jeudi 22 décembre 2016

Apprenez à sourire!

Il est très difficile de feindre une émotion que vous ne ressentez pas. Essayez donc, pour voir, un jour où vous vous sentez épuisé, de jouer les enthousiastes : vous ne convaincrez personne et vous serez encore plus fatigué. Jouer la comédie ne fait que renforcer un malaise, une gêne, le pire étant la colère refoulée, cachée derrière un faux sourire. Un sourire figé, hypocrite ou contraint, aura exactement l’effet inverse du but recherché : on ne sourit pas qu’avec la bouche.

Un « vrai » sourire illumine le visage, les yeux brillent, tous les muscles de la face sont en action. Non, vous ne pouvez pas mentir, et vous ne devez pas. Le remède serait pire que le mal. Ce qu’il vous faut, si vous n’êtes pas d’habitude une personne souriante, est d’apprendre à cultiver un vrai sourire, un sourire franc et sincère. Une bonne nouvelle est que cela s’apprend.

La culture du sourire

C’est tout simplement une habitude à prendre. Mais c’est aussi un état d’esprit qu’il vous faut cultiver, une aptitude à accepter et à accueillir ce qu’il y a d’agréable dans votre vie quotidienne, même les petites choses auxquelles vous prêtez peu d’attention en général.

Vous pouvez déjà commencer par quitter tout air grognon, surtout quand tout ne va pas comme vous voulez. N’attendez que tout aille bien dans votre vie pour apprécier cette vie. La capacité de profiter de la vie – le fameux Carpe Diem, vous connaissez sans doute – est l’un des meilleurs cadeaux que vous pouvez vous faire à vous-même… et aux autres, par la même occasion.

Bien sûr, vous pouvez ne pas pouvoir ou vouloir vous promener dans la rue avec un grand sourire plaqué sur le visage, mais vous pouvez facilement commencer par ne pas avoir un visage fermé. Ensuite, voici quelques petits conseils qui vous aideront, je l’espère, à cultiver ce bel état d’esprit…

Un état d’esprit qui se travaille

Voici quelques conseils pour développer votre « culture du sourire » :

Fuyez, quand vous le pouvez, la compagnie des gens agressifs ou moroses et sans cesse négatifs, il n’y a rien de pire.

Commencez par vous sourire à vous-même le matin devant votre miroir! Pas pendant des heures, juste un petit salut cordial…

Lorsque vous regardez les gens dans la rue, essayez de voir en eux quelque chose qui vous plaît, que vous trouvez agréable. Il y a toujours quelque chose. Nous avons souvent tendance à nous focaliser sur les défauts, pas sur les qualités!

Évitez de regarder les informations en continu, la lecture des gros titres des journaux suffit amplement à avoir sa dose de misère quotidienne.

Avant de commencer à paniquer ou à voir les problèmes que cela peut vous causer, essayez de voir le côté positif de chaque situation, même délicate.

De temps en temps, le plus régulièrement possible, allez rire un peu devant une pièce de théâtre ou une comédie au cinéma; ou surfez sur des sites internet amusants – vous avez l’embarras du choix.

Ce ne sont bien sûr que quelques conseils épars, mais en les suivant, vous pourrez constater une amélioration rapide de votre humeur générale. Vous vous surprendrez rapidement à sourire tout seul, dans la rue.

Un sourire transforme tout

Même si vous ne voyez pas votre interlocuteur, un sourire « s’entend ». Lorsque vous assistez à une formation sur l’utilisation professionnelle du téléphone par exemple, c’est l’une des choses que le formateur va vous apprendre – ou vous rappeler : un sourire transforme la voix, l’attitude générale, et la façon dont l’autre va percevoir la conversation, quelle que soit sa teneur.

Même si l’échange est difficile, et plus encore s’il l’est, un sourire peut complètement modifier la manière dont l’autre va accepter les propos.

Voix et attitude : le sourire n’est pas qu’une expression de votre visage, il est une expression générale et transforme votre comportement et la manière dont l’autre vous perçoit. Gardez bien ceci en tête lorsque vous expérimenterez votre tout nouveau sourire…


Joyeuses Fêtes!

Voici enfin arrivé le congé des fêtes!

Profitez de ce moment pour vous entourer des gens qui vous aiment.


Que la nouvelle année 2017 vous apporte paix, joie, bonheur, sérénité et prospérité!










vendredi 16 décembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'établissement


-  Procès-verbal du 7 novembre 2016


Formulaires

-  Déclaration d'accident de travail
-  Recommandation d'assignation temporaire

jeudi 15 décembre 2016

Nos enseignants font la vedette

Dans le Guide des études de 1er cycle 2017-2018 de l'Université de Sherbrooke, ce sont nos enseignants qui représentent l'Enseignement professionnel.




Source : Annick Carrière, conseillère d'orientation

vendredi 9 décembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité Soutien à la réussite

-  Compte rendu du 19 octobre 2016
-  Compte rendu du 23 novembre 2016


Comité des Normes et modalités

-  Compte rendu du 23 novembre 2016

Recherche de bénévoles


Bibliothèques de rue - Collaboration d'un enseignant

Le phénomène des bibliothèques de rue gagne en popularité. Le but de ces dernières est d’offrir aux lecteurs un espace où prendre des livres gratuitement et en donner afin de démocratiser la lecture et de la rendre plus accessible. Grâce à la collaboration de l’enseignant en Charpenterie-menuiserie Pascal Beaudoin et de l’étudiant Maxime Asselin, j’ai instauré ce type de bibliothèque à l’école secondaire du Triolet. Les élèves, ainsi que les membres du personnel de l’école, peuvent maintenant prendre des livres gratuitement et en donner à leur guise. Placée dans la salle publique, la bibliothèque est accessible à tous et à toutes, à n’importe quel moment de la journée. Sans l’excellent travail de Pascal Beaudoin et de Maxime Asselin, un tel projet n’aurait pu voir le jour. Un énorme merci!


Alex-Anne Flambert
Étudiante en 4e année au Baccalauréat en enseignement du français au secondaire à l’Université de Sherbrooke

Stagiaire au Triolet 

jeudi 1 décembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité des Normes et modalités d'évaluation

-  Compte rendu du 19 octobre 2016


Comité Accueil et accompagnement des enseignants

-  Compte rendu du 23 novembre 2016

Prix culinaire Ovide-Boucher

Les Sherbrookoises Simone Comtois-Hubert et Analicia Martinez-Guay ont remportée le prix culinaire Ovide-Boucher.
La 35e remise du prix culinaire Ovide-Boucher avait lieu ce jeudi au Pavillon du Vieux-Sherbrooke du Centre de formation professionnelle 24-Juin. Pour l'occasion, deux Sherbrookoises ont vu leur travail récompensé.

Le prix culinaire Ovide-Boucher est remis aux chefs apprentis pour les encourager à se perfectionner dans le domaine de l'hôtellerie et de la restauration. C'est ce jeudi au Pavillon du Vieux-Sherbrooke du Centre de formation professionnelle 24-Juin que les gagnantes ont été dévoilées.

Les récipiendaires du prix Ovide-Boucher 2016 sont :

• Simone Comtois-Hubert, Sherbrooke
• Analicia Martinez-Guay, Sherbrooke


Source : www.Estrieplus.com

jeudi 24 novembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité Santé et Sécurité

-  Compte rendu du 19 octobre 2016
-  Compte rendu du 23 novembre 2016


Comité de perfectionnement Centralisé

-  Compte rendu du 28 septembre 2016


Comité TIC enseignants

-  Compte rendu du 19 octobre 2016


Des filles dans la garage

Article publié dans le Cahier spécial - Automne 2016 du Haut-Saint-François.



Source : Daniel Hinse, enseignant en Mécanique automobile

jeudi 17 novembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'école


Compte rendu du 19 septembre 2016


Fondation

Formulaire 2016 - Paniers de Noël

Don à la Fondation 24-Juin

Merci à Nancy Cyr enseignante en SASI

Elle a gentiment fait tirer des pâtés à la dinde, faits par elle-même au profit de la Fondation 24-Juin.

Ce sont mesdames Jocelyne Thibault et Anick Martel qui se régaleront.

Suite à ce tirage éclair, la Fondation a reçu un beau don de 62,00 $.


Merci Nancy!

Source : Nathalie Turcotte

jeudi 3 novembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité de stage

-  Compte rendu du 30 septembre 2016


Comité Accueil et accompagnement des enseignants


-  Compte rendu du 19 octobre 2016


Mise à jour

-  Les Comités 2016-2017


Listes

-  Liste téléphonique 2016-2017 par prénoms

Être gentil rend heureux

À l’université de Vancouver, des chercheurs ont distribué des sommes d’argent (entre cinq et vingt dollars) à quarante-six étudiants, demandant aux uns de les dépenser pour eux-mêmes, aux autres d’en faire cadeau. À l’issue de l’enquête, les premiers ont dit avoir ressenti un léger plaisir très bref. Les seconds, qui avaient fait preuve de générosité, se montraient plus heureux à long terme. Et donner de son plein gré, c’est encore mieux! La preuve : une étude menée à l’université de l’Oregon, aux États-Unis, consistait à donner cent dollars à des volontaires. Une partie de cet argent était directement prélevée et transférée à une banque alimentaire. Les participants devaient ensuite décider s’ils donnaient, de leur plein gré cette fois, l’autre partie à cet organisme. Imagerie cérébrale à l’appui, dans les deux cas, les participants ont eu du plaisir à aider la banque alimentaire : le système de récompense du cerveau était activé. Mais le sentiment de bien-être était plus important chez ceux qui avaient décidé de donner volontairement le reste de la somme.

Cela renforce le système immunitaire
À l’université du Michigan, aux États-Unis, des chercheurs ont observé plus de quatre cents couples de personnes âgées pendant cinq ans. À l’issue de l’expérience, les partenaires ayant fait preuve de bienveillance et d’attention l’un envers l’autre tombaient deux fois moins malades. La psychologue M.J. Ryan précise que les gentils vivraient en moyenne neuf ans de plus que les autres. Son explication : faire preuve de bonté renforce le système immunitaire. La dilatation des vaisseaux sanguins est stimulée – ce qui est bon pour notre système cardiovasculaire –, et le taux de lymphocytes augmente, nous permettant de mieux résister aux maladies.

Cela améliore les performances… des autres
« De petits dons, sous forme de pièces de monnaie ou de sucreries, permettent d’améliorer la mémoire, la capacité d’apprentissage, la créativité et la résolution de problèmes de ceux qui en bénéficient », assure Stefan Einhorn. Le cancérologue suédois rapporte, dans son ouvrage L’Art d’être bon, une observation étonnante : des médecins à qui l’on avait offert de petits présents ont établi un diagnostic plus exact et plus rapide que ceux qui n’avaient rien reçu. Ils ont également eu tendance à tirer moins de conclusions hâtives.

Cela soulage la douleur
Selon les observations d’IRM, les actes de générosité et de gratitude activent la partie du cerveau qui libère les endorphines. Et ces neurotransmetteurs sont doublement efficaces : d’abord, ce sont des antidouleurs naturels. Robert Emmons, docteur en psychologie et auteur de Merci! Quand la gratitude change nos vies est formel : « Dans un compte rendu récent d’une bonne vingtaine d’études, un psychologue a constaté que ces émotions positives, en stimulant la production d’endorphines, entraînent une moindre sensibilité et une plus grande tolérance à la douleur. Elles pourraient avoir des effets analgésiques, stimulant la production du cerveau en substances de type morphinique ».

De plus, les endorphines agissent contre le stress. Le chercheur américain Allan Luks a demandé à plus de trois mille volontaires de répondre à dix-sept questions sur ce qu’ils ressentaient lorsqu’ils se montraient gentils. 90 % des participants ont parlé d’apaisement. Baisse du niveau de stress, moins de sentiments d’hostilité et d’isolement : selon Luks, la gentillesse est un parfait antidépresseur!

C’est jouissif
Aux États-Unis, le psychologue Robert Ornstein et le médecin David Sobel, auteurs du best-seller Les Vertus du plaisir, dé­crivent ce qu’ils appellent le helper’s high. Cette euphorie ressentie par les gens généreux quand ils aident leurs prochains se traduit par une sensation de chaleur, des frissons, l’impression d’être à la fois plein d’énergie et très calme. Les chercheurs comparent ce plaisir à celui ressenti après un jogging. Dans les deux cas, ils constatent une forte sécrétion de sérotonine, ce ­neurotransmetteur appelé « hormone du bonheur ».

C’est motivant
Dans Cent Cinquante Petites Expériences de psychologie, le psychologue Serge Ciccotti rapporte les conclusions d’une étude sur la motivation et le bénévolat. Des participants recevaient un dollar à chaque fois qu’ils réussissaient à trouver, dans le temps qui leur était imparti, la solution d’un casse-tête présenté par un chercheur. Un autre groupe ne recevait pas cet argent. Une fois l’expérience prétendument terminée, on proposait aux sujets de participer librement à la résolution d’autres casse-tête. On s’est alors aperçu que ceux qui n’avaient pas été payés passèrent deux fois plus de temps que les autres sur cette nouvelle série. Conclusion : plus on est bénévole, plus on est motivé.

C’est contagieux
« Nous traitons bien ceux qui nous entourent si nous sommes bien traité nous-même », assure Stefan Einhorn dans L’Art d’être bon. Pour preuve, il rapporte cette expérience menée par des psychologues : après avoir fait passer des tests de connaissance à des volontaires, ils leur ont dit, sans tenir compte des résultats réels, s’ils avaient réussi ou échoué. Ils étudièrent ensuite leur comportement en deux temps. D’abord, le chercheur quittait la pièce, en laissant en évidence une boîte réservée aux donations. Ceux auxquels on avait dit qu’ils avaient passé le test avec succès se montrèrent plus généreux. Le chercheur revenait ensuite avec une pile de livres qu’il laissait « malencontreusement » tomber. Et les mêmes montrèrent plus d’empressement à l’aider à ramasser les ouvrages.
Source : psychologie.com

jeudi 27 octobre 2016

Chronique voyage

Bonjour,

Voici un lien intéressant :

https://issuu.com/magazinevoyager/docs/magazinevoyager_a2016-trim/1

















Angèle Ladouceur

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité Santé et Sécurité

-  Compte rendu du 2 avril 2015


Mise à jour de listes

-  Liste téléphonique 2016-2017
-  Comités 2016-2017

jeudi 20 octobre 2016

Sylvain Ross participe à une publicité de la SAAQ

Campagne de la SAAQ pour sensibiliser l’ensemble des usagers de la route à l’importance d’être vigilants et respectueux. Cette campagne fait appel au bon sens...

Pour visionner la publicité, cliquez sur le lien suivant :

https://www.youtube.com/watch?v=lSzQa-aP_jk



Cette publicité est actuellement sur les ondes.

Bravo Sylvain!









Inauguration en Soudage-montage

Le lundi 3 octobre 2016 a eu lieu l'inauguration d’une machine a méchoui prototype avec le groupe de Soudage-montage de jour (finissant).

Merci aux élèves et à Christian Vallée.

Danny Blais

819-822-5508 ext 17155






mercredi 12 octobre 2016

Des pluriels méconnus

Un rat? Des goûts
Un cas? Des colles
Un pont? Des râbles
Un flagrant? Des lits
Une voiture? Des mares
Un évier? Des bouchers
Un scout? Des brouillards
Un bond? Des buts
Une dent? Des chaussées
Un air? Des confits
Un beau? Des corps
Un mur? Des crépis
Un vrai? Des dalles
Un valet? Des curies
Un drogué? Des foncés
Une jolie? Des gaines
Un crâne? Des garnis
Un frigo? Des givrés
Une moue? Des goûters
Un brusque? Des luges
Un ministre? Des missionnaires
Un propos? Des placés
Une cinglante? Des routes
Un fâcheux? Des agréments
Un patron? Des spots
Un délicieux? Des cerfs
Une bande? Des cinés
Un sirop? Des râbles
Un argent? Des tournées

Et bien sûr :

Une bière? Des haltères

Source : http://www.legrenierdebibiane.com

jeudi 6 octobre 2016

vendredi 30 septembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'établissement

-  Calendrier des rencontres
-  Procès-verbal du 13 juin 2016


Comité paritaire de perfectionnement

-  Document d'information
-  Compte rendu du 7 juin 2016 (Décentralisé)
-  Compte rendu du 6 juin 2016 (Centralisé)

Publicité d'Accès Compétences CSRS




vendredi 23 septembre 2016

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'école

Calendrier des rencontres 2016-2017

Comités

-   Comités 2016-2017
-   Temps reconnu - Comités (mise à jour)

jeudi 22 septembre 2016

Les hommes jouent, les femmes rêvent

On dit les hommes insouciants, voire immatures, les femmes plutôt ancrées dans la réalité, trop sérieuses. Auraient-elles plus de difficultés à renouer avec leur part d’enfance? Non, répondent les psys. Elles le font simplement différemment.

« J’habite une petite résidence, raconte Yvan, 36 ans, ingénieur. En fin de semaine, avec quelques copains, nous improvisons souvent une partie de foot ou de volley, à laquelle viennent se mêler les enfants du quartier. La première fois que j’ai joué, c’était pour faire plaisir à un ami. Il était venu me chercher à la sortie du travail – j’étais alors obsédé par des soucis professionnels – et je n’avais pas très envie de l’accompagner. Eh bien, à ma grande surprise, j’ai pris un plaisir fou à jouer. Pendant deux heures, j’ai oublié tous mes ennuis. » Souvent, les femmes regardent, avec attendrissement et étonnement mêlés, la manière dont leurs conjoints se mettent, d’un coup, à redevenir enfants sous leurs yeux, à s’amuser, du bout du pied, avec une boîte en ferraille, ou à passer un après-midi entier à construire un château de sable.

Une différence de comportements
Les hommes auraient-ils plus de facilité à redevenir enfants, dans l’insouciance la plus grande? Et si les femmes semblent moins douées en la matière, serait-ce parce qu’elles sont potentiellement mères et qu’à cet égard elles développent un sens des responsabilités qui leur barre l’accès à cette légèreté?

« Les hommes ne renouent pas forcément mieux avec leur Enfant intérieur, commente Marie-Laure Colonna, psychanalyste. En revanche, cela passe chez eux par des attitudes extériorisées, donc plus visibles, alors que les femmes sont plus tournées vers leur intérieur. Jung disait que l’inconscient est très conservateur : il s’est formé sur dix millions d’années et les jeux inventés par les hommes d’aujourd’hui sont l’équivalent, à la préhistoire, de la poursuite des animaux. Les femmes, elles, restaient aux alentours de la caverne. Cet héritage biologique se traduit par une différence de comportements : les premiers agissent plus qu’ils ne parlent, c’est leur façon à eux de communiquer; les secondes utilisent surtout les mots. »

Changer de rôle
Si les femmes ne renouent pas avec leur Enfant intérieur par l’intermédiaire du jeu, comment font-elles? « Tous les samedis, je vais danser la salsa jusque tard dans la nuit, raconte Chloé, 32 ans, avocate. Parfois, mon mari m’accompagne, parfois, il préfère rester à la maison. Moi, j’ai un besoin viscéral d’y aller. Quand je danse, j’oublie tout et après, je suis comme régénérée. Je suis enceinte de six mois et l’une de mes inquiétudes est de savoir comment, les premiers temps après la naissance de mon bébé, je vais réussir à m’en passer ».

« Le jeu s’élabore par identification avec l’adulte de même sexe, précise Gilles Formet, psychiatre et psychanalyste. C’est pour cela que les filles jouent plutôt à la poupée quand les garçons préfèrent les petites voitures ou le football. Plus tard, quand le garçon est devenu homme et qu’il tape dans un ballon, cela reste un jeu. En revanche, quand les femmes tiennent la maison ou s’occupent de leurs enfants, ce qui était jeu lorsqu’elles étaient petites devient une fonction. Aussi, pour renouer avec leur Enfant intérieur, elles vont se tourner vers des activités qui leur permettent de changer de rôle, comme le théâtre, la peinture, la danse. Elles y trouvent une forme d’oubli du quotidien qui est bien ce que procure le jeu aux enfants ».

Jouir de l’instant présent
Car finalement, que signifie renouer avec l’enfant en soi si ce n’est, mettant futur et passé entre parenthèses, être capable de jouir de l’instant? Les Grecs distinguaient deux temps : khronos, le temps social, utilisé pour des activités rentables comme gagner sa vie, et kaïros, le moment vécu uniquement pour ce qu’il représente. C’est à ce dernier que nous relie notre Enfant intérieur. « Et les femmes ont une grande facilité à quitter le temps chronologique, commente Marie-Laure Colonna. Elles savent rêver sur une lumière, un bouquet, une étoffe, sans penser à les acquérir. Cette faculté est une source énergétique irremplaçable ».

Et c’est cette énergie qui permet de distinguer l’infantile de l’Enfant intérieur. De nombreuses femmes se plaignent des comportements régressifs de leur compagnon avec leurs enfants. Mais Gilles Formet rappelle qu’il est important que « les femmes ne jugent pas les hommes, ou plutôt que les mères ne jugent pas les pères. Ceux-ci ont, plus qu’elles, besoin de jouer avec leurs enfants – comme avec leurs copains – parce qu’ils parlent moins. Les hommes ont un savoir non verbal très précieux, qu’ils leur transmettent de cette façon ».

Dans ce domaine, plus que dans d’autres, on perçoit combien hommes et femmes, ou plutôt masculin et féminin, sont différents dans leurs façons d’appréhender les choses. L’important est que chacun réussisse à se connecter à l’enfant en lui, car « le perdre, c’est perdre ses racines et son goût de vivre » conclut Marie-Laure Colonna. Il est le maître de la créativité dans nos vies et c’est lui qui nous permet régulièrement de nous concentrer sur l’instant pour en sentir toute la saveur et en extraire tout le potentiel.

MON HOMME EST-IL INFANTILE?
C’est un reproche fréquent chez les femmes : l’immaturité de leur compagnon. À quoi reconnaît-on qu’un homme est infantile?

« À ce qu’il agit comme un éternel adolescent », répond Marie-Laure Colonna. Il jouera, par exemple, avec ses enfants comme avec des copains, sans être jamais capable de marquer la loi. Les hommes de ce type n’ont en fait pas quitté l’inconscient de leur mère. C’est comme si une mère, à l’intérieur d’eux-mêmes, leur interdisait de devenir adultes. Ils sont souvent grands consommateurs de sports, de voyages, d’objets, de fêtes, car ils recherchent une vie extérieure euphorique afin de compenser une intériorité sombre et dépressive.

Pourquoi des femmes choisissent-elles ce genre d’hommes? Parce que, si elles se plaignent de leur côté infantile – elles ne se trouvent jamais, en tant que femme et amante, face à un homme et amant –, elles sont rassurées de jouer un rôle de mère très puissante.


Source : psychologies.com

jeudi 15 septembre 2016

Solitude et nouvelles technologies de communication


La solitude est le mal de notre époque. Même en étant entourés, nous pouvons nous sentir très seuls. Nous sommes seuls ensemble. Il y a un vide en nous, qui nous rend mal à l'aise; nous essayons alors de le remplir en établissant des contacts avec d'autres personnes. Nous croyons que si nous sommes capables d'être « connectés », ce sentiment de solitude disparaîtra.



















La technologie nous fournit de nombreux appareils pour nous aider à créer des liens. Mais, même quand nous sommes «connectés», nous continuons à nous sentir seuls. Alors, nous regardons nos e-mails, envoyons des SMS, et publions des commentaires plusieurs fois par jour. Nous voulons partager et recevoir. Hélas, nous pouvons passer toute la journée en étant connectés sans parvenir à soulager notre sentiment de solitude.

Nous avons tous soif d'amour, mais nous ne savons pas comment générer l'amour pour nous en nourrir. Quand nous sentons un vide en nous, nous nous jetons sur nos appareils électroniques dans l'espoir fallacieux de le combler. Nous disposons d’internet, du courrier électronique, des visioconférences, des SMS, d'un mur avec des commentaires, de toutes sortes d'applications, des lettres et du téléphone portable. Nous avons tout. Et pourtant, il n'est vraiment pas certain que nous ayons amélioré notre communication.

Beaucoup d'entre nous ont un téléphone portable. Nous voulons être en contact avec les autres. Mais nous avons tort de compter sans réserve sur ce téléphone. Je n'en ai pas et je ne me sens pas déconnecté du monde pour autant. En fait, sans téléphone, je dispose de bien plus de temps pour moi-même et pour les autres. Vous croyez qu'avoir un téléphone vous aide à communiquer. Mais, si le contenu de vos propos n'est pas authentique, vous aurez beau parler ou écrire des messages, vous ne communiquerez pas vraiment. 

Nous avons trop tendance à croire en ces technologies de communication. Derrière tous ces appareils, il y a d'abord notre esprit, le plus fondamental de tous les instruments de communication. Si notre esprit est bloqué, aucun appareil ne compensera notre incapacité à communiquer avec nous-mêmes et avec autrui.

(Thich Nhat Hanh, « L’art de communiquer en pleine conscience »(2013), Le courrier du Livre 2014, p.17-18)

Les cinq qualités du crayon

Le petit garçon observait son grand-père en train d’écrire une lettre. A un moment donné, il demanda : « Est-ce que tu racontes une histoire qui nous est arrivée? Et est-ce que par hasard cette histoire parle de moi? »
Le grand-père arrêta d’écrire, sourit, et dit à son petit-fils :
« Oui, ça parle de toi, c’est vrai. Mais le crayon dont je me sers est plus important que les mots que j’écris. J’espère que tu lui ressembleras quand tu seras grand »?
Le garçon examina l’objet avec curiosité, mais ne lui trouva rien de particulier. « C’est un crayon comme tous les crayons que j’ai vu dans ma vie »!
« Tout est dans la façon de regarder les choses. Ce crayon recèle cinq qualités qui, si tu parviens à les posséder pour toi-même, feront de toi un être en paix avec le monde ».
« Première qualité : tu peux faire de grandes choses, mais tu ne dois jamais oublier qu’il existe une main qui guide nos pas. Cette main nous l’appelons Dieu. Et il doit toujours pouvoir la diriger selon sa volonté ».
« Seconde qualité : de temps en temps, il me faut arrêter d’écrire pour utiliser un taille-crayon. Cela fait un peu souffrir le crayon, mais il en sort plus affûté. Ainsi faut-il que tu apprennes à endurer certaines douleurs, car elles feront de toi une meilleure personne ».
« Troisième qualité : le crayon te laisse toujours la possibilité d’utiliser une gomme pour effacer ce qui ne va pas. Tu dois comprendre que d’effacer quelque chose que l’on a fait n’est pas nécessairement mal, et que ça peut être quelque chose d’important pour rester sur le droit chemin ».
« Quatrième qualité : ce qui importe vraiment dans ce crayon, ce n’est pas le bois ou la forme extérieure, ce qui compte c’est la mine à l’intérieur. Alors, fait bien attention, toujours, à ce qui se passe en toi. »
« Enfin, cinquième qualité du crayon : il laisse toujours une trace. De la même façon, sache que tout ce que tu feras dans ta vie laissera des traces et qu’il faut essayer d’être conscient de chacun de tes actes ».
Paulo Coelho

vendredi 9 septembre 2016

Activité d'accueil au Pavillon central

Lors de l'activité d'accueil des élèves au Pavillon central, le 7 septembre, des employés sont tombés à l'eau, cette activité a permis d’amasser 277,00 $ pour la Fondation CFP 24-Juin. Merci à la direction et au département de Réfrigération pour l’organisation de cette activité.

Voici quelques photos :
Jasmin St-Germain, enseignant en Charpenterie-menuiserie

Jean-Noël Callay, enseignant en Santé 


 Karine Deschamps, enseignante en Santé


 Jean-Guy Auclair, directeur adjoint à l'unité 1


Joseph Lauzon, directeur adjoint à l'unité 3 


Marie-Ève Verpaelst, enseignante en Santé 


Pascal Beaudoin, enseignant en Charpenterie-menuiserie 


Pascal Fauteux, enseignant en Réfrigération

Source : Marie-Ève Verpaelst

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Admission (nouveau dossier)
-   Fréquentation et changement de parcours

Formulaire
-   Commande d'imprimerie (version corrigée)


Fondation CFP 24-Juin
-   Horaire de septembre