Bonne semaine de relâche!
jeudi 25 février 2016
vendredi 19 février 2016
Quatre futurs frigoristes qui ont trouvé leur voie
Veuillez cliquer sur le lien pour lire l'article.
http://www.lejournaldesherbrooke.ca/actualites/2016/2/12/quatre-futurs-frigoristes-qui-ont-trouve-leur-voie.html
Source : Annick Carrière
jeudi 18 février 2016
Carnaval de Sherbrooke 2016
Les 26, 27 et 28 février 2016
Veuillez consulter le site pour la programmation et toutes les informations souhaitées.
http://www.carnavaldesherbrooke.ca/
jeudi 11 février 2016
Des idées pour la St-Valentin
Des sites intéressants à visiter pour des garder la flamme dans votre couple :
http://www.aufeminin.com/vie-de-couple/saint-valentin-som2751.html
http://www.cosmopolitan.fr/,saint-valentin-nos-idees-pour-feter-l-amour,2510865,1827970.asp
http://www.linternaute.com/homme/mode-de-vie/10-idees-pour-l-epater-a-la-saint-valentin/
Bonne St-Valentin!
SASI au Nicaragua - Collecte de fonds
Suite à notre appel à tous pour une levée de fonds pour
supporter une famille du Nicaragua vivant dans l’extrême pauvreté, votre
réponse a été extraordinaire et a dépassé toutes nos attentes! En effet, nous
avons amassé la somme de 2825.76$ en moins de 48 heures, soit plus que le
double de l’objectif initial. Il va sans dire que nous avons eu le souffle
coupé devant cet élan de générosité.
Concrètement, vos dons nous ont permis les réalisations
suivantes pour cette famille durant notre mission :
- - Construction d’une maison;
- - Achat et installation d’un filtre à eau;
- - Achat d’une réserve de 4 mois de couches et de
lait maternisé pour le bébé;
- - Achat de produits de soins d’hygiène pour les
enfants.
La famille était très heureuse de tous ces dons et a
contribué à la hauteur de ce qui lui était possible en transportant les
matériaux de la fondation et en participant à la construction de la fondation
et de la maison. De plus, ils ont participé à la construction d’une autre
maison pour une autre famille.
Le lait maternisé et les couches seront distribués à cette
famille par une employée de l’organisme partenaire sur place au Nicaragua à
toutes les deux semaines lorsque la famille se présentera avec le bébé pour une
visite de suivi. Ainsi, nous aurons un compte rendu régulier de l’évolution de
l’état de santé du bébé et de la situation de la famille en général.
De plus, cette famille bénéficiera sous peu de la
construction d’un four extérieur et recevra des lits et matelas pour tous les
membres de la famille.
Après avoir aidé cette famille de la manière la plus
appropriée possible, tout excédant sera conservé dans une réserve afin de
répondre à d’autres besoins similaires éventuels, puisque nous sommes bien
conscients que nous en rencontrerons régulièrement dans nos futures missions.
Les mots nous manquent pour exprimer notre sentiment de
gratitude face votre soutien si important. Pour nous, le geste dépasse la
valeur monétaire et représente toute la solidarité et l’ouverture dont vous
avez fait preuve. Là-bas, au Nicaragua, dans le quotidien de nos interventions,
nous nous sentons parfois connectés à une réalité bien différente de celle du
Québec et nous avons l’impression d’être à part. Nous vivons parfois de
l’indignation et de l’impuissance face aux situations extrêmes et aux
inégalités dont nous sommes témoins. Votre présence nous a transmis l’énergie
de poursuivre et l’espoir de pouvoir faire une différence concrète, un geste à
la fois. Nous avons senti votre solidarité et votre présence à travers nos
actions. Certes, cette famille n’est pas au bout de toutes ses misères aujourd’hui, mais vous nous avez permis de leur faire faire un pas en avant et
de leur transmettre l’espoir.
En plus d’aider cette famille, nous avons aussi pu démontrer
aux élèves la puissance de la mobilisation, de la collaboration et de la
solidarité. Au départ ils croyaient difficilement pouvoir intervenir, par la
suite ils ont voulu cotiser personnellement pour venir en aide, et finalement,
ils ont été à même de constater qu’à force de conviction et d’action, ils
peuvent être à l’origine de grandes choses, de mouvements qui deviennent plus
grands qu’eux. Des valeurs bien importantes pour leur avenir dans la profession.
Au nom de la famille, des trois enseignantes et des onze
élèves de la mission SASI à l’étranger janvier 2016, merci.
Geneviève Barry
Enseignante en SASI
jeudi 4 février 2016
Régler un conflit familial, ça s'apprend!
Il n'existe pas de formule magique pour régler un conflit. Mais si tu sais faire face aux conflits de manière efficace, tu seras en mesure de conserver des relations plus solides avec les autres. Trop souvent, on attend que ce soit les autres qui viennent vers nous pour régler un problème.
Si tu vis un désaccord avec un ou des membres de ta famille, n'hésite pas à aller leur parler. Il peut s'agir d'un simple malentendu. L'important est de choisir le bon moment.
Tu peux aussi utiliser une démarche comme la méthode de résolution de problèmes que nous te présentons ici.
LA MÉTHODE DE RÉSOLUTION DE PROBLÈMES
S’engager. Il est important de démontrer de l'ouverture, de l’intérêt à connaître la position des autres et à vouloir travailler en collaboration. Ce n’est pas une course entre des gagnants et des perdants, c’est une démarche que vous faites ensemble.
Accuser ou pas. Tout au long de la discussion, n'oublie pas de parler au « je », sans accuser, ni juger l'autre. En partant de toi, ton parent, ton frère ou ta sœur risque moins d’être sur la défensive et cela favorise le fait qu’ils te traitent aussi respectueusement en
retour. Après tout, il y a toute une différence entre « Tu ne veux jamais rien! » et « Quand tu dis ça, je ne sens pas de place pour ce que je veux ».
Décrire le problème. Dès le départ, identifie la situation qui pose problème et ce que tu aimerais changer (« Quand tu me parles sur ce ton, ça me fait de la peine… »).
Nommer tes émotions. Dis à l'autre personne ce que tu ressens par rapport à ce problème (« … cela me rend très en colère »).
Rechercher les solutions. Cherche des solutions avec l’autre. Vous pouvez même les écrire sur une feuille de papier. À ce stade-ci, toutes les idées sont bonnes, on les écrit toutes!
Évaluer les solutions. Soupèse chacune des solutions avec l’autre. La solution est-elle réaliste? Est-ce qu'elle satisfait tout le monde? Est-ce qu'elle pourra régler le problème efficacement?
Établir une entente. Ensemble, choisissez la solution que vous préférez et faites une entente que chacun s'engage à respecter.
Réévaluer. Vérifiez, quelque temps plus tard, si l'entente a été respectée et si le problème est réglé. Prenez le temps d'en parler et de faire un bilan. Si la solution choisie n'a pas fonctionné, vous pouvez en essayer une autre.
QUELQUES ÉLÉMENTS À GARDER EN TÊTE
Respecte les différences d'opinions des autres personnes. L'important n'est pas que tout le monde ait les mêmes idées et les mêmes goûts, mais plutôt que chacun ait la place pour les dire et se sente respecté. Exprime ce que tu ressens au cours de la discussion quand tu vis un malaise.
Remets en question tes attitudes et tes comportements. Cela aide que ce ne soit pas toujours la faute de l’autre! Avouer qu’on a ses torts favorise souvent l’écoute de la part des autres.
Source : Tel-Jeunes
Si tu vis un désaccord avec un ou des membres de ta famille, n'hésite pas à aller leur parler. Il peut s'agir d'un simple malentendu. L'important est de choisir le bon moment.
Tu peux aussi utiliser une démarche comme la méthode de résolution de problèmes que nous te présentons ici.
LA MÉTHODE DE RÉSOLUTION DE PROBLÈMES
S’engager. Il est important de démontrer de l'ouverture, de l’intérêt à connaître la position des autres et à vouloir travailler en collaboration. Ce n’est pas une course entre des gagnants et des perdants, c’est une démarche que vous faites ensemble.
Accuser ou pas. Tout au long de la discussion, n'oublie pas de parler au « je », sans accuser, ni juger l'autre. En partant de toi, ton parent, ton frère ou ta sœur risque moins d’être sur la défensive et cela favorise le fait qu’ils te traitent aussi respectueusement en
retour. Après tout, il y a toute une différence entre « Tu ne veux jamais rien! » et « Quand tu dis ça, je ne sens pas de place pour ce que je veux ».
Décrire le problème. Dès le départ, identifie la situation qui pose problème et ce que tu aimerais changer (« Quand tu me parles sur ce ton, ça me fait de la peine… »).
Nommer tes émotions. Dis à l'autre personne ce que tu ressens par rapport à ce problème (« … cela me rend très en colère »).
Rechercher les solutions. Cherche des solutions avec l’autre. Vous pouvez même les écrire sur une feuille de papier. À ce stade-ci, toutes les idées sont bonnes, on les écrit toutes!
Évaluer les solutions. Soupèse chacune des solutions avec l’autre. La solution est-elle réaliste? Est-ce qu'elle satisfait tout le monde? Est-ce qu'elle pourra régler le problème efficacement?
Établir une entente. Ensemble, choisissez la solution que vous préférez et faites une entente que chacun s'engage à respecter.
Réévaluer. Vérifiez, quelque temps plus tard, si l'entente a été respectée et si le problème est réglé. Prenez le temps d'en parler et de faire un bilan. Si la solution choisie n'a pas fonctionné, vous pouvez en essayer une autre.
QUELQUES ÉLÉMENTS À GARDER EN TÊTE
Respecte les différences d'opinions des autres personnes. L'important n'est pas que tout le monde ait les mêmes idées et les mêmes goûts, mais plutôt que chacun ait la place pour les dire et se sente respecté. Exprime ce que tu ressens au cours de la discussion quand tu vis un malaise.
Remets en question tes attitudes et tes comportements. Cela aide que ce ne soit pas toujours la faute de l’autre! Avouer qu’on a ses torts favorise souvent l’écoute de la part des autres.
Source : Tel-Jeunes
Conférence de presse en Mécanique automobile
Bonjour,
Voici
le communiqué de presse concernant la conférence de presse du Centre de
formation professionnelle 24-Juin le 29 janvier dernier.
Mazda
Canada, en collaboration avec Mazda de Sherbrooke, ont fait le don d’une Mazda5
2015 au département de mécanique automobile du Centre de formation
professionnelle 24-Juin. Cette généreuse contribution, de la part de Mazda et
du Groupe Beaucage, constitue un apport important à des équipements à la fine
pointe de la technologie qui favorise grandement une formation de qualité
actualisée pour nos futurs techniciens automobiles. De gauche à droite :
Henri Breton (enseignant), Julie Marcoux (directrice adjointe), André Sinclair
(PDG de Mazda Sherbrooke), Pierre Morin (enseignant), Jacques Parent (directeur
régional pour le Québec chez Mazda Canada), Julie Caron (directrice du Centre
24-Juin), Dominique Émond (directeur du marketing au Groupe Beaucage) et Alex
Préfontaine (directeur des opérations concessionnaires pour Mazda Canada)
étaient présents pour la remise officielle du véhicule.
Source : Annick Carrière
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