jeudi 10 décembre 2015

Restaurants Apportez votre vin à Sherbrooke

Un site intéressant

http://restoenligne.com/restaurants/list/city/sherbrooke/service/apportez-votre-vin

Renouveau en EGI

Un vent de renouveau souffle sur le département d’Entretien général d’immeuble. L’équipe enseignante, composée de Jean-Marc Roberge, Éric Sanschagrin et Jocelyn Boulet, a mis les bouchées doubles pour transformer la formation et les locaux d’enseignement. De très nombreuses innovations ont été réalisées.

Avec beaucoup d’imagination (et sans nouveau budget) les locaux ont été réaménagés afin de créer des espaces spécialisés selon les différentes disciplines enseignées : électricité, plomberie, menuiserie, entretien ménager et chauffage-ventilation. Dans l’esprit de la technique de management des « 5S » qui vise l’amélioration continue des tâches à effectuer, les planchers des locaux ont été peints selon des couleurs spécifiques à chacune des disciplines.

La configuration des cubicules de travail a été revue afin de faciliter les interactions avec l’enseignant et d’optimiser l’espace disponible. Tous les élèves sont maintenant visibles d’un seul coup d’œil et les cubicules permettent le travail en équipe.

De nouvelles activités ont été intégrées à la compétence Administration d’un bâtiment tel qu’une visite à la Régie du logement et une joute d’improvisation pour approfondir les clauses d’un bail de location. 

Dans le cours d’Entretien ménager d’un bâtiment, la nouvelle configuration des lieux permet aux élèves de préparer leur équipement d’entretien de façon beaucoup plus efficace. Cette transformation permet de libérer de nombreuses heures de formation nécessaire pour l’approfondissement des techniques les plus actuelles en entretien ménager.

En grand coup de chapeau à une équipe dynamique qui sait transmettre à ses élèves la fierté du métier et qui s’est retroussé les manches pour rajeunir toute une formation et un département.

Chantal Bérubé
Directrice adjointe, unité 2

Serge Mercier

Conseiller pédagogiques, unité 2


Légende : Jocelyn Boulet, enseignant en EGI et trois élèves qui ont participé au réaménagement.



Joyeuses Fêtes!

Bonjour,

Le blogue prend congé pour la période des fêtes!

Je vous souhaite de très joyeuses fêtes, profitez-en pour vous reposer, vous amuser et rencontrer les gens que vous aimez! Que l'année 2016 vous apporte tout le bonheur dont vous méritez, la santé et la paix!


Renée Jetté
Blogueuse

jeudi 3 décembre 2015

La tenue d'un budget : le budget des Fêtes

Les Fêtes s’en viennent, et avec elles, le stress causé par la difficulté de joindre les deux bouts. Cette année, profitez des Fêtes sans laisser les dépenses vous envahir. Nous avons réuni des conseils d’experts et des outils pratiques pour vous aider à réduire au minimum les soucis causés par les dépenses et à faire en sorte que vous profitiez d’un joyeux temps des Fêtes.


Holiday Spending Survival Guide
Guide de survie budgétaire des Fêtes
Si vous aimez célébrer pendant les Fêtes, mais en détestez les contrecoups financiers, voici quelques trucs pour faire des présents et célébrer sans se ruiner. En savoir plus


Entertainment CalculatorOutil de calcul du budget des Fêtes
Combien devez-vous mettre de côté pour les Fêtes? Utilisez cet outil de calcul pour en avoir une idée avant de commencer à magasiner. Calculer


Entertainment CalculatorOutil de calcul des loisirs
Si vous ne planifiez pas, vous pourriez dépenser davantage en loisirs que vous ne l’auriez pensé. Cet outil vous aidera à suivre vos dépenses des Fêtes. Calculer



Établissez un budget et respectez-le
  • Commencez par examiner vos dépenses de l’an dernier. Étaient-elles raisonnables ou vous êtes-vous endetté? Dressez la liste des achats que vous prévoyez faire cette année. En fixant à l’avance vos objectifs, vous serez davantage en mesure de les respecter. Certains planificateurs financiers recommandent de ne pas dépenser plus de 1,5 % du revenu annuel (750 $ par tranche de 50 000 $ de revenu annuel). Examinez vos principales catégories de dépenses – cadeaux, divertissements, repas et voyages – et déterminez le montant que vous pouvez vous permettre d’accorder à chaque catégorie. En savoir plus sur les habitudes de dépenses des Fêtes des Canadiens.
  • Soyez créatif
    Épargnez de l’argent cette année en étant créatif. Les cadeaux achetés en magasin sont formidables, mais lorsque vous créez un présent pour quelqu’un, cette personne apprécie vraiment le temps et les efforts que vous y avez consacrés. On peut trouver de nombreuses idées de projets de cadeaux créatifs en ligne. Le site Web de bricolagewww.instructables.com comporte une foule de tutoriels expliquant chaque étape, pour tous et chacun.
    Peut-être n’avez-vous pas le temps de créer un présent, mais vous aimez tout de même le coût abordable et la touche personnelle des cadeaux faits maison. Sur le sitewww.craftzine.com, vous trouverez non seulement des idées de cadeaux que vous pouvez faire vous-même, mais aussi des présents à prix modique, offerts par des artisans. Toutefois, l’ultime marché des cadeaux faits maison se trouve sur le site Etsy, où vous pouvez dénicher des articles astucieux provenant de plus de 200 000 vendeurs.
  • Conjuguez vos efforts
    Au lieu que chacun dépense une somme excessive cette année, joignez-vous aux membres de votre famille pour aider les moins fortunés. Les occasions en ligne sont faciles à trouver. Vous pouvez aussi vous informer auprès de votre collectivité pour aider des personnes démunies près de chez-vous.
  • Voyagez de façon judicieuse 
    Si vous prévoyez voyager, prenez le temps de déterminer combien il vous en coûtera au moyen de notre Planificateur de voyage, et n’oubliez pas ces conseils pour planifier votre voyage.
  • Évitez les tracas financiers
    Les Fêtes sont un temps merveilleux pour se divertir. Un peu de planification et la tenue d’un budget vous aideront à éviter les tracas financiers. Essayez notre Planificateur des divertissements des Fêtes et laissez-le vous aider à planifier vos divertissements afin d’éviter d’avoir à les payer l’année durant. Lisez ces conseils sur les divertissements des Fêtes pour mieux maintenir votre budget en bonne forme financière.

Comment déjouer les paroles culpabilisantes

« On sait bien, tu as mieux à faire! » Au détour d’une conversation, voilà que surgit la petite phrase qui nous fait sentir coupable. Sans compter tous ces reproches qu’on se fait nous-même. Huit remarques culpabilisantes et des trucs pour les gérer.


Qu'elles soient lancées de manière anodine ou utilisées exprès dans le but de nous manipuler, certaines paroles ont le don d'attiser notre culpabilité. « On peut avoir affaire à des gens qui veulent vraiment nous faire sentir coupable, explique la psychologue Mariève Landry, mais il arrive aussi que ce soit nous qui interprétons ce qu'on nous dit en nous basant sur des situations antérieures. »
Par exemple, si notre mère nous répétait telle ou telle phrase dans le but de nous réprimander et que, des années plus tard, notre chum utilise une expression similaire, on ressentira peut-être un sentiment de culpabilité qui n'a rien à voir avec la situation actuelle. « Ce ne sont pas les mots en tant que tels qui causent les émotions, mais plutôt la lecture qu'on en fait », atteste Marie-Hélène St-Hilaire, docteure en psychologie au Centre d'éducation en psychologie.
Quelques situations typiques et des conseils pour museler la culpabilité qu'elles éveillent en nous.
1. « Mais les autres mères le font, elles! », lance notre fils devant notre refus de préparer des biscuits pour son équipe de soccer.
Pourquoi se sent-on coupable? « Il est question de pression sociale ici, croit Mariève Landry. Il y a une norme, une pratique, que semblent partager certaines mères et qu'on est tentée de respecter afin que notre enfant ne soit pas jugé différemment ou mis de côté. »

On gère comment? Une réflexion s'impose : qu'est-on prête à concéder (notre heure de yoga?) pour faire comme les autres parents, ou quelles conséquences accepte-t-on d'assumer (être vue comme une mère négligente?) si on ne se conforme pas? « On peut aussi tenter de trouver une solution alternative, comme de faire appel à notre plus vieille ou de faire équipe avec une autre mère, dit la psychologue. Et si on convainc notre jeune lui-même de collaborer, c'est encore mieux! »

2. « Après tout ce que j'ai fait pour toi! », se plaint notre père à qui on refuse une autre de ses demandes extravagantes.
Pourquoi se sent-on coupable? Parce que cette phrase sous-entend qu'il devrait y avoir réciprocité. « Mais ça ne fonctionne pas comme ça, s'exclame Mariève Landry. Nos parents ont certes fait beaucoup de choses pour nous, mais n'oublions pas qu'ils ont choisi de les faire. Si on peut être reconnaissante envers eux, on n'a pas à les "rembourser". »
On gère comment? « Je suis reconnaissante à ma mère pour tout ce qu'elle a fait pour moi et je le lui dis souvent, raconte Karine, 42 ans. Je lui ai aussi expliqué que, pour moi, cette notion de réciprocité prend plutôt la forme de "donner au suivant" avec mes propres enfants. C'est, à mon sens, l'ordre normal des choses. Elle l'a bien compris et accepté. »

3. « J'aurais donc dû y penser! », se répète-t-on nous-même, prise en voiture dans un embouteillage avec les enfants qui hurlent qu'ils ont faim!
Pourquoi se sent-on coupable? « L'expression « J'aurais donc dû » laisse croire que c'est très grave de ne pas y avoir pensé, analyse Marie-Hélène St-Hilaire. Il faut dire que les femmes ont tendance à se culpabiliser lorsque les choses tournent mal. »
On gère comment? « En remplaçant d'abord les "J'aurais dû" par "Ç'aurait été préférable que j'y pense", suggère la psychologue. Cela évacue la notion de faute grave. Puis, on remet les choses en perspective : quel était le contexte lorsqu'on a quitté la maison ce matin? A-t-on été distraite dans nos préparatifs? Pouvait-on prévoir qu'un accident causerait un tel bouchon? Enfin, on se met en mode proactif pour chercher une solution plutôt que de rester dans la culpabilité paralysante. »

4. « Il faut que tu m'aides! », implore notre copine au téléphone au moment où on se prépare à partir pour le week-end.
Pourquoi se sent-on coupable? « Parce que certaines expressions comme "il faut" sont championnes pour susciter la culpabilité, indique Marie-Hélène St-Hilaire. Cela renvoie à une notion d'obligation, de devoir. Une bonne amie a le devoir d'aider sa consœur. »
On gère comment? « En mettant ce "il faut" en perspective, conseille Mariève Landry. Quel est le type de difficulté auquel la personne fait face? A-t-elle demandé l'aide d'autres personnes? Y a-t-il d'autres stratégies auxquelles notre amie n'a pas pensé? Est-ce urgent? Peut-être qu'effectivement, on est la seule personne qui peut l'aider dans cette situation précise, mais peut-être pas non plus. »

5. « Tu es une mère extraordinaire, mais c'est tellement dommage que tu ne repasses pas leurs chemises! », dit notre mère devant les vêtements froissés des petits.
Pourquoi se sent-on coupable? Sûrement parce qu'on se dit qu'on devrait en faire davantage, surtout pour nos enfants. « Souvent, la culpabilité s'installe lorsqu'on n'a pas clairement défini nos priorités, affirme la psychologue Marie Rachel Clermont. Même si on est déjà débordée, des modèles irréalistes suggèrent qu'on peut toujours en faire plus. Cela crée une brèche où s'infiltre le doute. Or, on ne peut pas tout prioriser. »
On gère comment? En assumant pleinement nos choix. « Je sais que mes enfants ne manquent de rien, explique Emma, 36 ans. Mais pour garder la tête hors de l'eau, j'ai fait des choix : je cuisine chaque jour des repas santé maison à mes fils, mais je ne repasse pas leurs chemises. Alors, lorsque ma mère me sort ce genre de remarque, je choisis d'entendre le compliment et non le reproche. »

6. « Tu dois encore partir aussi tôt? », demande notre patron alors qu'on s'apprête à quitter le bureau.
Pourquoi se sent-on coupable? « En utilisant le mot "encore", notre patron insinue que ce comportement est constant chez nous, et cela mène au sentiment de ne pas être adéquate », avance Marie-Hélène St-Hilaire.
On gère comment? « On décortique la situation, suggère Mme St-Hilaire. Si notre emploi du temps est de 8 h à 16 h et qu'on quitte à 16 h ou 16 h 15, c'est l'interprétation de notre patron qui est mauvaise, car on part à l'heure prévue. En regardant objectivement la situation, on sait qu'on a procédé de manière adéquate. Par ailleurs, quand ce type de circonstance se reproduit, cela peut être une bonne idée de prendre la balle au bond en demandant à notre supérieur ce qu'il attend de nous exactement et d'en discuter avec lui. »

7. « On sait bien, tu es tellement occupée! », ironise notre meilleure amie, contrariée, quand on arrive en retard à un rendez-vous avec elle.
Pourquoi se sent-on coupable? « Tout est dans le non-dit, croit Marie Rachel Clermont. Souvent, les gens tolèrent et accumulent silencieusement. Et même s'ils ne l'expriment pas clairement, notre comportement les blesse. » Devant ces marques de déception et ces sous-entendus, on se sent inadéquate.
On gère comment? « En interrogeant la personne sur ce qu'elle n'exprime pas, croit Mme Clermont. « Ça semble te déranger, pourquoi? Comment voudrais-tu que ça se passe? »» On amène la personne à développer et on clarifie la situation ensemble. « Si notre copine a été blessée de manière répétitive par notre comportement, ça peut être l'occasion de s'excuser et de lui proposer de repartir sur de meilleures bases, poursuit la psychologue. On cessera alors de culpabiliser et de se sentir redevable. »

8. « Tu te laisses aller... », glisse notre conjoint alors qu'on a bien conscience d'avoir pris quelques kilos.
Pourquoi se sent-on coupable? Probablement parce qu'on a l'impression d'avoir failli dans notre quête de la perfection. « La culpabilité naît du conflit entre soi et l'image idéale de soi », affirment Catherine Aimelet-Périssol et Aurore Aimelet dans leur livre Apprivoiser sa culpabilité. On voudrait toutes être des Demi Moore et on se sent coupables de ne pas aller au gym, malgré nos agendas de ministres.
On gère comment? « J'en ai profité pour déclencher une bonne discussion sur notre vie de couple, dit Céline, 45 ans. Contrairement à ce que j'avais cru, ses paroles ne se voulaient pas un reproche, mais relevaient plutôt d'une maladresse. Il m'a dit que ce n'était pas tant mes poignées d'amour qui le dérangeaient que le fait que j'aie perdu cette légèreté qui me caractérisait autrefois. Il ne me sentait pas heureuse. On a redéfini le partage des tâches afin que je puisse me consacrer à mes activités préférées. Ça me fait un bien fou, je suis beaucoup mieux dans ma peau et je ne me sens plus coupable de ne pas être parfaite. De plus, mon conjoint est ravi! »

9. « Je devrais en faire plus... », se dit-on encore, en regrettant de ne pas avoir plié cette dernière brassée de linge avant d'aller se coucher.
Pourquoi se sent-on coupable? « Les "Je devrais" et "Il faut que" amènent automatiquement un sentiment d'obligation et une pression, rappelle Marie-Hélène St-Hilaire. Mais il n'y a pas grand-chose dans la vie qui mérite un "Il faut" ou "Je devrais"... »
On gère comment? En apprenant à mettre l'accent sur ce qui a été accompli et non sur ce qui reste à faire (cela pourrait mener à la dépression). Il y aura toujours d'autres tâches à faire! Mieux vaut reconnaître qu'on a bien travaillé et qu'il est temps de se coucher pour bien récupérer et être d'attaque le lendemain. On n'a pas à s'en faire : notre brassée non pliée ne se sauvera pas durant la nuit!

Source : Revue Coup de pouce




Guignolée de la Fondation 24-Juin

Une journée spéciale guignolée aura lieu le lundi 7 décembre. Des gens de la Fondation seront présents cette journée-là dans les 3 pavillons pour récolter argent, denrées et jouets en bon état.

Soyez généreux!

jeudi 26 novembre 2015

Faire du ménage rend-il plus heureux?

Marie Kondo, auteure japonaise et experte en rangement semble avoir trouvé le secret du bonheur : une maison bien ordonnée! Voici quelques explications tirées de son livre, un succès mondial.

À l'âge de 5 ans, Marie Kondo aimait feuilleter des magazines pour observer la décoration intérieure des maisons et, particulièrement, les espaces de rangement. Dix ans plus tard, la Japonaise s'est attaquée au ménage de la demeure de ses parents : elle a essayé toutes les méthodes de rangement proposées alors sur le marché.

Devenue experte dans l'art de créer des espaces ordonnés, Marie Kondo, aujourd'hui âgée de 30 ans, a publié un livre, Le pouvoir étonnant du rangement (avril 2015). Au Japon, l'ouvrage a connu un succès fou : il s'est vendu à plus de 1,3 million d'exemplaires. Dans le monde, plus de 2,5 millions exemplaires ont été écoulés. La papesse du rangement est à la tête d'une entreprise prospère qui repose sur la méthode de rangement qu'elle a mise au point, le système KonMari (issu de son surnom).

Le système KonMari

Celui-ci vise à « ranger d'un seul coup, complètement et aussi vite que possible, en commençant par jeter », peut-on lire dans son best-seller. Selon l'auteure, sa méthode est infaillible, à la portée de tous et permet de désencombrer et d'organiser son espace, une bonne fois pour toutes. Mieux encore, elle rend plus heureux. Comment? « Une réorganisation spectaculaire de la maison engendre des changements spectaculaires en termes de mode de vie et de vision de l'existence. » Ainsi, en ordonnant son espace, on change son état d'esprit et on allège sa vie.

La première étape du grand ménage est de jeter. Selon Marie Kondo, chaque objet doit passer entre les mains de son propriétaire, et celui-ci doit se demander : « Cet objet me procure-t-il de la joie? » Si la réponse est « oui », on le garde; si c'est « non », on s'en débarrasse. Cela vous semble un critère subjectif et vague? « Il faut conserver seulement les choses qui nous touchent, écrit-elle à plusieurs reprises au fil des 240 pages, parce que jeter et garder des choses n'ont qu'un

L'avis d'un psychologue

Heureux, vraiment? Selon Rémi Côté, psychologue, pas de doute : le dépouillement appelle au calme. « On se sent apaisé lorsqu'on regarde l'horizon, dit-il. Pourquoi? Parce que, selon la théorie de l'évolution, le primate aimait marcher dans la prairie, là où il pouvait voir venir les prédateurs. Il n'était alors pas inquiet, pas menacé. C'est ce que l'horizon, comme un bord de de mer, évoque. » Jocelyne Vien, organisatrice professionnelle à la tête de Zone Atlantis, croit, elle aussi, qu'une maison ordonnée rend plus heureux. « Lorsqu'on a tout à portée de main, on perd moins de temps et on a la vie plus facile », souligne-t-elle.


De là à dire que tout le monde - les artistes comme les familles avec de jeunes enfants - doit vivre dans un environnement épuré, il n'y a qu'un pas... que M. Côté ne franchit pas. « Certains génies créateurs se retrouvent dans un bureau en fouillis, avoue-t-il. Ça prend des espaces qui appellent au calme comme ça prend des lieux pour passer à l'action, bref, un équilibre. »

Source : Revue Coup de pouce

Document ajouté sur le PARTAGE



Mise à jour de la liste téléphonique 2015-2016

jeudi 19 novembre 2015

Documents ajoutés sur le PARTAGE

-   Mise à jour de la liste des comités 2015-2016


Conseil d'établissement

-   Procès-verbal du 21 septembre 2015


Conseil d'école

-   Compte rendu du 14 septembre 2015


Comités de perfectionnement des enseignants

-   Document d'information
-   Différence entre le centralisé et le décentralisé

mercredi 18 novembre 2015

Quatre aliments anti-âge pour paraître et se sentir plus jeune

Les pigments et vitamines contenus dans les aliments combattent naturellement les effets du vieillissement en luttant contre les maladies et vous aident à maintenir une apparence saine et jeune.

4 aliments anti-âge pour paraître et se sentir plus jeune

1. Papaye

La papaye est riche en pigments rouges, jaunes et oranges appelés caroténoïdes, riches en antioxydants pour la peau et pour le corps.
  • Ils pénètrent dans le sang lorsque vous mangez de la papaye et ont un effet magique sur votre peau en stimulant ses défenses contre les rayons nocifs du soleil et en débarrassant votre corps des radicaux libres.
  • La papaye améliore la santé digestive, réduit l'inflammation dans le corps, stimule l'immunité, améliore la fonction articulaire et augmente l'énergie.
  • La papaye est en outre connue pour son efficacité contre les cancers liés aux hormones, tels que le cancer du sein.
Famille des caroténoïdes
Elle comprend le bêta-carotène, le lycopène, la lutéine et la zéaxanthine qui sont de puissants antioxydants et d'excellentes sources de vitamines A, C et E.
  • D'autres fruits et légumes contiennent aussi des caroténoïdes. Recherchez les riches teintes de rouge, de jaune et d'orange dans la pastèque, les tomates, le pamplemousse, les mangues et le melon de cantaloup.
  • Des recherches récemment menées sur les personnes entre 40 et 50 ans ont montré que celles qui adoptent un régime riche en caroténoïdes ont moins de rides visibles.

2. Chocolat noir

Le cacao, ingrédient principal du chocolat noir, contient un flavonoïde appelé épicatéchine, riche en antioxydants.
  • Les recherches ont montré que l'ingestion de chocolat noir améliore la santé cardiaque, régule la tension artérielle et assure la prévention des crises cardiaques.
  • Il paraîtrait que le chocolat noir ralentit les effets de la démence liée à l'âge.

3. Avocats

L'huile des avocats produit une grande quantité d'antioxydants qui combattent le cancer et les maladies du cœur, tout en stimulant l'immunité pour lutter contre d'autres maladies.
  • Les avocats peuvent aussi améliorer la santé des diabétiques en améliorant les lipides sanguins. Ils sont aussi riches en vitamines E qui donnent à la peau et aux cheveux un éclat de jeunesse particulièrement sain.

4. Bleuets

Les bleuets sont riches en vitamines C, en potassium et en antioxydants. Ils sont également riches en pigments bleus foncés appelés flavonoïdes.
  • Les recherches ont démontré que l'ingestion de myrtilles améliore le fonctionnement de la mémoire.
  • Les flavonoïdes sont censés renforcer les connexions neuronales dans le cerveau et stimuler la régénération des neurones.
Bref, il est possible de combattre de façon naturelle les effets du vieillissement. Grâce à ces quatre aliments, vous allez non seulement paraître plus jeune, mais en plus, vous vous sentirez mieux.

mercredi 11 novembre 2015

Retraite de Maryse Lapointe

Quelques photos du 5 novembre dernier!










Bonne retraite Maryse!

mardi 10 novembre 2015

Ne tolérez plus...

A partir d’aujourd’hui, vous devriez donc arrêter de tolérer :


Les personnes qui vous rabaissent
Les relations ne devraient jamais vous détruire, elles n’ont d’intérêt que si elles vous apportent quelque chose. Passez du temps avec les gens qui vous apprécient, et oubliez ceux qui cherche à vous rabaisser.

Un travail que vous détestez
Pourquoi passer 40 ans de votre vie à faire quelque chose que vous n’aimez pas? Pour l’argent me direz-vous… Mais le jeu en vaut-il vraiment la chandelle…

Votre propre pessimisme
Vous n’avez peut-être pas conscience de la manière dont vos pensées peuvent vous affecter sur le long terme. A force d’être négatifs et pessimistes, vous risquez d’attirer la malchance et de vous endiguer dans un cercle vicieux. Pensez positif pour changer!

Une communication biaisée
Chacun interprète vos paroles avec les filtres qui lui ont propres, si vous acceptez d’être imprécis dans vos paroles, vous risques de perdre des relations importantes et des moments de bonheurs précieux.

Un lieu de vie sans âme
Vous passez une grande partie de vos journées au bureau ou chez vous. La vie est trop courte pour repousser quelques travaux et décorations qui pourraient rendre votre quotidien plus agréable à vivre. N’attendez pas d’avoir 60 ans. On ne vit qu’une fois, autant que ce soit dans un endroit sympa!

De perdre du temps à dormir plus que nécessaire
La vie est trop courte mais nous aimons la raccourcir en dormant pendant des heures lorsque nous en avons l’occasion. Pourquoi ne pas profiter des moments de vie au maximum? Le sommeil est agréable, mais inconscient!

La pression du regard des autres
N’essayez pas de vous conformer à ce que vous imaginiez que les autres attendent de vous, vous en oublieriez d’être heureux comme vous êtes. Dans le fond, les autres n’attendent rien de vous, si ce n’est que vous soyez authentique.

Votre peur du changement
Le changement, c’est la vie. Si vous passez votre vie à fuir le changement, vous passerez probablement à coté de ce dont vous aviez réellement besoin.

Prendre des risques avec votre santé
Sérieusement, si vous choisissez volontairement de diviser votre durée de vie par deux, vous ne pourrez plus vous plaindre et dire que la vie est trop courte.

La routine
L’avantage de la vie, c’est que l’on peut gouter à tellement de choses différente qu’il serait dommage de faire toujours la même. Surtout si la chose en question n’a quasiment aucun intérêt.

L’avarice
Certains racontent que le fait d’aider les autres ou le fait d’offrir sont d’excellents moyens d’être heureux. Je crois que c’est vrai. Il ne s’agit pas de tout donner et de rien garder pour vous, mais simplement de ne pas vous priver de faire plaisir.

L’endettement
C’est en quelque sorte la prison moderne. Vous dépensez plus que vous ne devriez pour satisfaire des besoins ponctuels et vous le regrettez quelques années plus tard lorsque votre compte est bloqué et votre famille limitée à manger du riz tous les soirs de la semaine. Ne choisissez jamais la voie de la facilité, la vie est trop courte pour la passer à rembourser des dettes.

Ne jamais rien prendre à la légère
Je sais que la vie c’est du sérieux, et que votre boulot vous plait peut être beaucoup. Mais le rire est l’une des choses dont on serait bien idiot de se passer tant il aide à oublier tout ce qui va mal. N’oubliez pas de prendre la vie à la légère, rien n’est si important que vous ne l’imaginez.

Ne pas être préparé
La vie est faite de moments inattendus, mais vous devez être préparé à l’inattendu et l’affronter plutôt que de le fuir. Soyez préparé en toute circonstance.

Ne pas vivre vos rêves
Qu’est-ce qu'il y a de plus important que de vivre la vie dont vous rêvez? Probablement rien. Cela devrait être votre priorité quel que soit le moment et le contexte dans lequel vous vous trouvez. La vie est trop courte. Vivez vos rêves!

Julien Perret

jeudi 5 novembre 2015

Comment gérer son stress

Les événements marquants de notre vie, comme changer d'emploi, se marier ou devenir parent, peuvent engendrer du stress. Comme sources de stress, mentionnons les préoccupations constantes en ce qui concerne vos finances ou l'avenir de vos enfants, ou encore les désagréments quotidiens, comme avoir à faire réparer votre voiture ou arriver en retard au bureau.
Tous les événements qui provoquent du stress ne sont pas nécessairement négatifs. La manière dont nous composons avec ces événements influe grandement sur notre bien être physique, mental et social. Nous pouvons voir ces événements comme des défis qui enrichissent nos vies, ou les voir comme des facteurs de stress qui nous empêchent de profiter de la vie.
Vous pouvez améliorer tous les aspects de votre vie en apprenant à gérer votre stress. Les approches suivantes vous aideront à mieux faire face au stress dans votre vie :
  • Créez un équilibre entre le travail et les loisirs. Organisez votre vie de façon à ne pas vous sentir coupable lorsque vous vous reposez et à ne pas vous amuser alors que vous devriez travailler.
  • Prenez le temps de rire.
  • Apprenez à déléguer; vous n'avez pas à tout faire vous mêmes.
  • Utilisez des techniques de relaxation comme le yoga ou la méditation. Élargissez votre horizon spirituel.
  • Faites beaucoup d'exercice. S'il le faut, combinez-le avec des tâches physiques qui doivent être faites (jardinage, ménage, etc.).
  • Apprenez à gérer votre temps. Dressez des listes de priorité.
  • Mangez sainement. L'alcool, la caféine et les graisses rendent la gestion du stress plus difficile tandis que d'autres aliments comme les fruits, les légumes et les grains entiers la favorisent.
  • Prenez du repos et obtenez le sommeil dont votre corps a besoin.
  • Discutez ouvertement de vos problèmes avec vos amis, vos proches ou un conseiller.
  • Prenez des vacances de temps à autre. Ralentissez un peu. Amusez-vous!
  • Sachez qu'il n'est pas nécessaire de « gagner » toutes les disputes. Soyez moins compétitifs.
  • N'essayez pas d'être parfait et ne vous attendez pas à ce que les autres le soient.

jeudi 29 octobre 2015

Document ajouté sur le PARTAGE

COMITÉ DE STAGE

-  Compte rendu du 21 octobre 2015

Une heure de plus pour dormir dimanche matin!



À l'automne 2015, on recule
montres et horloges d'une
heure dans la nuit du 31 octobre
au 1er novembre, à 2 h.

10 trucs pour avoir plus d'énergie

On peine à se tirer du lit le matin et on cogne des clous au milieu de l’après-midi?
Sommes-nous condamnées à manquer d’énergie?
Des conseils pour faire le plein de vitalité.



On boit 1 à 2 L d'eau par jour
Pour y arriver, on traîne une bouteille d'eau lors de nos déplacements et on laisse en permanence un pichet d'eau au réfrigérateur. Mais attention : boire une grande quantité d'eau d'un coup n'est pas une solution, car notre corps se charge aussitôt d'éliminer le surplus.

On mange toutes les trois heures environ en entrecoupant les repas de collations
« Sinon le corps réagit au jeûne et ralentit son activité, espérant trouver une source rapide d'énergie, explique la nutritionniste Geneviève O'Gleman. C'est alors que se produit la rage de sucre. » Or, le sucre, vite digéré, ne peut procurer une source stable d'énergie.

À l'heure du lunch, on choisit des repas légers
Après un repas copieux, on risque d'avoir envie de dormir : la digestion monopolise beaucoup d'énergie, surtout si on a consommé une bonne quantité de matière grasse.

On opte pour des collations alliant glucides et protéines
Cette combinaison a deux avantages : les glucides, facilement digérés, nous fournissent un regain d'énergie immédiat, et les protéines se transforment plus lentement pour fournir une énergie durable.

On veille à la qualité de notre sommeil
On s'assure que notre chambre baigne dans le silence et l'obscurité pendant la nuit. On sort de la pièce tout objet rappelant le travail, comme l'ordinateur où l'agenda. On ouvre une fenêtre pour que l'air circule. Pour conserver une humidité adéquate, on maintient la température entre 15°C et 18°C.

Pendant la journée, si on ressent l'envie de faire une petite sieste, on se repose
Notre horloge biologique, même en période d'éveil, nous réserve des phases passives, surtout entre 13 h et 16 h. Après une pause, on sera plus productive et concentrée.

Pendant nos vacances, on fait un test pour savoir de combien d'heures de sommeil on a naturellement besoin
On se met au lit quand on est fatiguée et on se lève quand on est réveillée. On attend quelques jours pour effacer la dette de sommeil et briser la routine. Ensuite, on fait la moyenne de nos heures de sommeil quand on n'a pas de contrainte. C'est la durée dont notre corps a besoin.

On trouve une façon de relaxer qui nous convient et on la pratique régulièrement
Pas seulement quand on est au bout du rouleau! Que ce soit de la lecture, un bain à la lavande, de la musique douce, de la méditation, etc. L'important est d'évacuer les tensions et le stress accumulés dans la journée.

On laisse entrer d'avantage d'air frais et on contrôle le taux d'humidité à l'aide d'un hygromètre afin d'améliorer la qualité de l'air dans la maison
Le pourcentage d'humidité doit se situer entre 30% et 50%. Si nécessaire, on investit dans un déshumidificateur ou un humidificateur.

On s'offre plusieurs petites pauses agrémentées d'exercices d'assouplissement pour éviter les maux de dos, favoriser une meilleure circulation sanguine et détendre les muscles.

Source : Coup de pouce