vendredi 30 septembre 2016

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vendredi 23 septembre 2016

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jeudi 22 septembre 2016

Les hommes jouent, les femmes rêvent

On dit les hommes insouciants, voire immatures, les femmes plutôt ancrées dans la réalité, trop sérieuses. Auraient-elles plus de difficultés à renouer avec leur part d’enfance? Non, répondent les psys. Elles le font simplement différemment.

« J’habite une petite résidence, raconte Yvan, 36 ans, ingénieur. En fin de semaine, avec quelques copains, nous improvisons souvent une partie de foot ou de volley, à laquelle viennent se mêler les enfants du quartier. La première fois que j’ai joué, c’était pour faire plaisir à un ami. Il était venu me chercher à la sortie du travail – j’étais alors obsédé par des soucis professionnels – et je n’avais pas très envie de l’accompagner. Eh bien, à ma grande surprise, j’ai pris un plaisir fou à jouer. Pendant deux heures, j’ai oublié tous mes ennuis. » Souvent, les femmes regardent, avec attendrissement et étonnement mêlés, la manière dont leurs conjoints se mettent, d’un coup, à redevenir enfants sous leurs yeux, à s’amuser, du bout du pied, avec une boîte en ferraille, ou à passer un après-midi entier à construire un château de sable.

Une différence de comportements
Les hommes auraient-ils plus de facilité à redevenir enfants, dans l’insouciance la plus grande? Et si les femmes semblent moins douées en la matière, serait-ce parce qu’elles sont potentiellement mères et qu’à cet égard elles développent un sens des responsabilités qui leur barre l’accès à cette légèreté?

« Les hommes ne renouent pas forcément mieux avec leur Enfant intérieur, commente Marie-Laure Colonna, psychanalyste. En revanche, cela passe chez eux par des attitudes extériorisées, donc plus visibles, alors que les femmes sont plus tournées vers leur intérieur. Jung disait que l’inconscient est très conservateur : il s’est formé sur dix millions d’années et les jeux inventés par les hommes d’aujourd’hui sont l’équivalent, à la préhistoire, de la poursuite des animaux. Les femmes, elles, restaient aux alentours de la caverne. Cet héritage biologique se traduit par une différence de comportements : les premiers agissent plus qu’ils ne parlent, c’est leur façon à eux de communiquer; les secondes utilisent surtout les mots. »

Changer de rôle
Si les femmes ne renouent pas avec leur Enfant intérieur par l’intermédiaire du jeu, comment font-elles? « Tous les samedis, je vais danser la salsa jusque tard dans la nuit, raconte Chloé, 32 ans, avocate. Parfois, mon mari m’accompagne, parfois, il préfère rester à la maison. Moi, j’ai un besoin viscéral d’y aller. Quand je danse, j’oublie tout et après, je suis comme régénérée. Je suis enceinte de six mois et l’une de mes inquiétudes est de savoir comment, les premiers temps après la naissance de mon bébé, je vais réussir à m’en passer ».

« Le jeu s’élabore par identification avec l’adulte de même sexe, précise Gilles Formet, psychiatre et psychanalyste. C’est pour cela que les filles jouent plutôt à la poupée quand les garçons préfèrent les petites voitures ou le football. Plus tard, quand le garçon est devenu homme et qu’il tape dans un ballon, cela reste un jeu. En revanche, quand les femmes tiennent la maison ou s’occupent de leurs enfants, ce qui était jeu lorsqu’elles étaient petites devient une fonction. Aussi, pour renouer avec leur Enfant intérieur, elles vont se tourner vers des activités qui leur permettent de changer de rôle, comme le théâtre, la peinture, la danse. Elles y trouvent une forme d’oubli du quotidien qui est bien ce que procure le jeu aux enfants ».

Jouir de l’instant présent
Car finalement, que signifie renouer avec l’enfant en soi si ce n’est, mettant futur et passé entre parenthèses, être capable de jouir de l’instant? Les Grecs distinguaient deux temps : khronos, le temps social, utilisé pour des activités rentables comme gagner sa vie, et kaïros, le moment vécu uniquement pour ce qu’il représente. C’est à ce dernier que nous relie notre Enfant intérieur. « Et les femmes ont une grande facilité à quitter le temps chronologique, commente Marie-Laure Colonna. Elles savent rêver sur une lumière, un bouquet, une étoffe, sans penser à les acquérir. Cette faculté est une source énergétique irremplaçable ».

Et c’est cette énergie qui permet de distinguer l’infantile de l’Enfant intérieur. De nombreuses femmes se plaignent des comportements régressifs de leur compagnon avec leurs enfants. Mais Gilles Formet rappelle qu’il est important que « les femmes ne jugent pas les hommes, ou plutôt que les mères ne jugent pas les pères. Ceux-ci ont, plus qu’elles, besoin de jouer avec leurs enfants – comme avec leurs copains – parce qu’ils parlent moins. Les hommes ont un savoir non verbal très précieux, qu’ils leur transmettent de cette façon ».

Dans ce domaine, plus que dans d’autres, on perçoit combien hommes et femmes, ou plutôt masculin et féminin, sont différents dans leurs façons d’appréhender les choses. L’important est que chacun réussisse à se connecter à l’enfant en lui, car « le perdre, c’est perdre ses racines et son goût de vivre » conclut Marie-Laure Colonna. Il est le maître de la créativité dans nos vies et c’est lui qui nous permet régulièrement de nous concentrer sur l’instant pour en sentir toute la saveur et en extraire tout le potentiel.

MON HOMME EST-IL INFANTILE?
C’est un reproche fréquent chez les femmes : l’immaturité de leur compagnon. À quoi reconnaît-on qu’un homme est infantile?

« À ce qu’il agit comme un éternel adolescent », répond Marie-Laure Colonna. Il jouera, par exemple, avec ses enfants comme avec des copains, sans être jamais capable de marquer la loi. Les hommes de ce type n’ont en fait pas quitté l’inconscient de leur mère. C’est comme si une mère, à l’intérieur d’eux-mêmes, leur interdisait de devenir adultes. Ils sont souvent grands consommateurs de sports, de voyages, d’objets, de fêtes, car ils recherchent une vie extérieure euphorique afin de compenser une intériorité sombre et dépressive.

Pourquoi des femmes choisissent-elles ce genre d’hommes? Parce que, si elles se plaignent de leur côté infantile – elles ne se trouvent jamais, en tant que femme et amante, face à un homme et amant –, elles sont rassurées de jouer un rôle de mère très puissante.


Source : psychologies.com

jeudi 15 septembre 2016

Solitude et nouvelles technologies de communication


La solitude est le mal de notre époque. Même en étant entourés, nous pouvons nous sentir très seuls. Nous sommes seuls ensemble. Il y a un vide en nous, qui nous rend mal à l'aise; nous essayons alors de le remplir en établissant des contacts avec d'autres personnes. Nous croyons que si nous sommes capables d'être « connectés », ce sentiment de solitude disparaîtra.



















La technologie nous fournit de nombreux appareils pour nous aider à créer des liens. Mais, même quand nous sommes «connectés», nous continuons à nous sentir seuls. Alors, nous regardons nos e-mails, envoyons des SMS, et publions des commentaires plusieurs fois par jour. Nous voulons partager et recevoir. Hélas, nous pouvons passer toute la journée en étant connectés sans parvenir à soulager notre sentiment de solitude.

Nous avons tous soif d'amour, mais nous ne savons pas comment générer l'amour pour nous en nourrir. Quand nous sentons un vide en nous, nous nous jetons sur nos appareils électroniques dans l'espoir fallacieux de le combler. Nous disposons d’internet, du courrier électronique, des visioconférences, des SMS, d'un mur avec des commentaires, de toutes sortes d'applications, des lettres et du téléphone portable. Nous avons tout. Et pourtant, il n'est vraiment pas certain que nous ayons amélioré notre communication.

Beaucoup d'entre nous ont un téléphone portable. Nous voulons être en contact avec les autres. Mais nous avons tort de compter sans réserve sur ce téléphone. Je n'en ai pas et je ne me sens pas déconnecté du monde pour autant. En fait, sans téléphone, je dispose de bien plus de temps pour moi-même et pour les autres. Vous croyez qu'avoir un téléphone vous aide à communiquer. Mais, si le contenu de vos propos n'est pas authentique, vous aurez beau parler ou écrire des messages, vous ne communiquerez pas vraiment. 

Nous avons trop tendance à croire en ces technologies de communication. Derrière tous ces appareils, il y a d'abord notre esprit, le plus fondamental de tous les instruments de communication. Si notre esprit est bloqué, aucun appareil ne compensera notre incapacité à communiquer avec nous-mêmes et avec autrui.

(Thich Nhat Hanh, « L’art de communiquer en pleine conscience »(2013), Le courrier du Livre 2014, p.17-18)

Les cinq qualités du crayon

Le petit garçon observait son grand-père en train d’écrire une lettre. A un moment donné, il demanda : « Est-ce que tu racontes une histoire qui nous est arrivée? Et est-ce que par hasard cette histoire parle de moi? »
Le grand-père arrêta d’écrire, sourit, et dit à son petit-fils :
« Oui, ça parle de toi, c’est vrai. Mais le crayon dont je me sers est plus important que les mots que j’écris. J’espère que tu lui ressembleras quand tu seras grand »?
Le garçon examina l’objet avec curiosité, mais ne lui trouva rien de particulier. « C’est un crayon comme tous les crayons que j’ai vu dans ma vie »!
« Tout est dans la façon de regarder les choses. Ce crayon recèle cinq qualités qui, si tu parviens à les posséder pour toi-même, feront de toi un être en paix avec le monde ».
« Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe une main qui guide nos pas. Cette main nous l’appelons Dieu. Et il doit toujours pouvoir la diriger selon sa volonté ».
« Seconde qualité : de temps en temps, il me faut arrêter d’écrire pour utiliser un taille-crayon. Cela fait un peu souffrir le crayon, mais il en sort plus affûté. Ainsi faut-il que tu apprennes à endurer certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne ».
« Troisième qualité : le crayon te laisse toujours la possibilité d’utiliser une gomme pour effacer ce qui ne va pas. Tu dois comprendre que d’effacer quelque chose que l’on a fait n’est pas nécessairement mal, et que ça peut être quelque chose d’important pour rester sur le droit chemin ».
« Quatrième qualité : ce qui importe vraiment dans ce crayon, ce n’est pas le bois ou la forme extérieure, ce qui compte c’est la mine à l’intérieur. Alors, fait bien attention, toujours, à ce qui se passe en toi. »
« Enfin, cinquième qualité du crayon : il laisse toujours une trace. De la même façon, sache que tout ce que tu feras dans ta vie laissera des traces et qu’il faut essayer d’être conscient de chacun de tes actes ».
Paulo Coelho

vendredi 9 septembre 2016

Activité d'accueil au Pavillon central

Lors de l'activité d'accueil des élèves au Pavillon central, le 7 septembre, des employés sont tombés à l'eau, cette activité a permis d’amasser 277,00 $ pour la Fondation CFP 24-Juin. Merci à la direction et au département de Réfrigération pour l’organisation de cette activité.

Voici quelques photos :
Jasmin St-Germain, enseignant en Charpenterie-menuiserie

Jean-Noël Callay, enseignant en Santé 


 Karine Deschamps, enseignante en Santé


 Jean-Guy Auclair, directeur adjoint à l'unité 1


Joseph Lauzon, directeur adjoint à l'unité 3 


Marie-Ève Verpaelst, enseignante en Santé 


Pascal Beaudoin, enseignant en Charpenterie-menuiserie 


Pascal Fauteux, enseignant en Réfrigération

Source : Marie-Ève Verpaelst

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Admission (nouveau dossier)
-   Fréquentation et changement de parcours

Formulaire
-   Commande d'imprimerie (version corrigée)


Fondation CFP 24-Juin
-   Horaire de septembre

jeudi 1 septembre 2016

Voilà ce que vos mains et la longueur de vos doigts révèlent sur votre caractère... Impressionnant!



Vous vous souvenez peut-être de cet article, dans lequel on vous dévoilait ce que la forme de vos pieds pouvait dire de vous…

Eh bien apparemment, la forme de vos mains aussi peut avoir sa propre signification !
Outre leurs tailles différentes, il existe trois grands types de mains, en ce qui concerne la longueur de l’annulaire et de l’index… Vous allez pouvoir vérifier tout de suite à quel groupe vous appartenez :


Alors, quel est le type de mains qui vous correspond ? Sans plus attendre voyons ce que vos mains peuvent dire, ou non, de vous :

A) Vous avez l’annulaire plus long que l’index





























Vous êtes certainement doté d’une grande beauté physique et d’un corps globalement harmonieux, votre personnalité dégage quelque chose d’attirant, une sorte de charme qui vous est propre. Les gens qui ont ce type de mains n’hésitent pas à prendre des risques. Ils sont très décisifs, et parfois même agressifs lorsqu’ils se sentent acculés. Les professions auxquelles ils sont généralement associés sont les suivantes : soldats, joueurs d’échecs ou de poker, ingénieurs. Ils ont un esprit logique et sont en général doués pour les mots croisés. Fait intéressant à noter, les scientifiques ont découvert que les personnes ayant un plus long annulaire gagnaient généralement plus d'argent que ceux avec l'annulaire plus court.

B) Vous avez l’annulaire plus court que l’index


Les gens qui ont ce type de mains sont très confiants en eux, au point d’être parfois perçus comme un peu arrogants et imbus d’eux-mêmes. Ils aiment la solitude et n’aiment pas être dérangés. Ce sont des cérébraux qui apprécient l’attention qu’ils reçoivent, mais en ce qui concerne les relations humaines, ils ne font généralement pas le premier pas.


C) Vous avez l’index et l’annulaire de la même longueur





Les personnes qui ont l’index et l’annulaire de la même longueur sont des gens très attentifs, qui essayent de s'entendre avec tout le monde. Leur principale caractéristique dans leur rapport avec leurs compagnons est la fidélité. Ils sont emplis d'amour, de compassion et de bonté envers leur partenaire. Ce sont de véritables amoureux de la paix qui détestent les conflits et ne veulent être impliqués dans aucune embrouille.

Bon maintenant que vous avez analysé vos mains, on attend vos commentaires pour savoir si c’est plutôt vrai dans l’ensemble ou pas. Moi j’ai trouvé la description plutôt juste… À voir si vous aussi ? Peut-être qu’il faudrait faire un mix de la forme des pieds et des mains pour avoir une vision plus précise de notre personnalité. 

En tout cas moi ce que j’en retiens c’est qu’on a pas tous les mêmes doigts… Et ça, c’est déjà plutôt fou!









Prendre le temps d'écouter

Froncements de sourcils, moues désapprobatrices, gestes de la main méprisants, réponses lapidaires « Hein, ça va pas! » « Pas encore ça!» « Et… une fois de plus! ».

Combien de fois, nos gestes, nos attitudes, nos paroles traduisent notre impatience, notre colère, notre déception… et si nous prenions le temps d’écouter ce qu’exprime notre interlocuteur?

Saviez-vous que les individus écoutent en moyenne 17 secondes avant d’interrompre celui qui parle et  pour exposer leurs propres idées. Et pourtant, nous avons une bouche et 2 oreilles : nous devrions peut-être écouter 2 fois plus que nous ne parlons!

Comment définir l’écoute? C’est à la fois échanger des messages et établir une relation entre les personnes. L’écoute implique aussi un « exode » hors de moi en mettant de côté mon système de valeurs, mes représentations, mon désir, mes choix, mes expériences pour me centrer sur l’autre et devenir « hospitalité ». Je cherche à comprendre son système de valeurs, ses sentiments, ses besoins, ses choix. Cette écoute va permettre à mon interlocuteur de s’exprimer réellement.

Qu’est ce qui pourrait m’aider à mieux écouter?

Quelques pistes :

Je crée les conditions nécessaires :
-  par mon attitude d’ouverture, mon regard bienveillant, des mouvements de la tête qui montre mon souhait d’être disponible : mon interlocuteur a toute mon attention;
-   j’ai le temps nécessaire pour écouter sinon je propose de décaler l’entrevue en signifiant bien que j’ai entendu son souhait de parler;
 le lieu est suffisamment sécurisé pour assurer la confidentialité.

J’accepte de me laisser envahir par la sphère de l’autre, je prends le risque d’être bousculé dans mes valeurs, d’être bouleversé par les confidences. J’accueille sans porter de jugement.

J’essaie de comprendre ce qu’il me dit, ce qu’il veut me dire : « Quels sentiments l’animent?» « Quels besoins sont insatisfaits? » quitte à demander des précisions quand je ne suis pas sûr d’avoir compris ce qui l’agitait.

Je l’aide avec délicatesse à énoncer ce qu’il veut dire, ce qu’il a de la peine à dire, ce qu’il ne sait pas comment dire. J’accepte que mon interlocuteur garde son mystère, sa liberté, son autonomie.

Je reformule ses sentiments pour lui permettre d’entendre ce qu’il vient de dire. Je lui ouvre ainsi le champ du sens qu’il donne aux événements, je l’aide à se construire.

Avec ces quelques pistes, je me rapproche le plus de ce que Carl Rogers définit par de l’empathie : je comprends de l’intérieur ce que l’autre éprouve, je lui communique ce que j’ai compris et je le lui dis de façon chaleureuse et positive. Cette présence chaude mais non émotive est une présence solide qui ne fait pas de discours mais sur laquelle mon interlocuteur va pouvoir s’appuyer. Malgré les apparences, dans cette attitude empathique, comprendre ne veut pas dire approuver et écouter ne veut pas dire excuser!

Et si la première personne à écouter était moi? Quand je suis bousculé émotionnellement, n’ai-je pas besoin de prendre un temps d’accueil et de bienveillance avec moi-même? D’identifier clairement mes besoins?

Si je suis au clair avec moi-même, je serais ainsi disponible pour l’autre.

Et moi dans ma vie quotidienne, quelle place je laisse à l’écoute et à l’accueil de l’autre différent?

Source : Relationaide.com