mercredi 31 mars 2021

Pourquoi et comment s’épanouir en 9 étapes

 













Parce que s’épanouir est gage de bonheur, mais aussi de prospérité, non seulement pour soi, mais aussi pour la société. Une personne épanouie l’est dans son rôle de parent, de conjoint, de travailleur ou d’entrepreneur. À sa façon, elle contribue tout autant au mieux-être de sa famille qu’à celui de la société.

S'épanouir, stagner ou se dégrader!

En grandissant, un arbre peut s’épanouir, mais également stagner ou encore se détériorer. Tout comme un individu. Comme le bon vin, certains s’améliorent avec le temps tandis que d’autres régressent et tournent au vinaigre avec les années.

« Mon conjoint était charmant, drôle et plein de projets, mais depuis des années, il s’éteint petit à petit. Il a 50 ans​​ et j’ai l’impression qu’il en a 90. En fait, mon père a plus de vitalité que lui. » - Suzanne

L’épanouissement se veut plus qu’un simple succès d’affaires ou professionnel. On peut dire que la personne épanouie est celle qui devient ou qui travaille à devenir ce qu’elle a le potentiel d’être. Elle utilise ses talents pour faire un travail qui a du sens pour elle, en plus de participer au mieux-être des gens qui l’entourent. Le travail et le rôle de parent sont deux véhicules importants pour l’épanouissement d’un individu.

Quelles sont les caractéristiques d’une personne qui s’épanouit? ​​ 

En fait, chacune d’entre elles possède dans l’ensemble de certaines caractéristiques communes. Voici comment​​ reconnaître et adopter les caractéristiques de l’épanouissement​​ en 9 étapes :

1.    Être en mesure de tolérer l’incertitude

Pour aller de l’avant, il faut accepter de tolérer l’incertitude et concevoir que l’on trouvera les ressources pour faire face aux exigences de la vie.

 

2.    S’accepter soi-même et accepter les autres

Nous avons toutes et tous des qualités et des défauts, les autres aussi. On peut certes tenter de s’améliorer, mais on ne peut néanmoins avoir la prétention de changer les autres.

3.    Se concentrer sur les solutions aux problèmes et non sur soi

En l’occurrence, la victimisation n’améliore en rien notre vie. Elle ne fait somme toute que nous enlever notre pouvoir d’agir. Nous avons peu de contrôle sur les événements externes, mais nous seuls pouvons déterminer notre façon d’y réagir.

 

4.    Faire preuve d’humour

Être capable de rire de soi est un bon indicateur d’une saine santé psychologique et d’une bonne estime de soi.

 

5.    Savoir être créatif

Créer, développer et innover sont pour la plupart des gestes qui exigent de sortir de notre zone de confort.

 

6.    Résister aux contraintes culturelles

Il existe d’autres façons de penser et s’initier à d’autres cultures est source d’ouverture et d’acceptation. ​​

 

7.    Reconnaître et être reconnaissant des petites choses de la vie

La gratitude est un facteur clé dans l’épanouissement.

 

8.    Améliorer la qualité de ses relations interpersonnelles

Développer et entretenir des relations profondes et satisfaisantes avec un nombre restreint de personnes, contrairement à beaucoup de relations superficielles. Nouer des liens significatifs avec des gens est aussi un gage de bonheur.

 

9.    Regarder la vie avec une perspective plus objective

N'être ni trop pessimiste, ni trop naïf. Voir la vie de façon réaliste permet davantage d’y faire face et de mieux s’y adapter. 

Maintenant que nous connaissons les caractéristiques des gens qui s’épanouissent, nous pouvons décider de choisir une de ces caractéristiques et d’y travailler. Comme entrepreneur ou gestionnaire, il est souhaitable, même nécessaire, d’offrir un lieu aux employés pouvant davantage contribuer à leur épanouissement. Ils seront plus productifs et heureux. La meilleure façon de réussir dans un domaine est de côtoyer ceux qui ont réussi, de les écouter, et d’observer leur façon de faire, d’être et de penser. Sachez mettre toutes les chances de votre côté. Recherchez la présence de ceux qui pour vous réussissent à s'épanouir. Parce qu'après tout, tout le monde veut être heureux!

Source : https://pierrettedesrosiers.com/pourquoi-et-comment-sepanouir-en-9-etapes/

 

Ajout d’un deuxième lab. mobile à la disposition de tous les enseignants au Pavillon central

Bonne nouvelle!

Un deuxième lab. mobile a été ajouté, même procédure pour faire la réservation dans Outlook.

Vous trouverez la procédure dans le

P:\ C170\Tous\Procédures.

Les noms sont :

  • 170 - Lab. Mobile 24-juin
  • 170 – Lab. Mobile #2 24-juin
Source : Dany Girard, technicien en informatique

jeudi 25 mars 2021

Dépendance au rire





















« Je suis en manque! J’ai besoin de ma dose de rire! »

 

Nous sommes à la recherche, consciente ou inconsciente, de gens qui respirent la joie de vivre, qui ont le rire facile, qui ont le sourire communicatif. Tout ça, c’est de l’amour. Remarquez que le mot « humour » se rapproche merveilleusement du mot « amour ». C’est l’amour que nous cherchons et nous le retrouvons dans l’humour, du moins l’humour sans méchanceté. Cette forme d’humour se moque des évènements et des situations et non des personnes. Cette nuance est très importante, surtout en milieu de travail ou à l’école. L’humour peut représenter une arme très féroce, voire devenir un prétexte facile pour quelqu’un de sournois et méchant qui dira : « Ben voyons, c’est une blague! Tu n’as pas le sens de l’humour! » Lorsque vous entendez une phrase de ce genre, vous vous dites peut-être : « En fait, je l’ai, mais cela dépend toujours de l’intention derrière le gag et toi, je sens que c’est mesquin! » Si c’est ce que vous ressentez, n’hésitez pas l’exprimer.

 

Je vais souvent à un petit café-boulangerie pas loin de chez moi. Les commis les plus souriants qui travaillent derrière le comptoir sont les plus prisés par les clients. Ces derniers désirent se faire servir par eux, parce qu’ils savent qu’un sourire, un rire franc, un gag ou un compliment les attend. L’humain carbure à cette énergie. Ce jeu commence dès notre plus jeune âge, alors qu’on se fait promener des doigts chatouilleurs sur le ventre ou qu’une grimace amicale tente de nous faire sourire. Réussir à faire rire un enfant, c’est valorisant. C’est la vie qui nous fait un joli clin d’œil. C’est l’expression efficace de la vie dans toute sa simplicité et dans toute sa beauté.

 

L’être humain accepte les chatouillements physiques de quelqu’un qu’il connait, il lui donne cette permission. C’est une question de confiance et de complicité. Vous laisseriez-vous chatouiller par un inconnu qui se présente face à vous dans le métro et qui entreprend une session de « guili-guili »? Bien sûr que non; l’humour demande un état de disponibilité, que ce soit par le biais de chatouillements physiques ou psychiques.

 

Combien de fois vais-je sur Youtube pour revoir mes vidéos préférées qui me font pouffer de rire. Je connais les gags, je les appréhende et lorsqu’ils arrivent, je ris autant que la première fois… ou presque! J’aime revoir Chaplin, Mr. Bean, les monologues de mes confrères humoristes québécois ou les numéros irrévérencieux des standups américains. J’adore revoir du slapstick, des bébés qui rient, des capsules de caméras cachées. Je suis un junkie du rire! Je veux partager mes trouvailles avec mon entourage. J’envoie des liens. D’autres m’envoient les leurs. C’est également là qu’on réalise que ce n’est pas tout le monde qui possède le même genre d’humour… Certains de mes amis continuent de m’envoyer leurs trucs, mais je ne les regarde plus. La « sélection naturelle » d’humour s’effectue. C’est normal! Nous n’aimons pas tous le même genre d’humour.

 

Le rire est bon pour la santé physique, mentale, émotionnelle et spirituelle. Les recherches scientifiques le prouvent.

 

Il y a des gens qui s’empêchent de toucher à cette drogue naturelle qu’est le rire, de peur que, sous son effet, la contraction des muscles de leur visage ne leur donne des rides. Avant de rendre votre dernier souffle sur cette planète, dites-moi le plus sérieusement du monde que vous serez fiers de dire que vous n’avez pas une ride parce que vous n’avez jamais ri… Ce serait absurde! J’aime mieux avoir un visage ridé de bonheur qu’un visage fermé, sans aucune trace de joie. Je vous garantis que si vous ne riez jamais, votre visage ridera aussi sérieusement, comme le postérieur d’un éléphant!

 

Source : Patrick Tremblay, humoriste-conférencier-formateur

  

Est-il possible de se pardonner?

Se pardonner est l'un des meilleurs cadeaux que l'on puisse se faire tout au long de sa vie. Il nous apportera la paix et contribuera grandement à notre équilibre émotionnel. Dans cet article, nous vous montrons comment faire.

Se pardonner n’est pas une tâche facile : cela demande de l’humilité, de la patience, une profonde compassion et un amour inconditionnel de soi. Cependant, il est essentiel que nous apprenions à le mettre en pratique si nous voulons vraiment être en paix avec nous-mêmes et avec les autres.

La plupart d’entre nous ont fait des erreurs tout au long de leur vie, car cela fait partie de notre expérience de vie. Nous aurions aimé agir différemment, et nous pensons que si nous avions une nouvelle opportunité, nous procéderions différemment.

Ne pas savoir fixer de limites au travail ou dans une relation, être excessivement soumis ou agressif, agir de manière égoïste ou faire quelque chose qui nuit aux autres, sont autant de situations qui peuvent nous amener à ressentir un grand malaise sous forme de culpabilité ou de ressentiment envers nous-mêmes.

Est-il inapproprié de se sentir coupable?


La culpabilité est un mécanisme d’action fondamental dans notre apprentissage. Elle guide notre conscience et impose des limites qui nous montrent si nos motivations et nos comportements sont appropriés ou non. Selon le théoricien de la personnalité Erik Erickson, nous développons ce sain sentiment de culpabilité dès l’âge de trois ans.

Si nous ne le développons pas et si nous n’avons pas intériorisé un code éthique et moral, nous pouvons avoir de nombreuses difficultés dans nos relations avec les autres. En effet, l’absence de culpabilité est l’une des principales caractéristiques des psychopathes.

Ainsi, se sentir coupable lorsque l’on a mal agi est un bon indicateur. Cela signifie que nous sommes conscients que nous avons fait quelque chose de mal. Et c’est cette émotion qui peut nous amener à faire amende honorable, soit en présentant des excuses, soit en prenant une autre mesure qui résout le problème.

Le problème se pose lorsque nous nous sentons coupables d’actions ou de décisions prises dans le passé, et que nous laissons quelque chose qui s’est déjà produit nous tourmenter encore et encore, entrant ainsi dans un cercle vicieux. Cette boucle ne nous permet pas de vivre pleinement dans le présent et nous lie à un passé non résolu.

Que signifie se pardonner?


Se pardonner ne signifie pas justifier un comportement inapproprié ni cesser d’éprouver des remords. Cela signifie que nous devons reconnaître les émotions négatives que cela génère en nous et, même ainsi, décider qu’elles perdent de leur force dans notre présent.

Le pardon est un processus progressif, il ne se fait pas d’un seul coup, surtout si l’acte à pardonner est complexe. Il y aura des gens qui mettront des années à guérir complètement leurs blessures alors que pour d’autres, ce sera plus facile.

Pour se pardonner, il est nécessaire de changer notre perception de la situation que nous avons vécue. Nous devons donc nous donner la permission d’aller de l’avant et de surmonter ce qui s’est passé, en vivant le présent en paix et en nous ouvrant à un avenir sans douleur.

Se pardonner signifie aussi surmonter les résistances au changement, car il est souvent plus facile de se sentir coupable que d’oser laisser derrière soi l’autocritique et la douleur.

Phases du pardon

Se pardonner est un processus composé des étapes suivantes :

1.    Reconnaître la vérité : pour se pardonner, il faut être honnête avec soi-même. Si nous               avons fait quelque chose de mal, il vaut mieux ne pas se tromper.

2.   Assumer la responsabilité de ce qui s’est passé : tous les actes ont des conséquences, il   vaut donc mieux être courageux et faire face à ce que cela implique.

3.   Entrer en contact avec les sentiments les plus profonds qui ont motivé ce comportement :   savoir ce qui nous a amené à agir ainsi est une bonne chose pour éviter de répéter la   même erreur à l’avenir.

4.   S’ouvrir aux sentiments sans se juger soi-même : l’acceptation de notre imperfection jouera un rôle clé à ce stade. Accepter ce qui s’est passé est la base pour pouvoir guérir.

5.  Guérir les blessures émotionnelles : il faudra pour cela laisser l’autocritique faire place à la compassion envers soi-même.

6. S’aimer sans condition : cela signifie s’accepter dans sa totalité, avec ses dons et ses vertus, mais aussi avec ses défauts et ses erreurs. Dans cette dernière phase, s’aimer et se pardonner sont fondamentalement la même chose.

 

Stratégies pour se pardonner

Pour des raisons pratiques, il existe des actions qui peuvent nous aider à nous pardonner plus rapidement. Examinons quelques exemples :

S’excuser : s’excuser est un grand pas en avant si vous avez blessé quelqu’un, consciemment ou inconsciemment. Mais il doit s’agir d’excuses profondes et sincères. Elles doivent également être sans attente, car demander le pardon ne signifie pas que l’autre personne nous pardonne immédiatement. Cela facilitera notre processus de guérison et peut-être celui de l’autre personne.

Partager l’expérience : expliquer à quelqu’un nos erreurs peut nous aider dans le processus de libération de la culpabilité. Nous pouvons, par exemple, en parler à un ami qui nous apportera de la sécurité émotionnelle et une certaine acceptation. Une autre solution possible est de suivre une thérapie avec un spécialiste pour nous aider à gérer nos émotions.


Écrire : une autre option très valable est d’expliquer dans une lettre tout ce que nous voudrions dire à l’autre personne. Cela nous permettra de mettre de l’ordre dans nos pensées et nos émotions et de libérer une grande partie de la douleur. En fonction de la situation, nous déciderons si nous donnons notre lettre à l’autre personne ou si cela fait partie de notre guérison.

Soigner notre enfant intérieur : la méditation est un outil très puissant qui peut faciliter le pardon. Entrer dans un état de relaxation et communiquer avec notre enfant intérieur blessé, lui donner toute la sécurité et l’amour inconditionnel dont il a besoin, nous aidera à nous réconcilier avec notre passé.

Réflexions finales

 

Comme pour les autres types de pardon, se pardonner est un processus. C’est un chemin que nous suivons en laissant derrière nous la douleur pour nous ouvrir à vivre un présent et un avenir sans souffrance.

 

Nous devons apprendre à accepter qu’à chaque étape de la vie, nous procédons selon notre degré de conscience. Si nous n’avons pas agi correctement dans le passé, c’est probablement parce que nous ne savions pas comment faire mieux.

 

Et c’est précisément dans le processus de guérison que nous nous rendons compte que nous ne sommes plus dans la phase où nous avons commis une erreur, et que grâce à cette erreur nous avons pu évoluer. Cela devrait nous permettre d’avancer de manière plus légère et plus compatissante jusqu’à ce que nous soyons en paix avec nous-mêmes.


Source : https://amelioretasante.com/est-il-possible-de-se-pardonner/ 

jeudi 18 mars 2021

10 astuces pour reconnaitre une vieille âme













Bien que le temps ne soit pas comptabilisable dans l’invisible, il est toujours possible de mesurer la durée d’existence de votre âme. Après tout, vous n’êtes pas le premier corps physique qu’elle expérimente et il est normal d’être curieux quant à l’âge que peut bien avoir votre conscience. S’il est difficile de dater précisément le nombre d’année, décennies, siècles d’existence de votre âme, il est toutefois possible de savoir si vous êtes une vieille âme ou un nouveau-né du siècle dernier. Voici 10 astuces pour connaitre l’âge de votre âme. 

Astuce n° 1 : la solitude

La solitude ne vous effraie pas? Elle vous permet même de vous ressourcer? Bonne nouvelle! Vous n’êtes pas l’ermite grincheux que veulent vous faire croire vos amis, mais bien une vieille âme qui n’a pas besoin d’agitation sociale autour d’elle pour se sentir exister! Veillez quand même à ne pas trop vous isoler!

Astuce n° 2 : chercheur de vérité

Vous avez bien compris que chacun possède sa propre vérité. Mais vous, vous avez aussi réussi à lever les voiles des croyances limitantes et des pensées bloquantes. Vous savez donc que la vérité est ailleurs et avez les capacités pour la déceler en sachant la passer aux filtres permettant d’éloigner le mensonge et l’hypocrisie.

Astuce n° 3 : vous êtes adepte du non jugement

Là encore, vous n’êtes pas dans le peloton de tête des jeteurs de pierres. Vous aimez comprendre, décortiquer les situations, deviner les sentiments qui sont à la base d’un fait. Vous ne jugez pas les autres sauf s’ils vous le demandent. Et encore! Vous prenez le temps de la réflexion et analysez les réactions en profondeur avant d’émettre votre opinion. Le but de l’exercice reste d’aider la personne et non pas de blesser en mettant en exergue un comportement inapproprié.

Astuce n° 4 : Un certain penchant pour la spiritualité

L’invisible vous attire depuis tout petit. Vous avez bien compris que le monde terrestre n’est que la face visible de l’iceberg et êtes curieux de découvrir ce qui se cache à nos yeux. Adeptes de la méditation ou de toute autre pratique destinée à ouvrir les yeux de votre cœur, vous ressentez les présences invisibles et les émotions des autres.

Astuce n° 5 : Vous êtes champion de l’introspection

Vous arrivez à devenir spectateur de vos réactions et de vos émotions sans poser de jugement, mais en essayant de comprendre les mécanismes de votre comportement. Vous réalisez donc des introspections régulières qui vous permettent de vous améliorer sans que la culpabilité, la peur ou le jugement des autres ne soient des freins à votre évolution personnelle et spirituelle.

Astuce n° 6 : Vous savez voir large

L’analyse d’une situation par le petit bout de la lorgnette ne vous intéresse pas. Vous ratissez large quand vous voulez avoir une vue d’ensemble d’une situation. Et c’est cela qui vous permet d’analyser les comportements réactions sans poser de jugement limitatif et destructeur. Vous n’êtes pas un juge, mais un analyseur du pourquoi et du comment.

Astuce n° 7 : Vous entendez

Si vous êtes toujours l’ami à qui on aime bien se confier, c’est parce que vous savez écouter et entendre les autres. Souvent, le manque de compréhension vient du fait que l’on n’entende pas et les paroles des autres semblent comme un brouhaha inutile et lointain dont il ne faut retenir que quelques mots. Vous, vous savez que ce n’est pas comme cela que marche le langage. Chaque mot utilisé permet de comprendre un peu mieux le message que l’autre veut nous faire passer.

Astuce n° 8 : Le matérialisme n’est pas votre tasse de thé

Vous avez compris d’emblée le sens éphémère de la vie et n’avait donc pas de temps à perdre avec des notions telles que la richesse, la notoriété, la célébrité ou toute autre valeur qui sont longues à acquérir et se perdent facilement pour, au final, n’apporter que très peu de bonheur à celui qui les côtoient.

Astuce n° 9 : vous êtes à l’aise avec des personnes plus âgées

Vos amis ont une bonne dizaine d’années de plus que vous? Vous vous sentez plus à l’aise avec vos aînés et recherchez leur compagnie? Vous êtes sans doute une vieille âme.

Astuce n° 10 : Vous appréciez les choses simples

Vous prenez plaisir à observer un lever de soleil, à déguster un café sur le port ou encore à voir éclore les fleurs au printemps? Vous avez compris là où se trouve l’essentiel : le bonheur se cache dans les choses simples.

Source : https://www.mediumquebec.com/esoterisme/10-astuces-pour-reconnaitre-une-vieille-ame

Sortir du moule pour s'affirmer

 

Nous naissons en étant la version la plus authentique de nous-mêmes; nous ne faisons qu’être. Nous exprimons avec une grande spontanéité ce que nous aimons et ce que nous n’aimons pas, sans porter de jugement et sans nous comparer aux autres.

 

Cependant, petit à petit, nous découvrons ce que la société attend de nous en nous dictant les chemins à suivre. Et ceux qui suivent les chemins dits « glorieux » recevront admiration et approbation, deviendront des modèles à suivre et parfois même des idoles à qui l’on rêve de ressembler.

 

Mais, jusqu’à quel point ces modèles se rapprochent-ils de nos réelles envies? Ne s’éloignent-ils pas de notre vocation initiale?

 

Les différentes vocations

 

Le mot « vocation » vient du latin vocare, qui signifie « appeler ». Une vocation, c’est donc un appel, une voix intérieure qui nous indique quel est le chemin que nous devons suivre dans la vie, pas seulement du point de vue professionnel mais dans tous les domaines; jusqu’à trouver cette mission pour laquelle nous sommes nés.

 

Le problème se pose lorsque ces faux appels, qui nous sont étrangers, nous empêchent de suivre notre propre vocation intérieure. Peut-être parce que ces voix essaient de nous effrayer en nous affirmant que si nous ne réussissons pas certaines choses nous sommes des ratés.

 

Peut-être qu’elles nous découragent en nous disant qu’on ne peut aspirer à de grandes choses car nous ne sommes pas capables. Ou peut-être qu’elles nous amadouent et nous éblouissent avec des choses matérielles, pour que nous mélangions fins et moyens.

 

Même s’il est plus facile et plus sûr de suivre les chemins les plus conventionnels et de faire comme tout le monde, cela nous coûte très cher : ni plus ni moins que notre réalisation personnelle et notre épanouissement.

 

En effet, ne pas exploiter notre potentiel et ne pas faire ce que nous prévoyions d’accomplir provoque une frustration inévitable. Et même si l’on tente de ne pas y penser en se distrayant par tous les moyens possibles (internet, télévision; parfois même drogue et alcool), le sentiment de manque et d’inaccomplissement se fera toujours ressentir.

 

Alors, que se passe-t-il si une personne ose l’impossible et qu’elle décide de ne pas se laisser décourager par les critiques pour suivre sa vocation?

 

Ces quelques personnes cultivent leur jardin personnel et passent du temps à s’occuper d’elles, pour leur épanouissement personnel. Elles sortent alors du troupeau, ne se laissent pas marcher dessus par la foule, et elles vont à contre-courant.

 

Ces personnes savent que l’appel de la vocation est plus fort que celles des autres, car la leur est passionnante, irrésistible et qu’elle leur procure une satisfaction bien plus forte que la récompense matérielle ou l’approbation.

 

Les obstacles

 

Une fois que nous avons sauté le pas et que nous avons décidé de suivre notre unique vocation, nous avons gagné une bataille importante.

 

Cependant, il faut se préparer aux obstacles que l’on va rencontrer sur notre chemin : les critiques, ou bien les personnes bien intentionnées qui veulent nous dissuader car notre idée leur parait risquée et vouée à l’échec.

 

Quand bien même! Nous avons le droit d’échouer une, deux, voire trois fois! Si nous sommes intimement convaincus du chemin à prendre, la seule chose qui compte est la persévérance.

 

Les obstacles ne sont pas faits pour empêcher la réalisation de notre vocation, au contraire. Ils nous aident à puiser dans des ressources intérieures dont nous n’avions même pas connaissance, nous rendant plus forts et contribuant à notre épanouissement personnel.

 

De plus, lorsque nous avons conscience d’être sur la bonne voie, nous nous ouvrons au monde et acceptons de recevoir de l’aide pour aller de l’avant.

 

Beaucoup de chemins peuvent s’offrir à nous, mais il en existe un seul qui nous corresponde.

 

Et il n’existe rien d’autre sur cette Terre qui puisse se mesurer à la satisfaction inépuisable que l’on ressent lorsque l’on s’écoute et que l’on suit notre vocation.

Source : https://nospensees.fr

jeudi 11 mars 2021

Discipline à l’étude? Une solution pour téléphone intelligent créée au Centre 24-Juin

Le service de la formation à distance du Centre 24-Juin en collaboration avec le Cémeq a développé une application pour téléphone intelligent visant à soutenir les élèves dans leur discipline d’étude.

Initialement imaginée pour les élèves poursuivant leur formation à distance, l’application peut également être utile à tout élève ayant des études à faire à la maison et qui cherche à se trouver une discipline de travail.

Conçue dans le même esprit que les applications pour la marche ou l’entrainement, l’application Axel Chrono permet à l’élève de se fixer des objectifs de travail hebdomadaire et de suivre sa progression. La plus récente version de cette application transmet des notifications lorsque l’élève ne suit pas l’horaire qu’il s’est donné pour étudier ou le félicite de son assiduité. Elle permet maintenant de partager les succès sur les médias sociaux.

L’application Axel Chrono est dès maintenant disponible sur AppStore et Google Play.

Source : Serge Mercier, conseiller pédagogique à la FAD



La blessure de trahison et les personnes contrôlantes



Comment s’en protéger?… et s’en sortir… si cela vous touche.

J’ai écrit différents articles sur les blessures de l’être. Lise Bourbeau a fait connaître ces 5 blessures via son livre Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même, mais les initiateurs de ces découvertes sont John Pierrakos, psychiatre américain et Wilhem Reich, psychiatre autrichien.

Depuis deux décennies, j’ai abordé des thèmes touchant la santé, le mieux-être, les émotions et les blessures. J’ai pu remarquer que la connaissance des comportements qui y sont reliés aide grandement les gens à mieux comprendre leurs scénarios de souffrance et ceux de leur entourage.

À différents degrés, nous portons tous chacune de ces blessures qui sont : le rejet, l’abandon, l’humiliation, la trahison et l’injustice. Toutefois, il arrive qu’une ou plus soient dominantes.

Caractéristiques de la personne contrôlante

La blessure de trahison se crée entre 2 et 4 ans principalement et généralement avec le parent du sexe opposé qui a dévalorisé l’enfant ou l’a maltraité. Pour se protéger, il développera un mécanisme de défense appelé le masque et dans ce cas, ce sera le masque du contrôlant. Ce ne sera pas facile à vivre ni pour la personne qui le porte, ni pour l’entourage.

Il y a inconsciemment un besoin de : « Regardez-moi » Le regard est plutôt séducteur voire intimidant. C’est une façon de cacher certaines faiblesses, de ne pas montrer la vulnérabilité ni le manque de confiance présents.

Cette personne est très exigeante envers elle-même et envers les autres. Elle aime mener ses projets jusqu’à terme, sinon ce serait interprété comme un manque de courage, de ténacité. L’intolérance face à la lassitude des autres est remarquable, ce qui rend les collaborations avec autrui plus difficiles.

On remarque une personnalité forte qui aime avoir raison et dont l’ego prend bien de la place. Besoin de cacher la sensibilité oblige. Elle n’ose pas se confier facilement de peur d’être trahie et que ça se retourne contre elle.

Être premier en tout, c’est important. Elle osera mentir, manipuler voire être hypocrite pour garder son pouvoir et écraser tout rival. Elle n’aime pas parler de ses affaires mais se mêle de celles des autres. Cette personne fait difficilement confiance et bien souvent, réagit plus négativement avec les gens du sexe opposé. Elle est plutôt agitée et aime montrer ses accomplissements.
Un ton froid, dur peut être fréquent pour imposer ses points de vue, ses demandes. Les personnes sensibles auront bien de la peine de tout cela, mais cette personne ne le voit pas nécessairement. La saine communication peut être déficiente. L’ego prend plus de place que la simplicité, que l’énergie du cœur. Elle aimerait que tout le monde endosse sa vision des choses.

Contrôler à tout prix

Cette personne fuit les gens intenses, bien affirmés, car elle ne se sentirait pas en contrôle. Elle pourra couper la parole, mais ripostera fermement si elle se le fait faire. La domination est présente. En étant rapide dans ses actions, la tolérance envers les personnes plus lentes l’exaspère. La colère peut émerger tout comme lors d’attentes non comblées même si ça écrase l’entourage.

Son humeur peut varier vite; tantôt lunatique, tantôt empathique, plein d’amour et vlan, la voilà colérique pour pas grand-chose! Toute situation si banale soit-elle, devient un évacuateur de la souffrance non conscientisée, au détriment de sa santé et du bien-être des gens tout autour.

En contrôlant, cette personne pense éviter les trahisons, mais ce contrôle est épuisant et lui en fait vivre amplement, envers elle-même d’abord. Difficile de profiter des joies de l’instant présent quand tout est mis en place pour se protéger. Quand tout est planifié espérant que les choses se passent comme désiré. Où est la place pour la flexibilité, le cœur d’enfant heureux, le lâcher prise, la joie profonde? C’est triste en fait de voir autant de souffrance. Imaginez cela en couple, OUF!

En couple

Cette personne est apeurée par une séparation car pour elle, c’est la défaite. C’est comme laisser gagner l’autre et être trahi ou c’est comme trahir l’autre si cela vient d’elle. C’est un affront, puisque le sentiment de ne pas avoir le contrôle se pointe. Imaginez deux contrôlants ensemble… Il y aura de l’action et ce ne sera pas facile.

Sexuellement, la séduction demeure un besoin, une forme de revalorisation. Qu’advient-il quand les années passent? L’autre refuse les ébats, il y a sentiment de trahison.

À la lumière des recherches que j’ai pu faire, il y a un complexe d’Œdipe non résolu. Il serait trop long de développer cette avenue ici, je vous laisse le faire par vous-même. La peur de revivre la trahison de l’enfance domine le comportement souffrant. Le besoin de contrôle absolu demeure tant que les prises de conscience et l’aide ne sont pas au rendez-vous. De là, le désir de l’entourage de fuir, car ça peut devenir trop dur et avec raison.

Comment s’en sortir?

§      Admettre le problème et aller chercher de l’aide.
§      S’observer agir et réagir pour diminuer la colère, les tensions.
§     Cesser de vouloir avoir raison encore et encore; tout le monde peut avoir de bonnes idées et opinions.
§      Arrêter d’attirer l’attention comme un enfant qui fait une crise de mécontentement car oui, c’est l’enfant blessé qui agit dans un corps d’adulte.
§      Faire les choses par plaisir et non pour être mis sur un piédestal ou dominer.
§     Cesser de bouder, de faire du chantage, de blâmer les autres et devenir responsable de sa vie et de son bonheur.
§      Reconnaître que l’ego est un faux maître.

Si vous côtoyez ce type de personne souffrante, voyez ce petit enfant qui a mal et cela devrait enlever bien de l’emprise et changer vos perceptions. Inutile de vous soumettre, vous valez autant que qui que ce soit.

À travers ces réflexions bien sommaires, je souhaite avoir créé une ouverture à la transformation et aux prises de conscience selon les besoins de chacun. Je vous invite à poursuivre vos recherches pour vous en libérer si elle vous affecte.

Évitez tout jugement ou montée de colère en percevant ces caractéristiques. Je sais qu’elles ne sont pas évidentes. Il est important que ce ne soit pas accusateur, mais plutôt révélateur de ce qui est à améliorer, à adoucir. Il faut les reconnaître pour les libérer et retrouver la paix intérieure, enfin!

Pour aller plus loin

Pour en savoir plus, j’aborde plusieurs éléments de libération dans mon coffret Trio amour de soi. Ces outils vous connecteront directement à la grandeur de votre intérieur. Vous optimiserez votre réel pouvoir intérieur, comment mieux gérer vos émotions et comment prendre votre place, tout en reconnaissant les manipulations, etc.

Vous apprendrez à bien vous centrer et accéder à un calme profond, à prendre plaisir à vous transformer en observant doucement ce qui est. Vous comprendrez mieux les réactions du corps de souffrance et par le fait même, vous serez outillez pour vous protéger aussi de l’ego des autres.

Source :
Line Bolduc
Auteure, Conférencière, Formatrice