jeudi 28 février 2019

Le temps

À peine la journée commencée et ... il est déjà six heures du soir...

À peine arrivé le lundi et c'est déjà vendredi.
... et le mois est déjà fini.
... et l'année est presque écoulée.
... et déjà 40, 50 ou 60 ans de nos vies sont passés.
... et on se rend compte qu'on a perdu nos parents, des amis.
... et on se rend compte qu'il est trop tard pour revenir en arrière.
Alors... essayons malgré tout, de profiter à fond du temps qu'il nous reste.

N'arrêtons pas de chercher à avoir des activités qui nous plaisent...
Mettons de la couleur dans notre grisaille...
Sourions aux petites choses de la vie qui mettent du baume dans nos cœurs.
Et malgré tout, il nous faut continuer de profiter avec sérénité de ce temps qui nous reste.

Essayons d'éliminer les « après »...
Je le ferai après...
Je dirai après...
J'y penserai après...
On laisse tout pour plus tard comme si « après » était à nous.

Car ce qu'on ne comprend pas, c'est que :
après, le café se refroidit...
après, les priorités changent...
après, la santé passe...
après, les enfants grandissent...
après, les parents vieillissent...
après, les promesses sont oubliées...
après, le jour devient la nuit...
après, la vie se termine...
Et après, c'est souvent trop tard.

Alors... ne laissons rien pour plus tard...
Car en attendant toujours à plus tard, nous pouvons perdre les meilleurs moments.
Les meilleures expériences...
Les meilleurs amis...
La meilleure famille...
Le jour est aujourd'hui... l'instant est maintenant...
Nous ne sommes plus à l'âge où nous pouvons nous permettre de reporter à demain ce qui doit être fait tout de suite.

Alors voyons si vous aurez le temps de lire ce message et ensuite de le partager/copier.
Ou alors vous le laisserez peut-être pour... « plus tard »...
Et vous ne le partagerez « jamais ».

Boucar Diouf

Source : Johanne Drouin, conseillère d'orientation



Souper bénéfice de la Fondation CFP 24-Juin


jeudi 21 février 2019

Solitude : trucs et conseils pour rencontrer de nouveaux amis et accroître votre réseau


La solitude peut tous nous toucher à différents moments et de manières diverses. Qu'il s'agisse d'un sentiment fugace ou d'un état constant d'isolement, voici cinq manières de la combattre. Découvrez également comment mieux apprivoiser sa solitude.




Solitude : trucs, astuces et conseils à essayer si vous vous sentez seul

Nous faisons tous à l’occasion l’expérience de la solitude. Nous pouvons nous sentir seuls durant les périodes de changement, par exemple lors d’un déménagement, ou suivant une rupture amoureuse. On se tient alors à distance des autres, tant physiquement qu’émotionnellement. C’est un sentiment qu’on n’éprouve pas seulement quand on est seul; il peut nous gagner alors qu’on est en plein milieu d’une foule.

Cependant, pour certains, la solitude n’est pas qu’un sentiment fugace. Ce peut être un état permanent qui entraîne des conséquences sur le long terme. « Je dirais que c’est un sentiment continu de marginalisation et d’exclusion, et un déficit de relations intimes », explique Emily White qui, dans la jeune trentaine, a connu une période de solitude de quatre ans alors qu’elle travaillait à Toronto comme avocate spécialisée en environnement. « J’étais constamment en manque d’amis, d’êtres proches, ce qui se traduisait par un sentiment de solitude anxieuse. »

Auteure du livre Lonely : Learning to Live with Solitude, dans lequel elle raconte son expérience, Emily White confie que la solitude prolongée a eu des effets sur son sommeil et sa santé. « Je passais mon temps à rêvasser et je n’avais plus la même acuité mentale. Les effets de la solitude étaient bien réels et visibles. Il m’a fallu un certain temps avant de me rendre compte à quel point cela me touchait. »

Selon elle, environ 10% des Nord-Américains souffrent de solitude chronique, trouble plus fréquent que la dépression dont il diffère et dont on parle moins.

« C’est un problème fréquent », confirme Lesli Musicar, conseillère et psychothérapeute de Toronto, qui ajoute que bien des gens refusent d’admettre qu’ils en souffrent. « Bien souvent, on est à mille lieues de se rendre compte que la personne en face de soi souffre de solitude. Elle peut se montrer très sociable et sortir beaucoup, mais ses relations restent superficielles. Elle peut donner l’impression d’être populaire, mais elle se sent très seule car elle ne laisse pas les gens se rapprocher d’elle. »

Bien que certains y soient plus prédisposés que d’autres, il est possible de vaincre la solitude. Voici quelques conseils qui vous y aideront, de même que quelques trucs et astuces pour mieux vivre votre solitude.

Évitez de vous isoler

Quand on se sent solitaire, il n’est pas nécessairement facile d’entrer en relation avec les autres, mais rester seul ne pourra qu’aggraver le problème. « La solitude résulte d’un malaise à côtoyer de près les gens », explique Lesli Musicar, ajoutant que ce dernier est d’autant plus puissant quand on a une piètre image de soi-même; on craint alors d’être mis à nu et que les autres n’aiment pas ce qu’ils découvrent sur soi. « Pourtant, si vous refusez qu’ils s’approchent de vous, votre sentiment de solitude ne fera que se renforcer. » Quand on s’isole, il n’y a personne pour confronter l’image négative qu’on a de soi. « Personne pour vous ramener à la réalité; vous restez seule avec l’opinion que vous entretenez de vous-même. »

Joignez-vous à un groupe

Même si c’est la dernière chose dont on ait envie quand on éprouve de la solitude, vous devriez vous joindre à un groupe de gens qui partagent vos intérêts, que ce soit un cercle de lecture, une équipe sportive, une chorale ou un groupe de jardiniers amateurs. « Quand on se joint à un groupe dont l’activité signifie quelque chose pour soi, il y a des chances que cela fasse ressortir le meilleur de ce qu’on est, souligne Lesli Musicar. Et quand on a du plaisir à faire ce qu’on fait, on se sent lié aux autres parce qu’on a quelque chose en commun avec eux. »

Traitez-vous avec douceur

Si vous souffrez de solitude chronique, vous pourriez craindre que les autres se rapprochent. Commencez d’abord par apprendre à vous aimer. Pour changer l’image négative qu’on a de soi, il faut accepter de prendre soin de soi. « La première relation sur laquelle vous devez travailler, c’est celle que vous entretenez avec vous-même », explique Lesli Musicar, ce qui pourrait signifier que vous devez changer les manières de penser que vous avez apprises, enfant. « Si on vous a négligée ou qu’on vous critiquait continuellement, explique-t-elle, vous devez changer cela. Vous devez apprendre à vous traiter avec gentillesse. C’est un grand défi à relever quand on a une piètre opinion de soi-même. » Cependant, c’est important de le faire, car alors, on peut entrer plus facilement en relation avec les autres.

Informez-vous

Emily White a entrepris d’écrire son livre sur la solitude parce qu’elle voulait en savoir plus sur son problème. En démystifiant la solitude, ses recherches l’ont aidée à faire face à la sienne. « Plus on en apprend sur la solitude et plus on découvre à quel point c’est fréquent, moins on se sent seul, explique-t-elle. C’est difficile de se sentir isolé mais ça l’est encore plus quand on ne comprend pas son problème et qu’on a l’impression d’être seul à en souffrir. »

Demandez du soutien

Le fait de parler de son problème à quelqu’un, que ce soit un ami, un membre de la famille ou un thérapeute, peut changer bien des choses. « C’est un énorme défi à relever, explique Leslie Musicar, mais c’est la meilleure chose qu’une personne puisse faire pour se soigner. Notre culture étant portée à stigmatiser la solitude, il n’est pas facile d’en parler, mais à ne pas le faire, on risque d’aggraver davantage encore son état. « C’est quand on entretient une piètre estime de soi qu’on a le plus besoin d’entendre un autre point de vue, celui d’une personne qui vous dit que vous avez de l’importance et êtes digne de l’estime d’autrui. »

Des bienfaits de la solitude: réapprivoisez la solitude et ses bienfaits

La solitude n’est décidément pas notre point fort. Mais selon la recherche, nous gagnerions à surmonter l’angoisse qu’elle fait naître. Il ne s’agit pas pour autant de devenir ermite, mais passer un peu plus de temps seul comporte des avantages. En 2011, des chercheurs américains ont administré une décharge électrique douloureuse aux participants d’une étude. Ils leur ont ensuite remis un billet de 5 $ et demandé combien ils étaient prêts à céder sur cette somme pour ne plus subir la sensation désagréable. Pour la deuxième étape, chaque sujet devait rester seul dans une pièce 15 minutes, avec, comme unique stimulation, la possibilité d’appuyer sur un bouton pour s’administrer la même décharge. Plus de 60 % des hommes et 25 % des femmes qui affirmaient préférer payer pour l’éviter ont appuyé sur le bouton. Il semblerait que la douleur physique ait été alors préférable à quelques minutes seul avec soi-même…

La solitude pour mieux s’arrêter et réfléchir

Selon Eric Klinenberg, professeur en sociologie à l’Université de New York, l’accès constant aux téléphones portables et aux réseaux sociaux augmente notre aversion pour la solitude. La peur de passer à côté de quelque chose est entretenue par d’innombrables photos de nos amis participant à des activités passionnantes. Le besoin de se divertir n’est jamais assouvi, explique M. Klinenberg, et nous éloigne de ce qu’il appelle la « solitude productive ».

Réfléchir à nos actes et songer à nos futurs progrès personnels est la pierre angulaire de la solitude productive. Organiser notre temps pour y parvenir pourrait nous rendre plus heureux, plus forts et plus responsables. Autrement dit, cela permet de prendre du recul pour mieux retrouver la vie courante avec discernement et énergie.

« La réflexion en solitaire est un bon moyen de donner un sens à nos choix, affirme Eric Klinenberg. À moins d’être entièrement satisfait de vous-même et de votre façon de vivre, la solitude productive est une nécessité. »

La solitude et la bienveillance

En 2012, lors d’une étude publiée dans le Journal of Experimental Social Psychology, des chercheurs ont mis en place une série d’expériences pour déterminer comment nos liens sociaux affectaient la nature de nos relations avec ceux qui ne font pas partie de nos groupes d’appartenance.

Dans une des expériences de psychologie sociale, les chercheurs ont réparti les sujets en deux groupes. Ceux du premier devaient se présenter au laboratoire avec un ami et ceux du second étaient attendus seuls. Puis les participants ont formé des paires : ceux qui étaient venus seuls ont été jumelés à un inconnu, les autres, à leur ami. On leur a ensuite montré des photos en prétendant que c’était celles de responsables d’un attentat terroriste. Les sujets devaient répondre à plusieurs questions, notamment pour évaluer leur empressement à maltraiter autrui, par exemple : « Vous semble-t-il important de traiter ces gens avec humanité? » Les sujets venus accompagnés étaient plus enclins à cautionner la violence que ceux qui étaient venus seuls.

Les chercheurs émettent l’hypothèse que ceux qui passent beaucoup de temps avec leurs proches sont moins disposés à se lier aux autres. C’est un paradoxe, mais passer plus de temps avec des connaissances peut nous conduire à éprouver moins d’empathie envers des inconnus.

Assumer sa solitude

Pour plusieurs, l’idée d’aller au concert ou au restaurant seul est source d’angoisse – et si les clients me voyaient comme un paria? Pour Rebecca Ratner, qui enseigne à l’Université du Maryland, cette crainte nous prive de plaisirs. « Les gens veulent faire des activités qui leur plaisent – aller au cinéma ou assister à un spectacle à l’affiche un seul soir – mais s’ils n’ont pas d’amis pour les accompagner, ils préfèrent y renoncer », déplore-t-elle.

Pourtant, ses recherches ont démontré que l’activité solitaire, en nature par exemple, n’était pas moins agréable qu’en bonne compagnie. Pour une étude publiée en 2015, l’équipe de Rebecca Ratner a recruté des participants au sein d’une association étudiante et leur a demandé de passer au moins cinq minutes dans une galerie d’art des environs. Certains y sont allés seuls, d’autres à deux. Sans surprise, ceux qui étaient seuls craignaient de trouver l’expérience moins agréable. Mais en sortant de la galerie, les sujets des deux groupes avaient éprouvé le même plaisir.

Source : https://www.selection.ca/sante/vivre-sainement

Document ajouté sur le PARTAGE

Conseil d'établissement

-  Procès-verbal du 4 décembre 2018

jeudi 14 février 2019

Le respect : une vraie valeur humaine


Le respect est une valeur que tout le monde devrait avoir dans la vie! C’est une notion primordiale de la réflexion morale d’une personne « humaine ».

Avoir du respect c’est admettre l’idée que les autres sont différents tout en étant nos égaux mais en aucun cas des objets dans nos mains.


Respecter une personne, de par sa nature même d'humain, cela tombe sous le sens, mais beaucoup d’entre nous l’oubli. Le respect n’implique ni peur, ni révérence. Respecter autrui c’est s’interdire de juger, s’interdire de manipuler l’autre pour quelque raison que ce soit. C’est accepter ses qualités et ses défauts, ses choix de vie : le tout sans jugement. On a le droit de suggérer les choses, mais non de les imposer.

Mais avant tout, le respect c’est une prise en considération. Lorsque l’on respecte autrui, on prend en considération ses actes, ses paroles et sa personnalité. Par le respect, il faut aussi entendre une reconnaissance de valeur à l’autre ce qui nous oblige à modifier notre conduite vis-à-vis de lui.

Le terme de respect ne désigne pas un sentiment psychologique ou d'ordre affectif; il désigne un sentiment d'ordre rationnel et par-dessus tout moral : une véritable valeur. Le Respect nous élève car il nous rend plus « responsables » donc plus attentifs aux autres et à notre environnement.

Arrêtons de nous comporter comme des goujats. De croire que l’être humain et un pantin et que nous pouvons le manipuler à notre guise pour satisfaire un fantasme, une pulsion, une envie de réussite.

Un être humain a un cœur et une âme. C’est un être vivant à part entière qui mérite à ce titre le respect.

La liberté, c’est le respect des droits de chacun…
L’ordre, c’est le respect des droits de tous!


Source : http://emmaus-haguenau.over-blog.com

Rencontre mensuelle de L'APPAMM-Estrie

Source : Diane Beaulieu, conseillère pédagogique au PVS

jeudi 7 février 2019

8 astuces pour retrouver votre motivation


Vous avez probablement déjà vécu un de ces moments où votre motivation n’était pas à son paroxysme. Où tout vous semble difficile à accomplir et d’un ennui mortel.

Ces situations peuvent survenir autant dans votre travail que dans vos projets personnels après un certain temps. Comme si vous deveniez un peu blasé.

Si vous avez besoin de ce petit coup de pouce qui vous donnerait l’envie d’aller plus loin et de changer de décor, voici 8 petites astuces qui peuvent faire la différence. Retrouver la motivation peut parfois se produire dans les petits changements.

1. Écrire ce que vous désirez
Écrire sur papier vos objectifs peut vous aider à les visualiser et à réfléchir réellement à ce que vous voulez accomplir. Où vous voyez-vous dans cinq ans? Qu’est-ce que vous aimeriez faire avant d’atteindre 30, 35 ou 40 ans?



2. Faire ce que vous aimez
Ne vous imposez pas de faire des choses que vous n’aimez seulement parce que « ce serait bien vu ». Faites-vous une liste de tâches que vous aimez accomplir, qui vous procurent du plaisir et surtout, faites-le pour vous, pas pour le regard des autres.



3. Apprendre à dire « non »
À égalité avec le point 2, celui-ci est aussi d’une grande importance. À dire oui tout le temps à tout et n’importe quoi, vous finirez par vous oublier et pire, vous vous surmènerez. Faites le nécessaire et ne prenez pas de trop grosses bouchées à la fois. Une liste de 320 tâches à faire pour hier n’a jamais été motivante. C’est juste stressant.



4. S’entourer de positif
Une grande proportion de la population est malheureuse. Vous n’avez qu’à lire les commentaires sur Facebook pour en avoir la preuve. Pour retrouver votre motivation, vous devez éviter ces gens pessimistes qui semblent trouver un problème à toute solution. Entourez-vous de gens qui partagent vos aspirations et qui vous élèveront, non le contraire. Se motiver par procuration, c’est déjà un bon bout de chemin de fait.



5. Ne pas se comparer
Il y aura toujours des gens « meilleurs » que vous, qui possèdent une plus grande expérience. Ça va toujours arriver, il faut se résoudre. Ce qui est merveilleux par contre, c’est que leur expérience de vie ne vous enlève strictement rien. Évitez de vous comparer, surtout si vous n’avez pas le même parcours, expérience de vie ou le même âge. Comparez-vous à vous-même et regardez ce que vous avez accompli dans les dernières années. Où étiez-vous ne serait-ce qu’il y a deux ans de cela?



6. Éviter les excuses
Si vous attendez d’avoir le temps ou l’argent pour accomplir ce que vous voulez, vous ne le ferez jamais. C’est bien de prévoir à l’avance, mais il ne faut pas que ce facteur devienne un handicap ou une échappatoire. À un moment donné, il faut accepter qu’on ne puisse pas tout contrôler et que même si vous essayez, des imprévus surviendront. C’est certain. Alors mieux vaut sauter dans le vide tout de suite, non?



7. Bouger
De simplement pratiquer une activité physique quelques fois par semaine peut vous aider à sortir de votre tête et canaliser votre énergie sur votre bien-être et votre corps. Vous pourrez ainsi avoir des pensées claires sur ce que vous voulez et l’énergie nécessaire pour accomplir vos tâches.



8. Aménager votre environnement
Un environnement gris, c’est ordinaire et absolument pas motivant. Vous pouvez toutefois aménager votre espace de travail pour qu’il vous ressemble et que vous puissiez y passer des heures sans vous démotiver. Ajoutez-y une petite touche personnelle comme des photos ou des objets colorés!

Source : https://www.journaldemontreal.com


Documents ajoutés sur le PARTAGE

Conseil d'école


-  Compte rendu du 22 octobre 2018
-  Compte rendu du 10 décembre 2018


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