jeudi 29 novembre 2018

Comment s'endormir en moins d'une minute



Si vous êtes comme moi, ça vous prend entre 30 min et 1 heure pour vous endormir la nuit. Mais j'ai récemment appris une technique de respiration qui permet de s'endormir en seulement quelques minutes et parfois même en moins d'une minute. C'est le professeur Weil de la prestigieuse université de Harvard (États-Unis) qui a élaboré cette technique, baptisée « 4-7-8 ».

Bien sûr, cette technique de respiration ne va pas vous assommer immédiatement dès le premier essai comme si on vous anesthésiait. Ça demande de l'entraînement régulier pour que votre corps commence à développer une réaction sédative puissante. Mais pas de panique, même les débutants peuvent utiliser cette technique pour réduire le stress et s'endormir plus rapidement. L'avantage de cette méthode, c'est qu'elle est très rapide. Vous n'avez besoin que de 30 secondes pour la mettre en pratique.

Comment faire?

1.     Touchez votre palais du bout de la langue, juste derrière les incisives du haut et tenez cette position durant tout l'exercice.

2.       Expirez fort par la bouche (en faisant du bruit) tout l'air de vos poumons.

3.       Fermez votre bouche et inspirez lentement par vos narines, en comptant jusqu'à 4 dans votre tête.

4.       Retenez votre souffle en comptant jusqu'à 7.

5.    Expirez complètement par votre bouche en comptant jusqu'à 8. Faites le même bruit qu'à l'étape 2.

6.     Vous venez de terminer un cycle complet : répétez l'exercice 3 fois, pour un total de 4 cycles.

Attention : il est important d'inspirer par les narines et d'expirer par la bouche. Peu importe la vitesse de vos respirations. L'important est de respecter le ratio « 4-7­­-8 ».

Source : https://www.comment-economiser.fr/s-endormir-rapidement-et-facilement.html

vendredi 23 novembre 2018

Sept conseils pour prévenir les virus hivernaux




Gastro, grippe, rhume… en hiver, les nombreux contacts humains dans des lieux fermés — surtout pendant la période des Fêtes —, favorisent la propagation de divers virus dont on se passerait volontiers! Voici quelques conseils pour vous prémunir contre ceux-ci.

Mangez sainement

Une alimentation équilibrée est essentielle pour garder la forme. Consommez des fruits et des légumes en abondance afin de faire le plein de vitamines — saviez-vous que l’ail a des propriétés antimicrobiennes? Thé, tisanes et bouillons sont également de bons alliés, le chauffage, entre autres, contribuant à nous déshydrater durant la saison froide.

Lavez-vous les mains

Lavez vos mains à l’eau savonneuse non seulement avant les repas, mais, autant que possible, chaque fois qu’elles ont été en contact avec des objets potentiellement contaminés, comme les poignées de porte. Par ailleurs, évitez de porter les mains à votre visage, car les muqueuses (yeux, nez, bouche) sont les portes d’entrées parfaites pour les microbes.

Aérez régulièrement

Changer l’air dans la maison est un moyen tout simple d’éliminer quantité de microbes.

Bougez

En plus de diminuer le stress, l’exercice contribue à renforcer le système immunitaire et favorise notamment l’oxygénation des cellules ainsi que la circulation sanguine.

Dormez suffisamment

De bonnes nuits de sommeil, d’au moins huit heures, idéalement, permettent au corps de fonctionner de façon optimale.

Faites-vous vacciner

C’est la meilleure façon de prévenir la grippe.

Habillez-vous chaudement

Si le froid lui-même ne rend pas malade, il sollicite abondamment notre organisme, qui doit lutter pour se maintenir à la bonne température… nous laissant du coup plus vulnérable aux attaques des microbes! Se vêtir adéquatement pour affronter le froid est donc primordial pour rester en santé durant l’hiver — pensez-y!

Source : https://www.infoweekend.ca/actualites/societe/326701

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité Santé et Sécurité

-  Compte rendu du 21 novembre 2018


Liste mise à jour :

-  Comités et tables de travail 2018-2019

Quand commencer à décorer la maison pour les fêtes?



Vous l’avez certainement remarqué aussi. À peine la fête de l’Halloween passée, que déjà Noël fait son apparition. De plus en plus tôt en octobre, les magasins commencent à sortir les catalogues de jouets et le kit idéal pour une décoration fêtes de fin d’année au top. Rassurez-vous la date de Noël n’a pas changé. Mais on pourrait croire comme certains Gaulois bien célèbres, que le ciel nous est tombé sur la tête de voir les décorations de Noël aussi tôt. Pas facile de s’y retrouver et se savoir véritablement quand commencer à décorer la maison pour les fêtes.

Une réponse différente selon les pays

Dans certains pays il y a des motifs culturels et traditionnels de les voir si tôt. Au Royaume-Uni par exemple, décorer la maison pour les fêtes commence quatre semaines avant Noël. Aux États-Unis, il est de tradition d’installer toutes les décorations extérieures le lendemain de Thanksgiving. Aux Pays-Bas, la déco de Noël est plus tardive, pas avant mi-décembre. En effet, il faut attendre la St-Nicolas le 6 décembre. Après cette date on peut sortir les guirlandes et boules de Noël du grenier pour décorer le sapin. En Australie, la tradition c’est de décorer la maison le 1er décembre et surtout pas avant. Mais pour eux, cela marque avant tout, le début des vacances … d’été! Dans certains pays le sapin doit être décoré la veille de Noël et rester en place pendant 12 jours. Au Québec, c’est à partir du 1er décembre que les décorations sont installées.

Quel type de décorations?
Vous l’aurez compris, les magasins jouent sur les promotions pour inciter les gens à acheter de plus en plus tôt leurs articles de décoration. En France il n’y a pas de règle fixe, généralement dès le 1er décembre, le sapin est décoré la première quinzaine grand maximum. Plus le foyer a de jeunes enfants et plus la décoration de fêtes de fin d’année est faite en avance. Pas facile de contenir l’impatience des petits. Mais voir leurs yeux émerveillés est un tel bonheur! Pour l’extérieur, le père Noël sur le toit ou la façade a toujours la grande cote. Les guirlandes lumineuses clignotantes ou de couleur sont aussi très prisées. Pour l’intérieur, les boules, guirlandes, couronnes et sapin sont les rois.

Quand enlever votre décoration de fêtes de fin d’année?

Il n’y a pas vraiment de règles établies en la matière, sauf pour ceux suivant la tradition des 12 jours de Noël. La plupart des personnes retirent les décorations une fois le réveillon du 31 décembre passé. Certaines familles le font quelques jours après Noël, en général lorsque le sapin n’a plus d’aiguilles et que le manque de place se fait sentir. Toutefois pour ne pas retirer totalement l’esprit de fête, on garde quelques décorations. Un centre de table avec des fleurs, des bougies fait parfaitement l’affaire. Généralement le 1er ou 2 janvier toutes les décorations sont retirées, nettoyées et rangées soigneusement jusqu’à l’année prochaine. Notre conseil est d’ailleurs de ne pas bâcler cette étape. Rien de plus frustrant que d’avoir à démêler les guirlandes, retrouver les boules cassées ou ne plus savoir où est rangé ce superbe petit père noël en bois. Triez, rangez et étiquetez, l’astuce gagnante!

Source : http://blog.telefleurs.fr/decoration-fetes-de-fin-dannee/

jeudi 15 novembre 2018

3 étapes pour se libérer de la peur du jugement

Il serait bien illusoire de croire que nous pouvons nous détacher totalement de ce que les autres pensent de nous. Nous vivons perpétuellement sous le regard des autres. Nous ne pouvons pas empêcher les gens de penser ce qu’ils pensent en général et ce qu’ils pensent de nous en particulier.

La seule chose que nous pouvons faire est de nous en détacher le plus possible. Ce processus est difficile tant nous avons été conditionnés à puiser notre valeur à travers le regard de l’autre, à commencer par celui de nos parents. Et pour peu que nous ayons eu des parents perfectionnistes qui ne nous laissaient pas le droit à l’erreur ou nous critiquaient sans cesse, il y’a fort à parier que nous ayons intériorisé ce « critique intérieur ».

Mais nous avons une bonne nouvelle pour vous : oui, il est possible de se libérer du jugement des autres. Pour cela, il est nécessaire de passer par trois étapes :

La première étape consiste à comprendre le principe suivant : le jugement de l’autre ne me définit pas en tant que personne. Je peux me tromper, le jugement sur mes erreurs ne remettra pas en cause ma valeur profonde mais seulement certaines actions que j’ai menées. Je peux même parfois avoir des comportements « pas gentils » ou lâches, cela ne fait pas de moi un « vrai » méchant ou un « vrai » con. Ce jugement peut même être une projection de l’autre sur moi. Lorsqu’on me juge, ce que je dois surtout entendre, c’est que l’autre cherche à se rassurer sur sa propre valeur. Apprenons à entendre la mélodie plutôt qu’à écouter les paroles. La petite voix du jugement de l’autre est la même qui nous susurre intérieurement les « douces » critiques sur nous-même : « tu n’es pas assez ceci », « t’es nul ou quoi! », « tu n’y arriveras jamais », « tu aurais dû faire ça », etc.

La deuxième étape consiste à accepter que le jugement négatif (parfois même positif) engendre chez moi des émotions négatives. Ces émotions négatives qui reviennent le plus souvent sont la honte et la culpabilité: peur du ridicule, culpabilité de ne pas être celui ou celle que les autres attendaient, peur de décevoir, peur de ne pas être aimé tel que l’on est, etc. Or les émotions sont un mouvement qui nous traversent, donc si nous les acceptons comme étant passagères et que nous ne nous y accrochons pas, elles ne s’accumulent pas et nous ne ressentons plus de pression. Elles passent comme le train des injures sur les rails de mon indifférence.

La troisième étape pour se libérer de la peur du jugement des autres consiste à arrêter de porter des jugements sur l’autre. En nous entraînant à être indulgent, tolérant, à comprendre les causes d’un comportement ou d’une attitude, nous nous libérons de la peur d’être jugé et critiqué. Pourquoi? Parce que c’est une question d’effet miroir. Si je pense que le système fonctionne sur le principe que tout le monde se critique, j’y participe et je redoute la réciproque. Si, au contraire, je cherche à comprendre l’autre avant de le juger, je me rends compte qu’il existe des personnes qui sont dans cette dynamique positive. L’on ne connaît jamais vraiment une personne avant d’avoir essayé de comprendre son histoire et les causes qui la poussent à être et agir de telle ou telle façon.

Petit exercice de compréhension constructive

Nous vous invitons à lister des situations où vous portez des jugements sur certaines personnes, puis à repenser votre jugement en le plaçant sous l’angle de la compréhension. Prenez exemple sur la situation suivante.

Situation

Une mère s’énerve après son enfant à la caisse du supermarché. Situation que nous avons toutes et tous connue si nous sommes honnêtes avec nous-même.
- Si je juge : Ben dis donc, elle est folle, elle ne sait pas se contenir. Pauvre enfant!
- Si je comprends: Il a dû vraiment la mettre à bout, elle a l’air de ne plus en pouvoir. 
        Elle doit être bien fatiguée.

À vous de jouer!

Et si vous pensiez à l’appliquer à la personne avec laquelle vous passez le plus de temps : vous? Nous observons (et nous l’expérimentons avec nous-mêmes) que nous avons plus de facilité à être compréhensif avec les autres, mais lorsqu’il s’agit d’être compréhensif avec nous-mêmes, c’est une autre histoire… Eh oui, la petite voix critiqueuse a décidé de squatter votre intérieur depuis longtemps et a organisé son travail de vipère. Il est temps de la congédier!

Retrouvez d’autres conseils pour vous alléger la vie dans « Je dis enfin Stop à la pression » d’Audrey Akoun et Isabelle Pailleau.

Source : https://www.lafabriqueabonheurs.com

Activité de l'APPAMM Estrie


jeudi 8 novembre 2018

Vie sociale au travail : comment éviter les faux pas?



Chaque année, à l’approche des Fêtes, on sent l’effervescence monter. Les conversations sont plus animées, les festivités se multiplient et les occasions de prendre un verre entre collègues se font plus nombreuses. Peu importe la période de l’année, mieux vaut éviter les débordements et les faux pas lors d’activités en lien avec le travail. Après tout, la vie sociale au boulot demeure un contexte professionnel. Voici quelques conseils pour vous épargner des lendemains peu glorieux.

Briller par… votre absence
Si vous êtes du genre loup solitaire, il y a fort à parier que vous vous tenez loin des 5 à 7 de bureau et que vous avez toujours une bonne excuse pour ne pas être du party de Noël. Cela étant dit, la participation à ces activités est une façon de démontrer votre engagement envers vos coéquipiers de travail. C’est l’occasion de connaître sous un nouveau jour des personnes que vous côtoyez au quotidien. Il peut être compréhensible de prioriser vos obligations familiales ou autres. Cependant, faire acte de présence lorsque possible sera sans doute apprécié par vos collègues. Et qui sait? Vous aussi, vous pourriez y prendre goût!

Une photo de trop
Cela peut être sympathique de prendre quelques photos ou même une photo de groupe question d’immortaliser la soirée et de créer des souvenirs. Un conseil? Priorisez la prise de photos en début de soirée avant que l’alcool ne puisse jouer un rôle trop important dans le faciès des invités! Aussi, gardez-vous une petite gêne et ne diffusez pas le tout sur Facebook. Ce n’est pas tout le monde qui souhaite voir sa binette sur les médias sociaux, surtout si vous ne les avez pas informés au préalable.

Être sur le party… sans être déplacé!
Les personnes qui ont l’esprit à la fête sont particulièrement appréciées par ceux qui organisent les activités sociales. Ce sont elles qui sont sur la piste de danse en premier, qui acceptent de se déguiser et qui prennent part aux jeux. Bref, ces collègues sont généralement bien vus. Ceux qui le sont moins sont ceux qui font tout cela tout en ayant abusé des cocktails! On ne vous reprochera jamais de mettre de l’ambiance dans une soirée et d’être festif. Il en sera autrement si vous empestez l’alcool et si vous devenez déplacés. Si, la plupart du temps, la prise d’un petit verre de trop n’entraîne que des situations cocasses, le risque que cela dégénère est bien présent. C’est pourquoi il vaut mieux ne pas franchir cette limite. En résumé, quand le plaisir rencontre les affaires, le mot d’ordre est « retenue ».

En rafale
o  Ne pas parler boulot. Évitez de vous lancer dans de grandes discussions professionnelles ou de souhaiter régler des dossiers. Ce n’est pas le moment non plus de négocier une augmentation de salaire, et ce, même si votre patron n’a jamais été aussi jasant!
o   Ne pas être trop insistant. Vous faites partie du comité organisateur de la soirée et vous avez mis la gomme pour préparer l’animation et offrir des jeux rigolos? Si la plupart des collègues acceptent d’y prendre part, soyez conscient que ce n’est pas tout le monde qui a nécessairement la même aisance que vous pour danser en public ou participer à des jeux.
o   Dire merci. Que l’activité ait été organisée par l’équipe de direction, par un comité social ou par quelques collègues, prenez le temps de les remercier. Votre geste sera apprécié et cela les motivera à recommencer.
o   Faire preuve de prudence. Prévoyez votre transport à l’aller et au retour. Vous ne serez pas mal vu d’utiliser un service de raccompagnement. Au contraire, cette pratique, en plus d’être sécuritaire pour tout le monde, démontre votre bon jugement.

Source : https://www.spla.ulaval.ca/blogue/2017/12/12

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité de perfectionnement Décentralisé
-  CR 29 octobre 2018

Conseil d'établissement
-  PV 24 septembre 2018

Conseil d'école
-  CR 14 mai 2018

vendredi 2 novembre 2018

Quelques photos de l'halloween






 Source : Sylvain Ross, enseignant en Infographie

Documents ajoutés sur le PARTAGE

-  Guide administratif 2018-2019

-  Comités et Tables de travail 2018-2019