À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir...
À peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.
... et le mois est déjà fini.
... et l'année est presque écoulée.
... et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
... et on se rend compte qu'on a perdu nos parents, des amis.
... et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière.
Alors... essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qu'il nous reste.
N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...
Mettons de la couleur dans notre grisaille...
Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.
Essayons d'éliminer les « après »...
Je le ferai après...
Je dirai après...
J'y penserai après...
On laisse tout pour plus tard comme si « après » était à nous.
Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :
après, le café se refroidit...
après, les priorités changent...
après, la santé passe...
après, les enfants grandissent...
après, les parents vieillissent...
après, les promesses sont oubliées...
après, le jour devient la nuit...
après, la vie se termine...
Et après, c'est souvent trop tard.
Alors... ne laissons rien pour plus tard...
Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments.
Les meilleures expériences...
Les meilleurs amis...
La meilleure famille...
Le jour est aujourd'hui... l'instant est maintenant...
Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.
Alors voyons si vous aurez le temps de lire ce message et ensuite de le partager/copier.
Ou alors vous le laisserez peut-être pour... « plus tard »...
Et vous ne le partagerez « jamais ».
Boucar Diouf
Source : Johanne Drouin, conseillère d'orientation
jeudi 28 février 2019
jeudi 21 février 2019
Solitude : trucs et conseils pour rencontrer de nouveaux amis et accroître votre réseau
La solitude peut tous nous toucher à différents moments et
de manières diverses. Qu'il s'agisse d'un sentiment fugace ou d'un état
constant d'isolement, voici cinq manières de la combattre. Découvrez également
comment mieux apprivoiser sa solitude.
Solitude : trucs, astuces et
conseils à essayer si vous vous sentez seul
Nous
faisons tous à l’occasion l’expérience de la solitude. Nous pouvons nous sentir
seuls durant les périodes de changement, par exemple lors d’un déménagement, ou
suivant une rupture amoureuse. On se tient alors à distance des autres, tant
physiquement qu’émotionnellement. C’est un sentiment qu’on n’éprouve pas
seulement quand on est seul; il peut nous gagner alors qu’on est en plein
milieu d’une foule.
Cependant,
pour certains, la solitude n’est pas qu’un sentiment fugace. Ce peut être un
état permanent qui entraîne des conséquences sur le long terme. « Je
dirais que c’est un sentiment continu de marginalisation et d’exclusion, et un
déficit de relations intimes », explique Emily White qui, dans la jeune
trentaine, a connu une période de solitude de quatre ans alors qu’elle
travaillait à Toronto comme avocate spécialisée en environnement. « J’étais
constamment en manque d’amis, d’êtres proches, ce qui se traduisait par un
sentiment de solitude anxieuse. »
Auteure
du livre Lonely : Learning to Live with Solitude, dans lequel elle raconte
son expérience, Emily White confie que la solitude prolongée a eu des effets
sur son sommeil et sa santé. « Je passais mon temps à rêvasser et je
n’avais plus la même acuité mentale. Les effets de la solitude étaient bien
réels et visibles. Il m’a fallu un certain temps avant de me rendre compte à
quel point cela me touchait. »
Selon
elle, environ 10% des Nord-Américains souffrent de solitude chronique, trouble
plus fréquent que la dépression dont il diffère et dont on parle moins.
« C’est
un problème fréquent », confirme Lesli Musicar, conseillère et
psychothérapeute de Toronto, qui ajoute que bien des gens refusent d’admettre
qu’ils en souffrent. « Bien souvent, on est à mille lieues de se rendre
compte que la personne en face de soi souffre de solitude. Elle peut se montrer
très sociable et sortir beaucoup, mais ses relations restent superficielles.
Elle peut donner l’impression d’être populaire, mais elle se sent très seule
car elle ne laisse pas les gens se rapprocher d’elle. »
Bien
que certains y soient plus prédisposés que d’autres, il est possible de vaincre
la solitude. Voici quelques conseils qui vous y aideront, de même que quelques
trucs et astuces pour mieux vivre votre solitude.
Évitez de vous isoler
Quand
on se sent solitaire, il n’est pas nécessairement facile d’entrer en relation
avec les autres, mais rester seul ne pourra qu’aggraver le problème. « La
solitude résulte d’un malaise à côtoyer de près les gens », explique Lesli
Musicar, ajoutant que ce dernier est d’autant plus puissant quand on a une
piètre image de soi-même; on craint alors d’être mis à nu et que les autres
n’aiment pas ce qu’ils découvrent sur soi. « Pourtant, si vous refusez
qu’ils s’approchent de vous, votre sentiment de solitude ne fera que se
renforcer. » Quand on s’isole, il n’y a personne pour confronter l’image
négative qu’on a de soi. « Personne pour vous ramener à la réalité; vous
restez seule avec l’opinion que vous entretenez de vous-même. »
Joignez-vous à un groupe
Même
si c’est la dernière chose dont on ait envie quand on éprouve de la solitude,
vous devriez vous joindre à un groupe de gens qui partagent vos intérêts, que
ce soit un cercle de lecture, une équipe sportive, une chorale ou un groupe de
jardiniers amateurs. « Quand on se joint à un groupe dont l’activité
signifie quelque chose pour soi, il y a des chances que cela fasse ressortir le
meilleur de ce qu’on est, souligne Lesli Musicar. Et quand on a du plaisir à
faire ce qu’on fait, on se sent lié aux autres parce qu’on a quelque chose en
commun avec eux. »
Traitez-vous avec douceur
Si
vous souffrez de solitude chronique, vous pourriez craindre que les autres se
rapprochent. Commencez d’abord par apprendre à vous aimer. Pour changer l’image
négative qu’on a de soi, il faut accepter de prendre soin de soi. « La
première relation sur laquelle vous devez travailler, c’est celle que vous
entretenez avec vous-même », explique Lesli Musicar, ce qui pourrait
signifier que vous devez changer les manières de penser que vous avez apprises,
enfant. « Si on vous a négligée ou qu’on vous critiquait continuellement,
explique-t-elle, vous devez changer cela. Vous devez apprendre à vous traiter
avec gentillesse. C’est un grand défi à relever quand on a une piètre opinion
de soi-même. » Cependant, c’est important de le faire, car alors, on peut
entrer plus facilement en relation avec les autres.
Informez-vous
Emily
White a entrepris d’écrire son livre sur la solitude parce qu’elle voulait en
savoir plus sur son problème. En démystifiant la solitude, ses recherches l’ont
aidée à faire face à la sienne. « Plus on en apprend sur la solitude et
plus on découvre à quel point c’est fréquent, moins on se sent seul,
explique-t-elle. C’est difficile de se sentir isolé mais ça l’est encore plus
quand on ne comprend pas son problème et qu’on a l’impression d’être seul à en
souffrir. »
Demandez du soutien
Le
fait de parler de son problème à quelqu’un, que ce soit un ami, un membre de la
famille ou un thérapeute, peut changer bien des choses. « C’est un énorme
défi à relever, explique Leslie Musicar, mais c’est la meilleure chose qu’une
personne puisse faire pour se soigner. Notre culture étant portée à stigmatiser
la solitude, il n’est pas facile d’en parler, mais à ne pas le faire, on risque
d’aggraver davantage encore son état. « C’est quand on entretient une
piètre estime de soi qu’on a le plus besoin d’entendre un autre point de vue,
celui d’une personne qui vous dit que vous avez de l’importance et êtes digne
de l’estime d’autrui. »
Des bienfaits de la solitude:
réapprivoisez la solitude et ses bienfaits
La
solitude n’est décidément pas notre point fort. Mais selon la recherche, nous
gagnerions à surmonter l’angoisse qu’elle fait naître. Il ne s’agit pas pour
autant de devenir ermite, mais passer un peu plus de temps seul comporte des
avantages. En 2011, des chercheurs américains ont administré une décharge
électrique douloureuse aux participants d’une étude. Ils leur ont ensuite remis
un billet de 5 $ et demandé combien ils étaient prêts à céder sur cette somme
pour ne plus subir la sensation désagréable. Pour la deuxième étape, chaque
sujet devait rester seul dans une pièce 15 minutes, avec, comme unique
stimulation, la possibilité d’appuyer sur un bouton pour s’administrer la même
décharge. Plus de 60 % des hommes et 25 % des femmes qui affirmaient préférer
payer pour l’éviter ont appuyé sur le bouton. Il semblerait que la douleur
physique ait été alors préférable à quelques minutes seul avec soi-même…
La solitude pour mieux
s’arrêter et réfléchir
Selon
Eric Klinenberg, professeur en sociologie à l’Université de New York, l’accès
constant aux téléphones portables et aux réseaux sociaux augmente notre
aversion pour la solitude. La peur de passer à côté de quelque chose est
entretenue par d’innombrables photos de nos amis participant à des activités
passionnantes. Le besoin de se divertir n’est jamais assouvi, explique M. Klinenberg,
et nous éloigne de ce qu’il appelle la « solitude productive ».
Réfléchir
à nos actes et songer à nos futurs progrès personnels est la pierre angulaire
de la solitude productive. Organiser notre temps pour y parvenir pourrait nous
rendre plus heureux, plus forts et plus responsables. Autrement dit, cela
permet de prendre du recul pour mieux retrouver la vie courante avec
discernement et énergie.
«
La réflexion en solitaire est un bon moyen de donner un sens à nos choix,
affirme Eric Klinenberg. À moins d’être entièrement satisfait de vous-même et
de votre façon de vivre, la solitude productive est une nécessité. »
La solitude et la
bienveillance
En
2012, lors d’une étude publiée dans le Journal of Experimental Social
Psychology, des chercheurs ont mis en place une série d’expériences pour
déterminer comment nos liens sociaux affectaient la nature de nos relations
avec ceux qui ne font pas partie de nos groupes d’appartenance.
Dans
une des expériences de psychologie sociale, les chercheurs ont réparti les
sujets en deux groupes. Ceux du premier devaient se présenter au laboratoire
avec un ami et ceux du second étaient attendus seuls. Puis les participants ont
formé des paires : ceux qui étaient venus seuls ont été jumelés à un inconnu,
les autres, à leur ami. On leur a ensuite montré des photos en prétendant que
c’était celles de responsables d’un attentat terroriste. Les sujets devaient
répondre à plusieurs questions, notamment pour évaluer leur empressement à
maltraiter autrui, par exemple : « Vous semble-t-il important de traiter ces
gens avec humanité? » Les sujets venus accompagnés étaient plus enclins à
cautionner la violence que ceux qui étaient venus seuls.
Les
chercheurs émettent l’hypothèse que ceux qui passent beaucoup de temps avec
leurs proches sont moins disposés à se lier aux autres. C’est un paradoxe, mais
passer plus de temps avec des connaissances peut nous conduire à éprouver moins
d’empathie envers des inconnus.
Assumer sa solitude
Pour
plusieurs, l’idée d’aller au concert ou au restaurant seul est source
d’angoisse – et si les clients me voyaient comme un paria? Pour Rebecca Ratner,
qui enseigne à l’Université du Maryland, cette crainte nous prive de plaisirs.
« Les gens veulent faire des activités qui leur plaisent – aller au cinéma
ou assister à un spectacle à l’affiche un seul soir – mais s’ils n’ont pas
d’amis pour les accompagner, ils préfèrent y renoncer », déplore-t-elle.
Pourtant, ses
recherches ont démontré que l’activité solitaire, en nature par exemple,
n’était pas moins agréable qu’en bonne compagnie. Pour une étude publiée en
2015, l’équipe de Rebecca Ratner a recruté des participants au sein d’une
association étudiante et leur a demandé de passer au moins cinq minutes dans
une galerie d’art des environs. Certains y sont allés seuls, d’autres à deux.
Sans surprise, ceux qui étaient seuls craignaient de trouver l’expérience moins
agréable. Mais en sortant de la galerie, les sujets des deux groupes avaient éprouvé le même plaisir.
Source : https://www.selection.ca/sante/vivre-sainement
Document ajouté sur le PARTAGE
Conseil d'établissement
- Procès-verbal du 4 décembre 2018
- Procès-verbal du 4 décembre 2018
jeudi 14 février 2019
Le respect : une vraie valeur humaine
Le respect est une valeur que tout le monde devrait avoir dans
la vie! C’est une notion primordiale de la réflexion morale d’une personne
« humaine ».
Avoir du respect c’est
admettre l’idée que les autres sont différents tout en étant nos égaux mais en
aucun cas des objets dans nos mains.
Respecter une personne, de par
sa nature même d'humain, cela tombe sous le sens, mais beaucoup d’entre nous
l’oubli. Le respect n’implique ni peur, ni révérence. Respecter autrui c’est
s’interdire de juger, s’interdire de manipuler l’autre pour quelque raison que
ce soit. C’est accepter ses qualités et ses défauts, ses choix de vie : le
tout sans jugement. On a le droit de suggérer les choses, mais non de les
imposer.
Mais avant tout, le respect
c’est une prise en considération. Lorsque l’on respecte autrui, on prend en
considération ses actes, ses paroles
et sa personnalité. Par le respect, il faut aussi entendre une reconnaissance
de valeur à l’autre ce qui nous oblige à modifier notre conduite vis-à-vis de
lui.
Le terme de respect ne désigne pas un sentiment
psychologique ou d'ordre affectif; il désigne un sentiment d'ordre rationnel et
par-dessus tout moral : une véritable valeur. Le
Respect nous élève car il nous rend plus « responsables » donc plus
attentifs aux autres et à notre environnement.
Arrêtons de nous comporter
comme des goujats. De croire que l’être humain et un pantin et que nous pouvons
le manipuler à notre guise pour satisfaire un fantasme, une pulsion, une envie
de réussite.
Un être humain a un cœur et
une âme. C’est un être vivant à part entière qui mérite à ce titre le respect.
La liberté, c’est le respect
des droits de chacun…
L’ordre, c’est le respect des droits de tous!
Source : http://emmaus-haguenau.over-blog.com
jeudi 7 février 2019
8 astuces pour retrouver votre motivation
Vous avez probablement déjà vécu un
de ces moments où votre motivation n’était pas à son paroxysme. Où tout vous
semble difficile à accomplir et d’un ennui mortel.
Ces situations peuvent survenir
autant dans votre travail que dans vos projets personnels après un certain
temps. Comme si vous deveniez un peu blasé.
Si vous avez besoin de ce petit coup
de pouce qui vous donnerait l’envie d’aller plus loin et de changer de décor,
voici 8 petites astuces qui peuvent faire la différence. Retrouver la
motivation peut parfois se produire dans les petits changements.
1. Écrire ce que vous désirez
Écrire sur papier vos objectifs peut
vous aider à les visualiser et à réfléchir réellement à ce que vous voulez
accomplir. Où vous voyez-vous dans cinq ans? Qu’est-ce que vous aimeriez faire
avant d’atteindre 30, 35 ou 40 ans?
2. Faire ce que vous aimez
Ne vous imposez pas de faire des
choses que vous n’aimez seulement parce que « ce serait bien vu ».
Faites-vous une liste de tâches que vous aimez accomplir, qui vous procurent du
plaisir et surtout, faites-le pour vous, pas pour le regard des autres.
3. Apprendre à dire « non »
À égalité avec le point 2, celui-ci
est aussi d’une grande importance. À dire oui tout le temps à tout et n’importe
quoi, vous finirez par vous oublier et pire, vous vous surmènerez. Faites le
nécessaire et ne prenez pas de trop grosses bouchées à la fois. Une liste de
320 tâches à faire pour hier n’a jamais été motivante. C’est juste stressant.
4. S’entourer de positif
Une grande proportion de la
population est malheureuse. Vous n’avez qu’à lire les commentaires sur Facebook
pour en avoir la preuve. Pour retrouver votre motivation, vous devez éviter ces
gens pessimistes qui semblent trouver un problème à toute solution. Entourez-vous
de gens qui partagent vos aspirations et qui vous élèveront, non le contraire.
Se motiver par procuration, c’est déjà un bon bout de chemin de fait.
5. Ne pas se comparer
Il y aura toujours des gens « meilleurs »
que vous, qui possèdent une plus grande expérience. Ça va toujours arriver, il
faut se résoudre. Ce qui est merveilleux par contre, c’est que leur expérience
de vie ne vous enlève strictement rien. Évitez de vous comparer, surtout si
vous n’avez pas le même parcours, expérience de vie ou le même âge. Comparez-vous
à vous-même et regardez ce que vous avez accompli dans les dernières années. Où
étiez-vous ne serait-ce qu’il y a deux ans de cela?
6. Éviter les excuses
Si vous attendez d’avoir le temps ou
l’argent pour accomplir ce que vous voulez, vous ne le ferez jamais. C’est bien
de prévoir à l’avance, mais il ne faut pas que ce facteur devienne un handicap
ou une échappatoire. À un moment donné, il faut accepter qu’on ne puisse pas
tout contrôler et que même si vous essayez, des imprévus surviendront. C’est
certain. Alors mieux vaut sauter dans le vide tout de suite, non?
7. Bouger
De simplement pratiquer une activité
physique quelques fois par semaine peut vous aider à sortir de votre tête et
canaliser votre énergie sur votre bien-être et votre corps. Vous pourrez ainsi
avoir des pensées claires sur ce que vous voulez et l’énergie nécessaire pour
accomplir vos tâches.
8. Aménager votre environnement
Un environnement gris, c’est
ordinaire et absolument pas motivant. Vous pouvez toutefois aménager votre
espace de travail pour qu’il vous ressemble et que vous puissiez y passer des
heures sans vous démotiver. Ajoutez-y une petite touche personnelle comme des
photos ou des objets colorés!
Source : https://www.journaldemontreal.com
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