Comité Soutien à la réussite
- Compte rendu du 15 octobre 2014
- Compte rendu du 12 novembre 2014
jeudi 27 novembre 2014
Nouveaux documents ajoutés sur le PARTAGE
On s'en « fish »
(Histoire d’une contamination…)
Depuis quelques années, Martin Cabana, enseignant en
infographie, utilise une stratégie
pédagogique hors du commun et voilà qu’il contamine d’autres enseignants.
À l’aide d’un jeu qui met en mouvement des poissons multicolores, Martin amène ses élèves à entrer en compétition avec leurs collègues pêcheurs. Dans cette compétition loufoque, le premier élève à pêcher un poisson obtient un point pour son équipe et le droit de répondre une question. Une bonne réponse lui donnera un autre point. Tout en s’amusant, les élèves révisent les notions apprises en classe.
Cette année, Mona-Lee Dénommée expérimente à son tour le
tournoi de pêche dans sa classe d’anglais. Elle a intitulé son activité :
«On s’en fish»! Mona-Lee ajoute aux règles de Martin la
possibilité pour les élèves de voler les poissons de leurs collègues lorsque
ceux-ci ne trouve pas la bonne réponse. Bref, du braconnage…
Dans les deux classes, la réaction des élèves passe de la
surprise à l’enthousiasme.
Bravo à ces deux maîtres pêcheurs!
Source : Serge Mercier, conseiller pédagogique à l'unité 2
vendredi 21 novembre 2014
Johanne Drouin nous présente son merveilleux CD
Notre collègue Johanne Drouin, conseillère d’orientation a
vécu un moment très spécial récemment.
Grande passionnée de musique depuis sa plus tendre enfance, elle est impliquée dans le chant choral depuis
plus de 20 ans et affectionne également les grands standards jazz dont elle a
fait la découverte à l’adolescence.
C’est avec grande fierté que dernièrement, soit le mercredi
12 novembre que Johanne a fait le
lancement de son CD « Couleurs Vintage » à Magog en formule privée. Elle
nous amène dans son univers musical, ses coups de cœur des grands standards
jazz des années 40, 50 et 60.
Ses interprétations….intimistes, remplies d’émotions, tout
en douceur…..etc. nous font vivre un moment privilégié. Le choix des pièces interprétées est excellent, si vous aimez le jazz, vous saurez apprécier cet album.
Pour vous donner un aperçu, voici la première pièce de l'album.
Source : Renée Jetté, secrétaire de gestion
« À qui sait
l’écouter et l’apprécier, la musique devient une extase à en faire perdre la
notion du temps de par les images et les émotions intemporelles qu’elle procure… »
Johanne
jeudi 20 novembre 2014
Nouveaux documents ajoutés sur le PARTAGE
Conseil d'école
- Compte rendu du 8 septembre 2014
Activité du 14 novembre 2014
- Présentation PowerPoint
Fondation
- Horaire du mois de décembre
- Compte rendu du 8 septembre 2014
Activité du 14 novembre 2014
- Présentation PowerPoint
Fondation
- Horaire du mois de décembre
Prix d'excellence CSRS
Le Comité de soutien à la réussite du Centre de formation professionnelle 24-Juin
Au Centre de formation professionnelle 24-Juin, un comité de soutien à la réussite multidisciplinaire (direction adjointe, conseillère pédagogique, responsable de l’encadrement et du suivi des élèves ainsi qu’enseignants) a mis l’épaule à la roue pour pallier le manque de ressources financières afin d’outiller les enseignants pour qu’ils puissent mieux soutenir les élèves dans leurs apprentissages. Un mode d’emploi a été élaboré pour l’enseignant qui rencontre des manifestations de difficultés d’apprentissage. Ce recueil regroupe des stratégies constituant un outil de référence indispensable auprès du personnel enseignant en formation professionnelle. Il contribue à améliorer la réussite de l’élève lorsqu’on observe rapidement un problème; on peut instantanément le contrer par des stratégies précises.
De gauche à droite :
Marie-Josée Demers, enseignante et membre sur le comité depuis le début de sa création et présidente du comité cette année
Jacinthe Bouchard, conseillère pédagogique ayant pris le leadership de la création du document
Suzie Brassard, direction adjointe et membre du comité pendant plusieurs années, elle n'est plus sur le comité mais a participé à la création de ce document
Lise Boulé, direction adjointe présente sur le comité cette année
Bravo!
jeudi 13 novembre 2014
Jeux de mots français sur les métiers
Les mauvaises langues racontent que le pâtissier s’est fait une religieuse en un éclair, que le poissonnier fait le maquereau avec une morue et que le volailler court toujours après ses poules mais qu’il y laisse des plumes!
Le charcutier n’est pas mieux loti : il a épousé un boudin, quelle andouille!!! Le boucher s’est mordu la langue en taillant une bavette…
On raconte aussi que le croque-mort a enterré sa vie de garçon en buvant de la bière. Ce fut une belle fête! Le cafetier a servi des demis à un jeune mousse et le menuisier a attrapé la gueule de bois en abusant du buffet.
À force de chanter, le vétérinaire a eu un chat dans la gorge ce qui lui a occasionné une fièvre de cheval. Quant au viticulteur qui prend de la bouteille, il a demandé qu’on lui lâche la grappe!
L’horloger n’est pas resté longtemps car depuis qu’il a perdu sa grande aiguille, il n’a plus une minute à lui.
Cela ne s’arrange pas chez les autres commerçants…!
Le boulanger qui s’était fait rouler dans la farine est dans le pétrin.
L’électricien a été déclaré positif alors qu’il était neutre.
Le plombier a pris la fuite en fumant un joint avec le couturier qui a choisi de monter un col plutôt que de traverser la manche.
Le cordonnier qui les accompagnait s’est fendu le cuir chevelu sur une route en lacets.
L’épicière a pris une amende en passant à l’orange et son avocat s’est trouvé le bec dans l’eau en défendant cette cruche!
L’électricien a été déclaré positif alors qu’il était neutre.
Le plombier a pris la fuite en fumant un joint avec le couturier qui a choisi de monter un col plutôt que de traverser la manche.
Le cordonnier qui les accompagnait s’est fendu le cuir chevelu sur une route en lacets.
L’épicière a pris une amende en passant à l’orange et son avocat s’est trouvé le bec dans l’eau en défendant cette cruche!
Maintenant, cela se gâte…!
Partis en vacances ensemble, le bijoutier a lâché une perle dans une rivière en diamants et le pharmacien s’est “emmerdé” au lac “Satif “. Ils n’avaient pas digéré la sauce tartare du cuisinier faite trop tôt le matin.
Le seul qui va bien, c’est un bûcheron qui est en permanence sous le charme en écoutant Dutronc!
En conclusion :
Il faut être un facteur légèrement timbré pour prendre cette histoire au pied de la lettre.
En fait, il n’y a que le coiffeur qui se barbe, à force de couper les cheveux en quatre!
En fait, il n’y a que le coiffeur qui se barbe, à force de couper les cheveux en quatre!
Auteur inconnu
Une finale enlevante au Challenge étudiants vins du Portugal
Des
étudiants en sommellerie de 6 écoles du Québec se sont affrontés dans des
épreuves théoriques et de dégustation sur les vins du Portugal. Une finale
relevée, avec de futurs sommeliers au talent incontesté.
UN DÉFI DE TAILLE
Touriga Nacional, Baga, Tinta Roriz, Castelao, Encruzado… Ces noms de cépages
ne disent pas grand-chose au simple amateur de vin. Mais le Portugal compte
plus de 250 cépages autochtones. Un défi énorme pour les dizaines d’étudiants
en sommellerie qui ont participé à ce concours, et qui ont eu moins d’un mois
pour en apprendre sur ce pays où le vin est synonyme de diversité.
Chacune des 6 écoles participantes a d’abord dû sélectionner un candidat à
l’occasion d’une demi-finale, qui consistait en une épreuve de connaissances,
puis d’une dégustation à l’anonyme.
Les 6 meilleurs étaient ensuite conviés à croiser le fer lors de la grande
finale, qui s’est déroulée le vendredi 7 novembre 2014 à l’occasion de la
Grande dégustation de Montréal.
Ce concours a pour partenaires Vins du Portugal, Sopexa Canada, et est
orchestré par le sommelier Vincent Lafortune, président de Tuxedo Expérience
Vinicole: « L’objectif,
c’est d’offrir à un candidat une opportunité que moi, quand j’étais étudiant en
sommellerie, je n’ai pas eue, et que j’aurais aimé avoir ».
Parce qu’il y a un voyage au Portugal à la clé, Vincent Lafortune explique que
c’est une occasion en or pour les jeunes sommeliers : « C’est un début, on rencontre
des producteurs, on échange avec des gens, on voyage avec d’autres personnes,
venus d’autres pays, on élargit nos horizons, et je pense que c’est comme ça
qu’on arrive à faire un meilleur sommelier. Et surtout, d’évoluer dans un monde
comme celui du vin, qui bouge presqu’à la vitesse de la lumière, il faut se
tenir à jour. »
UNE FINALE DIGNE DES PLUS GRANDS CONCOURS
Une grande finale de près de 4 heures. Une épreuve écrite, d’abord, qui
demandait une bonne connaissance des régions viticoles du Portugal. Puis une
série de 3 épreuves devant public.
La première consistait à répondre, en moins de 10 secondes, à d’autres
questions pour tester leurs connaissances des vins du Portugal. « Le Vinho Verde est un vin
puissant et corsé, vrai ou faux? », « Sous quel autre nom est connu
le cépage Aragonês? »…
La deuxième épreuve devant public faisait davantage appel à leur mémoire
visuelle, olfactive et gustative, puisqu’ils avaient devant eux 5 vins non
identifiés, qu’ils devaient associer à la bonne région du Portugal.
Enfin, les finalistes ont procédé à l’épreuve reine de tout concours de
sommellerie: une dégustation à l’anonyme. 3 minutes pour décrire de façon
complète le visuel, le nez, la bouche, et suggérer un accord mets-vin.
Le tout sous le regard attentif de trois juges de qualité : la juge en
chef Élyse Lambert, gagnante du concours de meilleur sommelier des Amériques en
2009, accompagnée du sommelier Paolo Ferreira, de Ferreira Café, et
d’Anne-Louise Desjardins, rédactrice en chef du magazine Exquis.
LES GAGNANTS
Sébastien Forest-Levasseur, 25 ans, de l’École hôtelière de la Capitale,
remporte la première place, et se voit mériter un voyage d’une semaine toutes
dépenses comprises au Portugal, où il aura l’occasion de visiter tous ces
vignobles sur lesquels il a tant lu au cours des dernières semaines.
Le jeune étudiant en sommellerie, qui avait gardé tout son sérieux pendant la
finale, avait enfin le sourire aux lèvres lorsque la première place a été
dévoilée. « Je shake!
Je suis vraiment content, je vais essayer de profiter de ce voyage-là au
max! » a-t-il lancé, avant de remercier son professeur, le
sommelier Kler-Yann Bouteiller. « Il
m’a pris en main, pis pas à peu près. Grâce à lui, je me suis beaucoup amélioré
en peu de temps, il est en bonne partie responsable de mon succès. »
Pascal Raymond, de l’École hôtelière des Laurentides (Ste-Adèle), remporte la
deuxième place, après avoir livré une des meilleures performances à l’épreuve
de dégustation à l’anonyme. Geneviève Paquette, du Centre 24-Juin (Sherbrooke),
ferme quant à elle la marche du podium avec une belle troisième place et ce, après seulement 3 semaines de cours.
Les autres finalistes étaient Jessica Camirand, du collège Mérici (Québec),
Joanie Paquet, du Cégep Limoilou – Campus Charlesbourg (Québec), et Alyssa
Shaw, de la Lester B. Pearson School of Culinary Arts (Montréal).
Certains d’entre eux sont sur les bancs des écoles de sommellerie depuis 3
mois, d’autres depuis seulement 1 semaine. Mais ils sont tous animés par la
même passion des vins.
Ils incarnent la relève en sommellerie du Québec. Et pour Vincent Lafortune, il
y a de quoi être fier: « On
est toujours impressionné de voir la rapidité avec laquelle ils apprennent les
données, et ça donne toujours un résultat devant public, qui est très
impressionnant ».
Il s’agissait de la 3e et dernière édition du Challenge étudiants
Vins du Portugal, mais le président de Tuxedo Expérience Vinicole envisage déjà
l’organisation d’un concours similaire l’année prochaine, possiblement avec un
autre pays. « Oui, il
faut continuer à encourager la relève, car le Québec est une pépinière à
sommeliers de qualité, pensez à Véronique Rivest ou Élyse Lambert, on veut
continuer dans cette lignée-là d’avoir des gens qui représentent le Québec à
l’international, et ça commence dès leurs premières classes. »
Julien Lafille,
Journaliste-œnophile.
vendredi 7 novembre 2014
Histoire drôle sur l'environnement
À la caisse d'un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l'écologie et lui dit :
- Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources!
La vieille femme s'excuse auprès de la caissière et explique :
- Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps.
Alors qu'elle quitte la caisse, la mine déconfite, la caissière ajoute :
- Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à nos dépens. C'est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l'environnement dans votre temps!
Alors, un peu énervée, la vieille dame fait observer qu'à l'époque on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l'usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
Elle ajoute :
- De mon temps, on montait l'escalier à pied: on n'avait pas d'escaliers roulants et peu d’ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu'il fallait se déplacer de deux rues : on marchait jusqu'à l'épicerie du coin. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On ne connaissait pas les couches jetables : on lavait les couches des bébés. On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge, pas dans un machine de 3 000 watts. On ravaudait systématiquement les vêtements qui passaient d'un frère ou d'une sœur à l'autre. Mais, vous avez raison, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On n'avait qu'une TV (quand on en avait…) ou une radio dans la maison; pas une dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d'une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l'État du Texas. On avait un réveil qu’on remontait le soir. Dans la cuisine, on s'activait pour préparer les repas; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts. Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boîtes ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique. On travaillait physiquement; on n'avait pas besoin d'aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l'électricité. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On buvait de l'eau à la fontaine quand on avait soif. On n'utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter. On remplissait les stylos dans une bouteille d'encre au lieu d'acheter un nouveau stylo. On remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir entier après quelques utilisations. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. Les gens prenaient le bus, le métro, le train et les enfants se rendaient à l'école à vélo ou à pied au lieu d'utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi 24 heures sur 24. Les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d'une année sur l'autre, les crayons de couleurs, gommes, taille-crayon et autres accessoires duraient tant qu'ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers jetés fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée. Mais, c'est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste. On n’avait qu’une prise de courant par pièce, et pas de bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d'aujourd'hui. ALORS QUELLE GÉNÉRATION SE PRÉOCCUPE LE PLUS DE L'ENVIRONNEMENT?
Petites définitions comiques
ADOLESCENT : Personne qui se conduit comme un bébé lorsqu'on ne le traite pas comme un adulte.
AMOUR : Mot en 5 lettres, trois voyelles, deux consonnes et deux idiots.
ARCHITECTE : Pas assez macho pour être ingénieur, pas assez gay pour être designer.
AVOCAT : C'est une personne qui écrit un document de 10 000 mots et l'intitule
« Sommaire ». (Franz Kafka).
BABY SITTER : Adolescents tenus de se conduire comme des adultes, de manière à ce que les adultes qui sortent puissent se comporter comme des adolescents.
BAGNOLE : Vieille auto dont toutes les pièces font du bruit, sauf la radio.
BANQUIER : Il te prête un parapluie par beau temps et te le reprend lorsqu'il commence à pleuvoir. (Mark Twain)
CONFIANCE : Liberté que l'on accorde à une personne pour qu'elle fasse des bêtises.
CONSULTANT : Celui qui retire la montre de ton poignet, te donne l'heure et te fait payer le service.
DROMADAIRE : Chameau qui bosse à mi-temps.
ECONOMISTE : Expert qui saura demain pourquoi ce qu'il a prédit hier n'est pas arrivé aujourd'hui.
HÉRITIER : Proche parent qui vous prends le pouls chaque fois qu'il vous sert la main.
JURY : Groupe de douze personnes, réunies par un tirage au sort, pour décider qui, de l'accusé ou de la victime, a le meilleur avocat.
PARENTS : Deux personnes qui montrent à un enfant à parler et à marcher, pour ensuite lui dire de fermer sa gueule et de s'asseoir.
PESSIMISTE : Optimiste qui a l'expérience.
POISSON : Animal dont la croissance est excessivement rapide entre le moment où il est pris et le moment où le pêcheur en fait la description à ses amis.
PROGRAMMEUR : Celui qui résout un problème que vous n'aviez pas, d'une façon que vous ne comprenez pas.
PSYCHIATRE : Homme intelligent qui aide les gens à devenir cinglés.
SCOUT : Petit gars habillé en niaiseux qui suit un grand niaiseux habillé en p'tit gars.
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