jeudi 31 janvier 2019

Comment arrêter de vouloir faire plaisir à tout le monde


Si vous aimez faire plaisir aux autres, vous donnez probablement la priorité à leurs besoins avant les vôtres. Vous avez peut-être besoin de l’approbation des autres ou l'on vous a toujours enseigné à donner plus que vous recevez. Il va vous falloir prendre un peu de temps pour vous y habituer, mais vous devez commencer à dire non à certaines choses et oui à d’autres. Posez des limites et faites entendre votre voix et votre opinion. Mais par-dessus tout, vous devez prendre le temps de prendre soin de vous.

PARTIE 1

Savoir dire non efficacement

1
Prenez conscience que vous avez le choix. Si quelqu’un vous demande ou vous dit de faire quelque chose, vous avez le choix de lui dire oui, non ou peut-être. Vous n’êtes pas obligé de dire oui même si vous vous y sentez obligé. Lorsque quelqu’un vous demande quelque chose, prenez un moment pour y réfléchir et n’oubliez pas que c’est vous qui décidez quoi répondre.

Par exemple, si quelqu’un vous demande de rester un peu plus tard au travail pour terminer un projet, vous pouvez vous dire : « j’ai le choix de dire oui et de rester ou de dire non et de rentrer à la maison ».

2
Apprenez à dire non. Si vous avez tendance à toujours dire oui aux autres même si vous n’en avez pas envie ou si la situation vous stresse, commencez à dire non. Il va peut-être vous falloir un peu d’entrainement, mais vous devez dire aux autres que vous ne pouvez pas faire certaines choses. Il n’est pas nécessaire de vous en excuser ou de trouver des prétextes pour ne pas le faire. Un simple « non » ou « non merci » suffit.

Commencez petit en trouvant une question peu importante à laquelle vous pouvez répondre non et dites-le fermement. Par exemple, si votre partenaire vous demande d’aller promener le chien, mais si vous vous sentez épuisé, dites : « non, j’aimerais que tu ailles le promener ce soir, s’il te plait ».

Vous pouvez aussi vous exercer avec un ami. Dites-lui de vous demander de faire des choses et répondez-lui non en trouvant la formule la mieux adaptée à chaque question. Soyez attentif à ce que vous ressentez lorsque vous répondez.
3
Affirmez-vous en faisant preuve d’empathie. Si un non de but en blanc vous semble trop dur, essayez de vous affirmer en faisant preuve d’empathie. Montrez à l’autre que vous le comprenez et que vous comprenez ses besoins, mais dites-lui fermement que vous ne pouvez pas l’aider.

Par exemple, vous pourriez lui dire : « je sais que tu as très envie d’un joli gâteau d’anniversaire et que c’est important pour toi. J’aimerais te l’offrir, mais ce n’est pas possible maintenant ».

PARTIE 2

Définir des limites
1
Prenez du temps pour réfléchir. Vous n’êtes pas obligé de répondre tout de suite si quelqu’un vous demande quelque chose. Dites-lui : « laisse-moi y réfléchir » et reparlez-lui plus tard. Cela vous donne du temps pour y réfléchir, pour vous demander si vous ressentez une certaine pression à la faire et s’il y a des conflits éventuels.

S’il a besoin d’une réponse rapide, dites-lui non. Une fois que vous lui dites oui, vous êtes coincé.

Ne vous en servez pas comme d’une façon d’éviter de dire non. Si vous voulez ou devez dire non, dites-le-lui tout de suite sans le faire attendre.

Si vos limites ne sont pas clairement définies, prenez le temps de penser à vos droits et aux valeurs qui sont importantes à vos yeux. Les limites peuvent être émotionnelles, spirituelles, matérielles, physiques ou sexuelles.
2
Affirmez vos priorités. En les connaissant, vous arriverez à choisir les moments où dire oui et où dire non. Si vous vous sentez coincé dans une décision, choisissez ce qui est le plus important pour vous. Si vous n’êtes pas sûr, vous pouvez faire une liste de vos demandes (ou de vos options) et les classer par ordre d’importance.

Par exemple, il pourrait être plus important pour vous de prendre soin de votre chien malade que de vous rendre à la soirée organisée par un ami.
3
Dites ce que vous voulez. Il n’y a pas de mal à dire ce que vous voulez et cela ne veut pas forcément dire que vous exigez quelque chose. Vous ferez un grand pas en avant en rappelant aux autres que vous êtes un être humain avec ses propres préférences. Si vous avez tendance à faire plaisir aux autres au lieu de leur dire ce que vous voulez, prenez la parole.

Par exemple, si vos amis veulent manger italien et si vous voulez manger coréen, dites-leur que vous voulez manger coréen la prochaine fois.

Même si vous finissez par accepter, vous devez quand même dire ce que vous préférez. Par exemple : « je préfère l’autre film, mais je serai quand même heureux de regarder celui-là ».

Évitez d'être sur la défensive. Définissez vos besoins sans vous fâcher et sans dire que c'est la faute de quelqu'un d'autre. Essayez d'être précis, ferme, calme et courtois.
4
Fixez une durée. Si vous acceptez d’aider quelqu’un, faites-le seulement pendant une certaine durée. Vous n’avez pas à justifier cette durée ou à vous excuser parce que vous devez partir. Indiquez vos limites et tenez-vous-y.

Par exemple, si quelqu’un vous demande de l’aide pour déménager, dites-lui : « je peux t’aider entre midi et trois heures ».
5
Faites des compromis. Le compromis est une excellente façon de se faire entendre, de garder un certain espace de manœuvre avec vos limites et de couper la poire en deux. Écoutez ce que veut l’autre et expliquez-lui ce que vous voulez. Trouvez une solution qui va satisfaire tout le monde.

Par exemple, si votre ami veut aller faire du shopping, mais si vous voulez faire de la randonnée, vous pourriez commencer par une de ces activités avant de faire la deuxième.

PARTIE 3

Prendre soin de soi
1
Développez votre autoestime. L’estime que vous avez pour vous-même ne se base pas sur ce que les autres pensent de vous. Elle doit venir de vous-même et personne d’autre. Entourez-vous de personnes positives et sachez reconnaître les moments où vous vous sentez moins bien. Écoutez la manière dont vous vous parlez (par exemple lorsque vous pensez que personne ne vous aime ou que vous échouez tout ce que vous faites) et arrêtez de vous en vouloir pour les erreurs que vous faites.

Apprenez de vos erreurs et traitez-vous de la manière dont vous traiteriez votre meilleur ami. Soyez gentil, compatissant et sachez pardonner.

Si vous avez tendance à toujours vouloir faire plaisir aux autres, cela provient peut-être d'un manque de confiance en vous.

2
Prenez de bonnes habitudes. Vous n’êtes pas égoïste parce que vous faites attention à vous et à votre corps. Si vous avez tendance à vous négliger pour prendre soin des autres, vous devez prendre un peu de temps pour vous occuper de vous. Mangez sainement, faites de l’exercice régulièrement et faites des choses qui vous aident à vous sentir bien dans votre peau. En plus, essayez de dormir suffisamment la nuit et de vous sentir bien reposé pendant la journée.

Vous devriez dormir entre sept et neuf heures par nuit.

Lorsque vous prenez bien soin de vous, vous arrivez aussi à mieux vous occuper des autres.

3
Prenez soin de vous. Vous vous sentirez mieux dans votre peau et vous arriverez à mieux gérer votre stress en prenant mieux soin de vous. Passez du temps à vous amuser avec vos amis ou votre famille. Chouchoutez-vous de temps en temps : faites-vous faire un massage, allez au spa ou faites une activité qui vous détend.

Faites des choses que vous aimez. Écoutez de la musique, tenez un journal, faites du bénévolat ou allez vous promener tous les jours.

 4
Sachez qu’il y a des limites. Vous ne pouvez pas faire plaisir à tout le monde. Même si vous essayez du mieux que vous pouvez, il est impossible de satisfaire tout le monde. Vous ne pouvez pas changer ce que les autres pensent ou ressentent pour leur plaire ou pour vous faire accepter. C’est à eux de prendre ce genre de décisions.

Si vous essayez d’obtenir l’accord d’un groupe d’amis ou si vous voulez que votre grand-mère vous voie comme une bonne personne, vous pourriez ne pas y arriver.

5
Demandez de l’aide à un professionnel. Il peut être difficile de combattre l’envie de satisfaire tout le monde. Si vous avez essayé de changer et si les choses sont restées pareilles ou ont empiré, il est peut-être temps de consulter un thérapeute. Il vous aidera à mettre en place de nouveaux comportements et à vous affirmer.

Source : https://fr.wikihow.com/arr%C3%AAter-de-vouloir-faire-plaisir-%C3%A0-tout-le-monde

Bien choisir les gens qui vous entourent, c’est prendre soin de soi

Quand on pense aux différentes façons de prendre « soin de soi », de nombreuses idées nous viennent en tête comme la méditation, se faire dorloter ou même faire de l’exercice. Mais une pratique est bien souvent laissée de côté, celle de faire une sélection des gens qui vous entourent!



Que vous le réalisiez ou non, votre entourage influe grandement sur votre état d’esprit et la vie est bien trop courte pour s’entourer de personnes qui ne vous rendent pas heureux.

La négativité est contagieuse et quand il s’agit d’amitié, il vaut mieux privilégier la qualité à la quantité.

Pour votre bien-être intérieur, il est temps de savoir dissocier les personnes qui vous revigorent, de celles qui vous épuisent... Et aussi fou que cela puisse paraître, le tri de vos amis, collègues et connaissances se fait aisément quand on s’y met vraiment. Cela peut sembler un peu « dur » comme classement, mais, à bien y réfléchir, pourquoi perdre son énergie et son temps avec des gens qui n’ajoutent pas de valeur à votre vie?

Prendre soin de soi, c’est vous donner l’amour et l’attention que vous méritez. Et en prolongeant cette manière de penser à votre cercle d’amis triés sur le volet, vous remarquerez une différence significative dans votre quotidien.

Dites au revoir à la reine du drame, la personne qui s’attarde sur vos échecs et au pseudo « ami » toxique qui n’a qu’un but dans sa journée, vous envier!


Source : http://www.leseclaireuses.com/bien-etre

jeudi 24 janvier 2019

jeudi 17 janvier 2019

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité des normes et modalités d'évaluation

- Compte rendu du 21 novembre 2018


Comité sur les modalités d'admission avant l'entrée en formation

- Compte rendu du 21 novembre 2018

Vous vous réveillez chaque nuit à la même heure? Voilà ce que ça veut dire!



Toutes les nuits, peu importe votre état de fatigue, vous vous réveillez à une heure précise? D'après la médecine chinoise, il ne s'agit pas d'une insomnie classique, ni d'une coïncidence. Votre corps essaie de vous envoyer un message, et selon l'heure qu'affiche votre cadran, il est différent.

Le sommeil c'est essentiel, on ne le dira jamais assez. Certains d'entre nous se réveillent chaque nuit à la même heure, ou en tout cas dans une tranche horaire très précise. On vous explique ce que cela signifie.

La médecine traditionnelle chinoise explique ce phénomène de manière très simple. Une journée dure 24 heures et elle accorde deux heures sur ces 24h à un organe, ou à une zone du corps précise. Durant ces deux heures, l'organe en question travaille à plein régime. Par conséquent, selon l'heure de la nuit à laquelle on se réveille, l'organe qui est au pic de son activité nous indique un mauvais fonctionnement ou un problème.

De 23h à 1h
Cette tranche horaire est consacrée à la vésicule biliaire. Elle sert à stocker l'énergie absorbée dans la journée et à la redistribuer. Lorsqu'elle fonctionne mal, elle stocke trop de mauvaises graisses et entraine une certaine fatigue. Se réveiller entre 23h et 1h du matin est donc peut-être un symptôme du mauvais fonctionnement de celle-ci.

De 1h à 3h
Durant cette tranche horaire, c'est le foie qui est roi. Celui-ci fonctionne à plein régime entre 1h et 3h du matin, il s'active pour éliminer les toxines, purifier l’organisme. Se réveiller durant cette tranche horaire peut-donc être lié à votre foie. C'est typiquement ce qui arrive par exemple pendant les fêtes de Noël, avec le foie gras, les bûches et autres plats copieux.

De 3h à 5h
Au cœur de la nuit, ce sont les poumons qui se mettent en action. S'il vous arrive de vous réveiller dans ces eaux-là, cela peut être lié à plusieurs choses. Cela peut signifier tout simplement un souci de respiration, un problème d'oxygénation de l'organisme. Mais cela peut également symboliser un poids psychologique. Un souci, ou problème qui vous tracasse peut alors devenir physiquement oppressant et vous réveiller au milieu de la nuit.
Après 5h du matin
Le gros intestin prend le relais entre 5h et 7h. Un réveil durant cette tranche horaire signifie donc souvent un problème digestif. Comme vous êtes en train d'achever d'éliminer les dernières toxines de votre corps, votre réveil peut vouloir dire que vous avez eu une alimentation trop riche ou au contraire trop pauvre.

Une fois que vous savez cela, vous pouvez toujours essayer de corriger le tir par vous-même. Mais rien ne vaut une petite visite chez votre médecin traitant (traditionnel ou pas).

Source : https://www.cosmopolitan.fr

mercredi 9 janvier 2019

Savoir dire NON


Refuser d'aller où on ne veut pas, affirmer ses choix, se faire respecter, ne pas céder aux pressions... Pour tout cela, il faut oser « dire non », que ce soit à des copains, des parents, des collègues, des profs ou d'autres encore. Dire non, oui, mais comment?

Certains, comme Chloé, ont un caractère réservé et craignent toujours de déplaire. D'autres sont impressionnés par des personnes qui leur imposent des choix. D'autres encore se laissent entraîner dans des situations qui les enferment.

À chaque fois, vous n'osez pas ou ne pouvez dire non... Les conséquences peuvent être plus ou moins graves (
harcèlement moral, perte de confiance en soi, violences sexuelles), mais une chose est sûre : vous n'exercez pas votre liberté et ne pouvez être vous-même.

Cette impuissance n'est pourtant pas inéluctable : on peut apprendre à s'affirmer voire à s'opposer à quelqu'un, en comprenant d'où viennent nos faiblesses et nos difficultés.

Pourquoi il est difficile de dire non
« Je ne voulais pas lui faire de peine, je n'ai pas osé. » La première raison qui nous empêche souvent de dire « non » à quelqu'un, c'est que nous ne voulons pas lui faire de peine : par peur de blesser, de décevoir, de déclencher une crise ou une explication, on préfère se taire.

Nicolas n'a jamais osé dire à ses parents qu'il aurait préféré faire des études courtes que son droit. Chloé, elle, savait que Mathieu était amoureux d'elle lorsqu'il l'a invité à ce week-end. Mais elle n'a pas eu le courage de lui dire qu'elle ne voulait pas sortir avec lui, pour ne pas lui faire de peine...

Cette première difficulté est fréquente dans les relations avec les proches, amis, parents, petit copain, avec qui le lien affectif est fort. D'autant plus que celui ou celle à qui vous voudriez dire non risque d'utiliser ce lien pour vous faire craquer : « Quoi! Tu ne vas pas me faire ça à moi! », « Si tu m'aimais, tu ferais ça pour moi... », « Tu ne veux pas me faire plaisir »?, etc.

À terme, on peut vous soumettre à un véritable chantage affectif : vous perdez votre liberté, et la relation devient pesante. S'il s'agit d'une relation amoureuse, il y a urgence à réagir : si vous vous soumettez à ce que l'autre désire sans oser lui dire non, vous ne construisez pas une relation équilibrée. Et vous risquez d'accumuler tristesse, rancœur, et de perdre l'estime de vous-même.

Face à la pression d'un groupe
Il peut être difficile aussi de résister à la pression d'un groupe. « Tout le monde le fait, alors moi aussi ». « Je n'avais pas tellement envie, mais j'y suis allée ». En soirée, lors d'une fête, d'une journée entre amis, plusieurs éléments peuvent s'additionner :

Le manque d'autonomie matérielle : on voudrait partir, mais on ne peut pas. On n'est pas véhiculé, ou bien on dépend d'autres personnes avec lesquelles on est venu. On n'est pas maître des événements, des choix faits par les autres, du style de la soirée, etc.

La peur du regard des autres : dire non, c'est se distinguer, et peut-être se faire juger, avoir l'air de ceci ou de cela... Cette peur peut vous empêcher de dire non et faire de vous un mouton prêt à n'importe quoi. Johanne s'est laissée entraîner dans une soirée où des paris et des défis idiots ont été lancés : elle s'est retrouvée au commissariat après une dangereuse course poursuite en voiture. certains peuvent ainsi être amenés à être violents, ou perdre le contrôle d'eux-mêmes (ivresse, addiction)...

Ses propres tentations et faiblesses : Si j'ai arrêté de fumer depuis deux mois et que tout le monde fume lors d'une soirée, j'aurais bien du mal à ne pas recommencer... On ne sait pas toujours très bien si l'on veut dire oui ou non. Manque de motivation? de réflexion?

Décider de dire non
La première attitude pour être plus fort et plus sûr de vous est en effet de prendre le temps de réfléchir avant d'être « au pied du mur » : est-ce que je veux faire cela ou pas? Est-ce que c'est bon pour moi ou pas? Est-ce que j'ai décidé d'arrêter de sortir avec Julie ou pas? Est-ce que je suis prête à avoir des rapports sexuels avec telle personne ou pas? Ai-je décidé d'arrêter le cannabis ou pas? etc.

On peut aussi apprendre à 
ne pas se laisser influencer en formant son esprit critique face aux médias, aux réseaux sociaux, aux rumeurs...

Souvent, il est utile de pouvoir parler de ces sujets avec quelqu'un en qui l'on a confiance, et qui n'exercera pas de pression, pour y voir clair : médecin traitant, frère ou sœur aînés, ami de confiance, psychologue, etc. Cela permet d'exprimer ses émotions et ses difficultés sans se sentir jugé.

Parfois des conseils plus spécialisés seront utiles, en particulier si l'on a 
subi des violences. Ensuite, il faut décider de refuser telle ou telle situation et savoir à quoi l'on veut dire non. Il ne reste plus qu'à passer à l'acte : oser dire non et s'y tenir.

Stratégies pour dire non
Avec des personnes que vous connaissez peu ou pas, il est conseillé de dire son refus ou sa décision de façon nette, avec une certaine détermination dans le ton de sa voix : « Non, merci, mais je ne suis pas libre », « Je vais m'en aller ».
Évitez de vous justifier ou d'émettre des regrets : « cela m'aurait fait très plaisir, mais je ne peux pas car... » Votre ou vos interlocuteurs risquent en effet de se mettre à discuter vos raisons pour vous persuader de changer d'avis : « pas de problème, tu n'as qu'à faire ceci ou cela... »

Le plus dur est souvent en effet de se tenir à son refus. Le mieux est donc de dire non nettement (mais son agressivité), et de s'en aller pour couper court aux discussions qui risquent de vous piéger.




Si vous êtes dans un groupe, il y a des techniques pour résister à la pression du groupe, et avoir le courage de s'affirmer.

Avec des personnes très proches que vous connaissez bien - parents, petit copain ou copine, amis - vous pouvez vous expliquer plus longuement sur votre position. Réfléchissez par avance à ce que vous voulez dire et ne repoussez pas indéfiniment le moment de parler. Par exemple évitez d'attendre la veille du départ en vacances pour dire à vos parents que vous ne voulez pas partir avec eux. Dites clairement et entièrement votre refus sans être agressif.

Si vous avez peur de perdre vos moyens, choisissez un autre moyen que le face à face pour commencer : lettre, mail, coup de fil... Le plus difficile est souvent de résister à la pression affective de votre interlocuteur. Peut-être cherchera-t-il à vous faire changer d'avis, mais peut-être aussi respectera-t-il votre position.

Joker : « je vais réfléchir »
Si vous êtes troublé, intimidé, et ne savez plus très bien si vous avez raison, mieux vaut dire que vous allez réfléchir plutôt que de changer d'avis tout de suite ou de vous fâcher. 

Prenez ensuite le temps d'analyser la façon dont vous vous êtes comporté, et sentez-vous libre de maintenir votre non si cela vous paraît bon pour vous. Redites ensuite à votre interlocuteur que vous avez bien réfléchi et que vous avez pris votre décision : c'est non!

Si vous apprenez ainsi à dire oui ou non librement à ceux qui vous entourent, vous allez prendre confiance en vous et mieux affirmer votre personnalité.

Source : https://www.reussirmavie.net/Savoir-dire-non_a171.html