jeudi 29 octobre 2015

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COMITÉ DE STAGE

-  Compte rendu du 21 octobre 2015

Une heure de plus pour dormir dimanche matin!



À l'automne 2015, on recule
montres et horloges d'une
heure dans la nuit du 31 octobre
au 1er novembre, à 2 h.

10 trucs pour avoir plus d'énergie

On peine à se tirer du lit le matin et on cogne des clous au milieu de l’après-midi?
Sommes-nous condamnées à manquer d’énergie?
Des conseils pour faire le plein de vitalité.



On boit 1 à 2 L d'eau par jour
Pour y arriver, on traîne une bouteille d'eau lors de nos déplacements et on laisse en permanence un pichet d'eau au réfrigérateur. Mais attention : boire une grande quantité d'eau d'un coup n'est pas une solution, car notre corps se charge aussitôt d'éliminer le surplus.

On mange toutes les trois heures environ en entrecoupant les repas de collations
« Sinon le corps réagit au jeûne et ralentit son activité, espérant trouver une source rapide d'énergie, explique la nutritionniste Geneviève O'Gleman. C'est alors que se produit la rage de sucre. » Or, le sucre, vite digéré, ne peut procurer une source stable d'énergie.

À l'heure du lunch, on choisit des repas légers
Après un repas copieux, on risque d'avoir envie de dormir : la digestion monopolise beaucoup d'énergie, surtout si on a consommé une bonne quantité de matière grasse.

On opte pour des collations alliant glucides et protéines
Cette combinaison a deux avantages : les glucides, facilement digérés, nous fournissent un regain d'énergie immédiat, et les protéines se transforment plus lentement pour fournir une énergie durable.

On veille à la qualité de notre sommeil
On s'assure que notre chambre baigne dans le silence et l'obscurité pendant la nuit. On sort de la pièce tout objet rappelant le travail, comme l'ordinateur où l'agenda. On ouvre une fenêtre pour que l'air circule. Pour conserver une humidité adéquate, on maintient la température entre 15°C et 18°C.

Pendant la journée, si on ressent l'envie de faire une petite sieste, on se repose
Notre horloge biologique, même en période d'éveil, nous réserve des phases passives, surtout entre 13 h et 16 h. Après une pause, on sera plus productive et concentrée.

Pendant nos vacances, on fait un test pour savoir de combien d'heures de sommeil on a naturellement besoin
On se met au lit quand on est fatiguée et on se lève quand on est réveillée. On attend quelques jours pour effacer la dette de sommeil et briser la routine. Ensuite, on fait la moyenne de nos heures de sommeil quand on n'a pas de contrainte. C'est la durée dont notre corps a besoin.

On trouve une façon de relaxer qui nous convient et on la pratique régulièrement
Pas seulement quand on est au bout du rouleau! Que ce soit de la lecture, un bain à la lavande, de la musique douce, de la méditation, etc. L'important est d'évacuer les tensions et le stress accumulés dans la journée.

On laisse entrer d'avantage d'air frais et on contrôle le taux d'humidité à l'aide d'un hygromètre afin d'améliorer la qualité de l'air dans la maison
Le pourcentage d'humidité doit se situer entre 30% et 50%. Si nécessaire, on investit dans un déshumidificateur ou un humidificateur.

On s'offre plusieurs petites pauses agrémentées d'exercices d'assouplissement pour éviter les maux de dos, favoriser une meilleure circulation sanguine et détendre les muscles.

Source : Coup de pouce

vendredi 16 octobre 2015

Projet réalisé en Soudage-montage

Voici un des  projets réalisés par les élèves de Soudage-montage (finissants 2015). Il s’agit d’un simulateur de toit pour les services incendies de la ville de Sherbrooke. Le simulateur a été installé à la caserne 2 (plateau St-Joseph). C’est une première au Québec, aucun service incendie ne possède une telle installation. Merci également à Mme Johanne Martel, enseignante en Dessin industriel qui a réalisé les plans. Merci également au département d’usinage qui a fabriqué les composantes de rotation.

Source : Danny Blais, enseignant en Soudage-montage




jeudi 15 octobre 2015

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Mise à jour de la liste des Comités 2015-2016

Passé Présent Futur


Le Passé, le dos courbé fouillant ses souvenirs et le Futur les yeux tournés vers l'avenir conversaient il n'y a pas si longtemps. Je ne vous comprends pas, disait le Passé. Vous perdez votre temps! Où pensez-vous allez avec vos rêveries? Vous n'êtes même pas sûr d'être encore là demain.


Peut-être répondit le Futur, mais puis-je vous dire que pour ma part, je trouve votre attitude quelque peu farfelue. Vous vous nourrissez de choses disparues qui ne reviendront plus et de plus impossibles à changer. Avouez qu'il faut être vraiment un peu bizarre pour se complaire ainsi dans un monde désuet et qui, dans bien des cas, est rempli de regrets.


Plein de respect envers ses pairs, le Présent avait écouté toute la conversation. Messieurs, dit-il alors, puis-je me permettre d'émettre une opinion? allez-y dirent le Passé et le Futur pour une fois d'accord. Vous avez la parole, nous vous écoutons.

Le Présent, calmement, énonça ce qui suit : mon cher Passé, avec vos souvenirs, il est clair que vous êtes précieux, pour autant bien sûr qu'ils soient agréables, plaisants et heureux. Quand à vous cher Futur rêveur, plein de projets, il y a là une question de mesure : les projets, il en faut, c'est bien évident car ils sont des moteurs d'action, mais ils ne doivent pas cependant entraver le parcours du présent, qui lui, a comme mission de vivre intensément chaque minute, chaque heure ou encore chaque moment.

Souvenirs ou projets, ne peuvent en aucun cas museler le présent ou limiter sa vie, mais bien tout au contraire le rendre plus attrayant, accompagné par quelques beaux souvenirs, alors le Présent se vivra pleinement.

jeudi 8 octobre 2015

Une belle vitrine pour Johanne Drouin


Tribune du 3 octobre 2015



Sur le chemin de la vie


En marchant sur le chemin, je rejoignais un homme, quelque un peu affaibli. M’approchant de lui je remarquais qu’il portait un rocher. « Pourquoi portes tu ce poids, il te ralentit pour avancer sur le chemin de ta vie »? Alors, un peu essoufflé, il me répondit. « C’est une faute que j’ai commise, et je la garde sur moi. Plus jeune, j’ai fait une mauvaise action, je le regrette. Mon inattention est une erreur, ce rocher me rappelle ma douleur ».


Plus tard, je vis un autre homme tituber. À chaque instant il paraissait tomber, laissant échapper des pierres de ces mains qu’il s’efforçait de récupérer. La scène semblait sans fin, alors, je lui demandais : « toutes ses pierres, ici dans tes bras sont trop nombreuses. As-tu commis tant de fautes, pour qu’aujourd’hui ces pierres t’empêchent d’avancer »? L’homme, me regardant tout juste du coin de l’œil, occupé qu’il était. Il répondit avec orgueil : « je n'ai commis aucune faute, mais des peines, oui, et je les assume. Souvent, des tristesses m’ont beaucoup accablées, ces pierres sont là pour me le rappeler ».

Alors j’ai cru que les hommes devaient porter tout le poids de leur passé pour pouvoir grandir, plus le chemin de leur vie est ralenti par leur passé, plus ils deviennent forts. Je me souvenais enfin que personnellement, des fautes et des erreurs j’en avais commises aussi. En ignorant ce principe même de la vie, je faisais mon premier faux pas. Donc, je trouvais une pierre et je la ramassais, mesurant du même coup cette faute passée. Ayant eu de la peine pour ces hommes, je devais maintenant porter d’autres pierres pour eux. Et rapidement dans mes bras se sont accumulées toutes les pierres que j’avais oubliées.

Plus tard encore, et marchant lentement, je croisais un vieillard assis sur un rocher. Me regardant passer, le vieil homme me dit en souriant : « Te sens-tu mieux, maintenant que tu as vieilli? Les pierres que tu portes sont de lourds fardeaux. Espères-tu vivre plus longtemps, en fatiguant ton dos? Personne ne t’a demandé d’oublier tes erreurs, ta tête suffit, n’y met pas ton cœur. Si tu as eu des peines, tu dois en ressortir plus fort et non pas affaibli ». Étonné par ce nouveau jugement, je posai mes pierres. Le vieux avait peut-être raison, je m’assis à ses côtes, et regardais l’horizon. Alors, je découvrais un monde merveilleux, plein de beauté, et je me sentais mieux. Peut-être, ces rochers ne m’avaient servi à rien. À part user mon corps, mes bras et mes mains. Libéré maintenant de tous mes tourments, je redécouvrais la vie et ses joies. Occupé que j’étais à transporter mon passé, c’était donc le présent que j’avais oublié.
Enfin, le vieux se leva et reprit son chemin, puis il se retourna et me dit : « et si dans joie, la vie te parait aller trop vite, montes sur un rocher, c’est lui qui t’y invite ». 

D’après une fable de Philistin Panger

vendredi 2 octobre 2015

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'école
- Compte rendu du 11 mai 2015
- Calendrier des rencontres 2015-2016

Mises à jour
- Liste des responsables de programmes 2015-2016
- Guide administratif 2015-2016

Liste des chambres et logements à louer

Spécial sur les Martinets ramoneurs à la télé



C'est samedi le 3 octobre à 17 h et dimanche le 4 octobre à 12 h 30 (rediffusion) qu'il y aura un spécial sur les Martinets ramoneurs en lien avec la construction des cheminées par le département de Briquetage-maçonnerie.

Source : Serge Mercier, conseiller pédagogique et ornithologue