jeudi 21 décembre 2017

Frigoriste : un métier « cool » qui mérite d'être connu


Méconnu, le DEP en réfrigération est pourtant un programme idéal pour ceux et celles qui ont des habiletés à la fois manuelles et analytiques. Échelonnée sur une période de deux ans (1800 heures), la formation proposée au Centre de formation professionnelle du 24-Juin pourrait très bien être le genre de métier que vous recherchiez.

Essentiellement, un frigoriste installe, entretient, répare et révise des installations de climatisation centrale résidentielle, des installations de réfrigération et de climatisation de type commercial ou industriel et des systèmes combinés de chauffage, de ventilation et de réfrigération. « Être frigoriste, c'est exercer un métier d'urgence », m'annonce d'emblée Mario Roy, professeur en réfrigération au Centre de formation professionnelle du 24-Juin, alors qu'il s'apprête à me faire visiter l'atelier des étudiants.

Un métier aux multiples facettes

Pensons aux hôpitaux, aux commerces d'alimentation, aux universités et bien entendu aux arénas. Non seulement les bris possibles sont de toutes sortes, mais les conséquences peuvent être considérables. « Quand une machine ne fonctionne plus, on nous appelle. Peu importe l'heure, peu importe les conditions climatiques. On doit la réparer, surtout si la santé des gens et beaucoup de biens matériels ou d'argent sont en jeu », ajoute M. Roy.

C'est pour cette raison que les étudiants doivent acquérir des savoirs de base reliés à plusieurs domaines (mécanique d'entretien, électricité, soudure, etc.). Par exemple, les étudiants ont l'occasion d'avoir chacun leur poste de travail où s'initier à la soudure et aux systèmes électroniques de base. Ils apprennent à travailler avec les différentes machines liées à la ventilation, à la réfrigération ou encore au chauffage d'un établissement ou d'une maison. De plus, ils doivent maîtriser la technologie des systèmes ordinés (électronique programmable). Afin de pouvoir, en tout temps, assurer le fonctionnement de n'importe quelle machine, les élèves sont aussi initiés à la fabrication de pièces de remplacement d'urgence.

Du concret en classe-atelier!

Cartes électroniques, pompes géothermiques, système de zonage, chambre froide, etc.; l'atelier sur deux étages du Centre de formation professionnelle du 24-Juin reproduit les milieux de travail des frigoristes en devenir. Le concept de classe-atelier est concret et stimulant. Les étudiants sont confrontés à des situations-problèmes où on leur demande d'analyser des plans, trouver le bris d'une machine, préparer les pièces, et entamer la réparation en suivant les mesures de sécurité. Plus encore, les étudiants doivent s'habituer aux conditions de travail qui seront fort probablement un jour les leurs. Les enseignants ont d'ailleurs pensé à tout, avec une section de l'atelier été établie à l'extérieur. Qu'il pleuve ou qu'il neige, les étudiants doivent relever le défi qui se trouve devant eux!

Ce qui attend le frigoriste sur le marché du travail

On peut donc décrire les futurs frigoristes comme des gens minutieux, débrouillards et autonomes. « C'est un métier où on apprend constamment. Il faut savoir travailler avec de vieilles comme de nouvelles machines, sachant aussi que la technologie continue d'évoluer », précise Mario Roy. Les employeurs futurs sont nombreux : centres hospitaliers, constructeurs, promoteurs et entrepreneurs généraux, écoles, entreprises spécialisées, industries des aliments et boissons, usines de fabrication d'appareils de chauffage, de réfrigération et de climatisation commerciale, etc. Le taux de placement des diplômés est très élevé et les conditions salariales sont privilégiées et variables selon l'horaire de travail.

En terminant la visite de l'atelier, je constate une chose : impossible de s'ennuyer en formation pour devenir frigoriste si on est un tant soit peu curieux. Le métier semble exigeant, mais stimulant. C'est d'ailleurs ce qui passionne Mario Roy : « J'ai toujours adoré les défis. Ça m'allume. » S'il transmet sa passion comme il en parle, il n'y a pas de doute que les étudiants peuvent se développer à leur plein potentiel. Les candidats et candidates intéressés peuvent d'ailleurs venir effectuer un stage d'un jour afin d'observer en quoi consiste véritablement le métier de frigoriste. Soyez assuré que l'on vous fera participer à l'une de ces situations-problèmes si l'occasion s'y prête.

Pour faire une demande d'élève d'un jour pour le programme de réfrigération ou pour tout autre programme du Centre de formation professionnelle 24-Juin, veuillez consulter notre site Web à la section Services à l'élève http://centre24juin.ca/services-a-leleve/eleve-dun-jour/

Source : Estrieplus.com

Joyeuses Fêtes!

À l'occasion du temps des fêtes, rien n'est plus agréable que de festoyer avec ceux qu'on aime. Beaucoup de bonheur, de douceur et de sérénité pour la Nouvelle Année, ainsi que la réalisation des projets les plus chers!




jeudi 14 décembre 2017

Party de Noël 2017

Le comité social voudrait remercier tous les gens qui ont participé au party de Noël qui a eu lieu le 2 décembre dernier. Grâce à vous, l’activité curling et la soirée ont été un grand succès et nous avons eu beaucoup de plaisir!

De plus, lors de la soirée, nous avons fait la vente de billets moitié-moitié afin de pouvoir aider la Fondation du Centre 24-Juin pour les paniers de Noël. Nous sommes heureux de vous annoncer qu’une somme de 139,50 $ a été remise et contribuera à remettre un panier à trois élèves. Nous félicitons monsieur Michel Naud qui avait le billet gagnant.

Nous vous souhaitons un joyeux temps des fêtes et une belle année 2018 avec le plus important « LA SANTÉ » !


Votre comité social











    


Accès Compétences CSRS pose un geste d'entraide

Il y a quelques temps, Moisson Estrie a relancé Accès Compétences CSRS afin de faire valider, par une personne bien formée, les manipulations de certains de leurs salariés ou bénévoles lors du déplacement de marchandises via un transpalette électrique.

Suite à cette demande, un de nos formateurs en chariot élévateur a proposé de donner une formation gratuitement à Moisson Estrie, estimant, qu'à la veille du temps des fêtes, ce geste serait sûrement bienvenu et particulièrement, avant le « rush » de Noël pour cette entreprise à but non lucratif.

Bref, cette proposition fut immédiatement applaudie par madame Julie Marcoux (directrice adjointe) et les procédures furent rapidement mises en marche afin que cet organisme bénéficie gratuitement de ce
cours 101 sur les transpalettes électriques.

Soulignons le geste de notre formateur et gardons l'esprit des fêtes!

Source : Pascal Beaudoin, conseiller pédagogique

jeudi 7 décembre 2017

Être secrétaire dans le secteur de la santé, un travail doublement gratifiant


Être secrétaire médicale, c'est faire partie de la vie des gens. En assurant un soutien administratif au personnel médical en clinique ou en centre hospitalier, vous pourrez allier votre intérêt pour le domaine médical à votre personnalité empathique, débrouillarde et rigoureuse. Ce portrait vous ressemble? L'attestation de spécialisation professionnelle (ASP) en secrétariat médical est peut-être faite pour vous!

Cette courte formation de 450 heures réparties sur une quinzaine de semaines à raison de 30 heures par semaine est la porte d'entrée du réseau de la santé. Que vous soyez fraîchement diplômé d'un DEP en secrétariat ou que vous fassiez un retour aux études, l'équipe de l'ASP en secrétariat médical vous accompagne dans l'atteinte de vos objectifs et dans la reconnaissance de vos acquis. Le Centre 24-Juin priorise l'enseignement individualisé qui respecte le rythme, le mode de vie, le bagage et les défis de chacun.

Des enseignantes expérimentées

Les enseignantes en secrétariat médical du Centre 24-Juin savent communiquer leur passion et leur expérience sur le terrain. Des mises en situation et des exemples concrets attendent les élèves. C'est d'ailleurs ce qui les motivent et qui les préparent réellement au marché du travail. « En tant qu'enseignante, notre rôle est de connaître les défis avant les élèves, d'investiguer pour eux leur futur milieu de travail, affirme Judith Bonneville, enseignante responsable du programme de secrétariat médical. » En cela, l'école devient un mini milieu de travail. De plus, le stage constitue une excellente porte d'entrée sur un futur emploi puisqu'il est choisi par l'élève et qu'il se termine souvent par une demande d'embauche de la part de l'employeur. « Dans le secteur public comme dans le secteur privé, la demande est forte. En Estrie, les possibilités d'emploi sont nombreuses : il y a le CIUSSS de l'Estrie CHUS, mais également toutes les cliniques privées ou les entreprises de recherche médicale. Il n'est pas rare de recevoir des appels d'employeurs à la recherche de candidats. De plus, dans la prochaine année, à lui seul le CIUSSS de l'Estrie CHUS souhaite embaucher une soixantaine de secrétaires médicales », explique Judith Bonneville.

Le cœur de la formation

En plus des diverses tâches de secrétariat général, les secrétaires médicales devront maîtriser la transcription et la production de divers documents médicaux; certaines compétences et connaissances s'imposent alors. Les élèves doivent se familiariser avec des termes généraux de la biologie humaine, avec la terminologie médicale générale et celle relative à l'activité cellulaire, aux fonctions du corps humain, au mouvement et au système nerveux. Lors de la formation, il faut aussi développer les compétences nécessaires à la gestion des fournitures médicales et aux opérations comptables liées aux actes médicaux.

Plus encore, le travail d'une secrétaire médicale repose sur les relations interpersonnelles qu'elle entretient avec ses collègues et la clientèle externe. Ainsi, vous devrez développer les compétences nécessaires pour communiquer et interagir avec les usagers de même qu'assurer la préparation et le suivi de leur dossier, en toute confidentialité. Par exemple, lors de consultations médicales, la secrétaire médicale s'occupe des vérifications légales, de l'authentification et de la validité des cartes et des différents formulaires nécessaires. En outre, la secrétaire côtoie une clientèle souvent vulnérable. Impossible alors de nier que le côté humain est grandement sollicité. En effet, la maladie et les émotions sont des impondérables du milieu avec lesquels la secrétaire doit savoir composer. L'empathie et la sensibilité sont donc des qualités essentielles.

Si le secrétariat médical vous intéresse et que vous souhaitez en savoir davantage, il est possible d'assister à une séance d'information. Nous vous invitons à prendre rendez-vous avec la responsable du programme. Pour ce faire, vous devez en faire la demande en envoyant un courriel à PivinK@csrs.qc.ca.

Source : EstriePlus.com

Branchés, les gars!

Le 30 novembre dernier, les gars ont pu expérimenter différentes facettes de la science et des technologies avec des ateliers stimulants.
Un énorme merci à la Faculté des sciences, la Faculté des sciences de l'activité physique, au Cégep de Sherbrooke, au Centre de formation professionnelle 24-Juin, à l'Association forestière du sud du Québec et à Baultar pour leurs activités remplies de surprises et de découvertes!

Les enseignants et les élèves du programme ÉLECTROMÉCANIQUE du Centre de formation professionnelle 24-Juin sont très heureux d’avoir partagé leur passion pour le métier d'électromécanicien avec la gang branchée de la Polyvalente Montignac.


Merci à Yannick Gagnon et aux élèves qui ont fait de cet avant-midi un succès.

Source : Annick Carrière, conseillère d'orientation











Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité accueil et accompagnement des enseignants

-  Compte rendu du 22 novembre 2017


Comité santé et sécurité

-  Compte rendu du 22 novembre 2017


Conseil d'établissement

-  Procès-verbal du 25 septembre 2017
-  Procès-verbal du 6 novembre 2017

vendredi 1 décembre 2017

Tous dépendants aux réseaux sociaux? Ça se soigne!

Nous utilisons beaucoup les réseaux sociaux, « grâce » à nos ordinateurs, tablettes et téléphones intelligents. Doit-on avouer que nous en sommes souvent dépendants? Est-il
trop tard pour agir?


Quel temps passons-nous réellement sur les réseaux sociaux? Dans le monde, les gens y consacrent 1,77 heure par jour, ce qui est en augmentation. Et les jeunes de 16 à 24 ans les utilisent à raison de 2,68 heures par jour. Cela représente près de 1 000 heures par année! Et cela fait beaucoup de temps et parfois beaucoup de temps perdu.
Ces données, un brin surprenantes, proviennent de GlobalWebIndex, qui mène régulièrement un vaste sondage international sur les réseaux sociaux et pour lequel plus de 50 000 personnes âgées de 16 à 64 ans sont interviewées.
On y apprend que notre téléphone cellulaire, malgré son nom (télé- = loin, et -⁠phone = son), n’est utilisé que de 15 % à 20 % du temps pour émettre des sons à distance, c’est-à-dire parler au téléphone, le reste étant plutôt consacré à naviguer sur Internet.
Et que 80 % des utilisateurs consultent leur cellulaire moins de 15 minutes après le réveil! Je le confesse, c’est aussi ce que je fais à mon lever — du moins je prends mes courriels. Tout cela montre à quel point nous sommes devenus avides de ces outils et de «l’information» qu’ils contiennent.

Des Canadiens plus raisonnables?

Les Canadiens passent-ils beaucoup de temps sur les réseaux sociaux? Cela m’a étonné, mais au Canada, les gens y passent moitié moins de temps qu’ailleurs. Par exemple, les Argentins, les Brésiliens, les Indonésiens, les Mexicains, les Philippins, les Sud-Africains, les Thaïlandais et les Turcs nous « battent » aisément.

L’usage qui en est fait au Canada est plutôt équivalent à celui de la France, de l’Allemagne et des États-Unis, pays dont le développement économique se compare au nôtre. C’est curieux, j’aurais vraiment crû le contraire. Il est aussi possible que dans certains pays, le cellulaire soit plus souvent l’unique lien téléphonique.


Sommes-nous dépendants?

On parle souvent de la « dépendance » aux réseaux sociaux. Mais peut-on vraiment en devenir « dépendants », comme on peut l’être, par exemple, d’une drogue ou du jeu?
En fait oui, sans aucun doute, et ce n’est pas étonnant, puisque toutes ces dépendances fonctionnent sensiblement de la même façon: il s’agit de stimuler certaines régions du cerveau — centre du plaisir — qui sécrétent de la dopamine afin de nous procurer notre petite dose de bonheur quotidien, à laquelle on s’habitue et qu’on redemande. Les drogues fonctionnent selon le même mécanisme, mais de façon plus intense.
Il semble que les tweets et les messages Facebook ont justement la propriété de nous faire sécréter de la dopamine. À cet égard, toutes les stimulations se valent et nous pouvons donc aisément être sujet à une dépendance, dont il ne faut pas sous-estimer l’importance, comme nous le rappelaient Karine Igartua, psychiatre, et Joe Flanders, psychologue, dans un intéressant épisode d’Une Pilule, une petite granule sur Télé-Québec.


Ma propre dépendance

Ceux qui me suivent, principalement sur Facebook, savent que depuis quelques années, j’utilise un peu trop les réseaux sociaux. Bien entendu, je prétends que Facebook est pour moi un moyen de communication surtout professionnel. Mais bon…
Je suis également sur Twitter, que je trouve moins efficace pour diffuser de l’information et rejoindre des gens. Je l’utilise donc beaucoup moins.
La première étape étant toujours d’accepter la réalité, je dois admettre que je suis un peu dépendant des réseaux sociaux.
Je me soigne donc — ou du moins je tente de me maîtriser un peu. Pour arriver à m’en tenir loin, je dois m’inventer des mots de passe de 80 caractères et utiliser des logiciels comme SelfControl afin de limiter le temps passé — et bien souvent perdu — sur les réseaux.
Au moins, lorsque je suis en vacances, je réussis à me détacher totalement des réseaux sociaux, et même de mes courriels. Il faut dire que je me déconnecte alors littéralement des réseaux et de mon accès courriel courant. De mon cellulaire, impossible de récupérer mon compte, ce qui attendra donc mon retour à la maison. Ah, la paix!


Difficile de se tenir loin

Nos réseaux sociaux ont par ailleurs un avantage concurrentiel important, puisque presque tout le monde porte sur soi la possibilité de déclencher une petite poussée de dopamine — à toute heure du jour ou de la nuit!
Imaginons un ex-fumeur qui traînerait toujours un paquet de cigarettes dans sa poche ou un ex-alcoolique qui aurait toujours sur lui une bouteille. C’est d’autant plus difficile de s’en passer et de se détacher de cette dépendance.
Bref, cette présence constante de nos téléphones intelligents dans nos vies amplifie la tentation et rend plus difficile «l’abstinence».
Mais ce genre de dépendance cause-t-il vraiment toujours un problème? Posez la question à des adolescents et ils ne comprendront sans doute même pas de quoi vous parlez.
En fait, la dépendance aux réseaux sociaux semble ne comporter que peu de risques graves. Hormis celui, bien documenté, d’un accroissement du risque d’accident de la route!
En général, une dépendance bien gérée ne cause pas trop de problèmes.
C’est plutôt quand la cyberdépendance envahit l’espace vital et empêche la personne de fonctionner normalement que l’on parle de problème.
Par exemple, les personnes — j’en connais beaucoup — qui consultent de manière compulsive leur cellulaire pour prendre leurs messages, au point d’interrompe leurs activités ou un bon repas, ont certainement un petit problème de dépendance, qui commence à empiéter sur leur espace vital.
Personnellement, je trouve insupportable l’habitude de consulter constamment son cellulaire lors de rencontres sociales «en personne». Et ceux qui acceptent d’être constamment «alertés» par leurs courriels, textos, messages Facebook et autres devraient réfléchir à cet envahissement excessif dans leur vie courante.
J’ai d’ailleurs déjà discuté de l’importance de fermer toute cette quincaillerie la nuit.


Des effets néfastes

Une dépendance trop forte aurait même des effets sur la santé mentale. Certaines recherches ont en effet montré que l’anxiété et la dépression sont associées à l’abus des réseaux sociaux, bien que des études plus récentes remettent cela en cause, surtout lorsque l’usage qui en est fait est « normal ».
On sait aussi que la dépendance aux réseaux sociaux — comme toute dépendance — peut affecter la vie de tous les jours et la performance au travail.
Et notre moral, de manière générale? Peut-on l’améliorer en prenant de temps en temps nos distances par rapport aux réseaux sociaux? Il semble que oui. On a publié une recherche intéressante portant sur l’effet de cesser d’utiliser Facebook.
On a demandé à la moitié d’un groupe de grands adeptes de Facebook de cesser de l’utiliser pendant une semaine et à l’autre de continuer. Or, ceux qui avaient cessé se sentaient mieux au terme de la semaine; ils ressentaient moins d’inquiétude et étaient plus enthousiastes.
Ça vaut ce que ça vaut, mais je ne serais pas surpris qu’il soit vraiment sain de prendre ses distances de temps à autre. C’est en tout cas l’effet que je ressens lorsque je me coupe des réseaux sociaux pour une certaine période.


Soigner sa dépendance

Pour les cas sévères de dépendance — puisque cela existe —, il faut parfois faire appel à des ressources spécialisées et surtout ne pas hésiter à prendre contact si on sent que l’envahissement nous gâche la vie. Il existe d’ailleurs des centres spécialisés pour soigner les vrais addicts aux réseaux sociaux.
Au moins, en attendant d’aller prendre nos messages et consulter notre « mur » Facebook, réfléchissons un peu à cette nouvelle réalité, qui transforme notre relation au monde, souvent pour le mieux, mais parfois pour le pire.
Vaut mieux y penser, puisque les réseaux sociaux ne disparaîtront sûrement pas de nos vies demain matin.
Source : L'actualité, juillet 2016