son parfum d’agrumes est très rafraîchissant dans les salades.
Parties consommées : fleurs.
Utilisation : salade, tisane, beurre, confit, limonade.



LES COURGES ET COURGETTES

Les fleurs de courges et courgettes, nos chères cucurbitacées, peuvent être cueillies. Il vaut mieux apprendre à distinguer les mâles (lisses, sans renflement à la base) des courges femelles, sous peine de vous priver de leurs fruits. Elles supportent bien la cuisson. Aussi, vous pouvez les farcir avant de les passer au four ou en faire les fameux beignets du pays niçois.
Parties consommées : fleurs mâles (tige fine, non renflée).

Utilisation : salade, beignets.



LA MAUVE

La Mauve (Malva moschata et sylvestris) nous offre de belles fleurs en été. Elles ravissent nos yeux mais aussi nos papilles : crues, elles agrémentent les salades ou cristallisées, décorent les pâtisseries.
Parties consommées : fleurs.

Utilisation : salade, confite, cristallisé.




LE TOURNESOL

Les pétales du Tournesol (Helianthus annuus) ont une la saveur douce et miellée, délicieuses dans les salades d’été. Les graines se consomment grillées ou torréfiées. Les boutons floraux pourront être cuits à la vapeur ou en gratin.
Parties consommées : boutons, graines et pétales.

Utilisation : salade, cuit.



L'HIBISCUS

La floraison de l’Hibiscus (H. syriacus) se renouvelle tout l’été, conférant au jardin une belle note exotique que vous retrouverez si vous prenez le temps d’en confectionner un sirop qui parfumera délicieusement les salades de fruits.
Parties consommées : fleurs.

Utilisation : infusion, sirop.



LES DAHLIAS

Les Dahlias sont les stars incontestables de l’été. Ils égaient le jardin et les abords du potager, à juste titre car ils se mangent. Ses pétales crus en salade ont une saveur plus ou moins amère ou sucrée selon la variété (il vous faudra goûter au préalable). Ils parfument aussi les soupes de légumes.
Parties consommées : fleurs.

Utilisation : salade, soupe.




L'AGASTACHE

L’Agastache (A. rugosa mais également les variétés horticoles comme « Blue Fortune ») est une vivace très appréciée dans les massifs. Ses feuilles exhalent une saveur et un parfum plus ou anisée suivant les variétés. Elles peuvent être ajoutées aux salades, fraîches ou séchées, et confère une note agréable aux préparations.
Parties consommées : fleurs et feuilles.

Utilisation : salade, sauces, gâteaux, thé.



LA MONARDE

La Monarde (Monarda) produit, en été, des fleurs légèrement sucrées avec un arrière-goût de menthe et de bergamote. Ses feuilles fraîches s’utilisent en cuisine : ciselées, elles aromatisent les salades. Attention, son parfum est intense, utilisez-la avec modération pour qu’elle ne masque pas les saveurs des plats.
Parties consommées : fleurs et feuilles.
Utilisation : salade, crème, salade de fruits, cristallisé, sirop, épice.



LES SAUGES

La floraison des Sauges (Salvia officinale, Salvia patens et autres sauges parfumées) intervient en été ou à l’automne pour la délicieuse Sauge Ananas (Salvia elegans). Les fleurs et les feuilles de cette dernière agrémentent les salades de fruits et parfument les gâteaux.
Parties consommées : fleurs et feuilles.
Utilisation : infusion, salade, gâteaux, salade de fruits.




LA GLYCINE

La Glycine tubéreuse ne détient pas le monopole de la comestibilité : la Glycine « classique » (Wisteria sinensis), qui illumine le mois de mai, se consomme également. Les fleurs détachées des grappes sont parsemées crues dans les salades, ce qui est très décoratif. Elle est tout aussi savoureuse en beignets… mais attention, seules les fleurs se mangent : tout le reste de la plante est toxique.
Parties consommées : boutons et fleurs (le reste de la plante est toxique).

Utilisation : salade, beignets.


OÙ TROUVER CES FLEURS COMESTIBLES?

QUELQUES PRÉCAUTIONS

Nos jardins recèlent bon nombre de plantes comestibles, il suffit de les connaître et d’y faire un tour en saison propice pour revenir avec un petit panier garni. Rappelons néanmoins une règle de bon sens essentielle : ne mangez que les fleurs dont vous êtes absolument sûr de l’identité.

Si vous venez d’acheter une plante, attendez au moins un mois avant de la consommer, pour que les engrais présents se dissipent. Préférez toujours des plants issus de l’agriculture biologique. Attention, ne vous risquez pas à consommer les fleurs des fleuristes conventionnels : elles sont parfois traitées avec des produits de conservation très toxiques.

L’idéal, vous le comprendrez aisément, c’est de les cultiver vous-même, dans votre jardin, sans engrais chimique et sans pesticide, bien sûr!

Si vous vivez en ville, sans jardin, sachez que les herboristeries et épiceries vendent des fleurs ou des feuilles séchées destinées aux infusions ou à la décoration. Des fleurs fraîches peuvent être disponibles en barquettes sur certains marchés et magasins spécialisés (parfois à des prix astronomiques, je préfère vous prévenir).

Mettez de la couleur dans votre assiette, mangez des fleurs!

Source : https://www.promessedefleurs.com/conseil-plantes-jardin/ficheconseil/18-fleurs-comestibles