jeudi 25 mai 2017

5 questions sur le changement pour y arriver vous aussi!

Souvent, on souhaite changer un aspect de notre vie, mais on ne sait pas comment y parvenir. D’autres fois, on se sent insatisfait, mais on n’arrive pas à savoir quel changement amorcer. Dans leur livre Le changement vous appelle… Répondez!, Annie Germain et Marie-Christine Duquette abordent divers aspects du changement. Misant sur leur propre expérience professionnelle, elles nous livrent des trucs, des réflexions, des conseils et de nombreux témoignages inspirant pour nous guider sur le chemin du changement positif.

1. Changer : est-ce vouloir être différent? Qu’est-ce que ça signifie?

Changer ne signifie pas vouloir être différent, mais plutôt être davantage nous-mêmes, c’est-à-dire honorer dans une plus pleine mesure notre véritable essence, que nous découvrons au jour le jour et sur laquelle nous faisons le choix de miser. Investir en soi n’est-il pas le placement le plus rentable qui soit?

Donc, changer signifie prendre la décision de nous choisir et d’ajuster ou d'améliorer un aspect de notre vie. En quelque sorte, il s'agit de le transformer pour qu’il corresponde davantage à nos besoins, nos valeurs, nos aspirations qui sont tous sauf immuables! En fait, nous considérons véritablement le changement comme étant un grand allié que nous pouvons mobiliser chaque fois que nous en ressentirons son appel. Il nous permet de déployer ce que nous portons en nous, telles des compétences, des valeurs et des ressources, pour favoriser notre croissance et notre bien-être!

2. Que doit-on faire avant d’enclencher une démarche de changement dans notre vie?

Nous questionner est certainement un bon point de départ lorsque l’appel du changement se fait sentir puisque cela nous permet d’y voir plus clair. Où en sommes-nous présentement dans notre vie et où désirons-nous aller? Par exemple, nous pourrions nous demander ce que nous ressentons face à notre situation actuelle : vivons-nous des conflits intérieurs, des insatisfactions ou aimerions-nous améliorer ce qui va déjà bien? Aimerions-nous apporter un changement en lien avec ces aspects? Si oui, en quoi ce changement pourrait-il consister? Puis, qu’est-ce qui nous appelle présentement? Pour y répondre plus facilement, nous pourrions nous questionner sur nos besoins non comblés ou nos valeurs.
Par exemple, quels compromis ne sommes-nous pas prêts à faire actuellement? Puis, nous fixer un premier objectif nous permettra d’améliorer notre état actuel tout en gardant le cap sur ce qui est important pour nous. D’ailleurs, ce livre propose une section complète pour aider le lecteur à clarifier le sens de l’appel du changement ressenti et à se fixer un objectif respectueux de la réalité.

3. Dans le livre, vous suggérez de voir notre vie comme un plateau de jeu. Pourquoi cette comparaison?

Nous avions à cœur de proposer un ouvrage pratique, mais aussi ludique. L’idée d’utiliser une analogie nous est venue alors que nous avons visualisé un immense plateau de jeu sur lequel nous nous sommes imaginées cheminer toutes les deux. Le fait de l’utiliser nous amène à faire preuve de recul pour voir plus clair dans notre vie. Le jeu est souvent associé au moment présent, aux possibilités d’avancer pour atteindre un but, une mission. Finalement, grâce à ces éléments, nous pensons que cela permettra aussi au lecteur de se créer des images mentales qui favoriseront la rétention de l’information lue et donc son cheminement sur la route de son changement.

4. « J’ai trouvé plusieurs changements à apporter dans ma vie. Peut-on changer plusieurs choses en même temps? Peut-on voir trop grand? »

Nous pensons que prioriser un changement à la fois est l’idéal puisque celui-ci nécessite de notre part des actions engagées et qui dit engagées dit aussi énergie! Un changement que l’on opère nous amène à expérimenter une sortie de zone de confort qui peut parfois être déstabilisante par moments et qui nous demandera alors de mobiliser notre patience et notre persévérance. Nous pouvons voir très grand tout en commençant par un seul objectif. Alors, en nous le fixant et en nous engageant dans la poursuite de cet objectif, nous nous permettrons de le vivre pleinement et consciemment et, en plus, nous nous offrirons l’opportunité d’influencer positivement les autres sphères de notre vie.

5. « Quand je parle de mon projet de changement autour de moi, je récolte de la méfiance et des commentaires négatifs. Ça me fait douter. Que faire? »

Nous avons nous-mêmes vécu cette situation quand nous avons commencé à parler ouvertement de notre désir de changement professionnel. Certains propos peuvent effectivement amener des réflexions et des doutes et ils peuvent aussi être bénéfiques en nous amenant une nouvelle perception de notre vécu. Ceux-ci peuvent nous permettre de prendre du recul afin d’y voir plus clair. Il est intéressant toutefois de se rappeler que, comme nous l’expliquons dans le livre, la perception de la personne qui vous fait un commentaire est subjective, comme la vôtre d’ailleurs!
Les autres n’ont pas nécessairement les mêmes valeurs ou aspirations que vous, ou, encore, peut-être désirent-ils combler leurs besoins de façons différentes. Comme nous, saisissez cette occasion et voyez à la transformer en une opportunité de valider votre désir de changement. De notre côté, ces commentaires nous ont, en quelque sorte, motivées à honorer notre vision respective.

Source : www.canalvie.com

Maîtriser l’art de décrocher (et pas juste en vacances!)


Arrivez-vous à oublier le travail pour vous adonner à autre chose? La capacité de décrocher est un talent ou mieux, un art. Le maîtrisez-vous?

Vous n’en pouvez plus d’attendre les vacances? Il y a pourtant bien d’autres occasions de lâcher prise tout au long de l’année : les pauses, l’heure du lunch, les soirées, la nuit, et bien sûr, les fins de semaine.

Plusieurs personnes éprouvent des difficultés à prendre une distance par rapport au boulot. Elles y repensent constamment, en parlent et en reparlent au grand dam de leur conjoint ou de leurs amis proches. Le travail semble toujours présent dans leur tête. Certains n’arrivent même pas à décrocher après avoir discuté au cellulaire ou après avoir écrit un message texte à un collègue ou à leur patron.

J’ai déjà entendu des clients se justifier en disant « mon travail me passionne tellement » ou « je suis tellement responsable ». Mais ce sont là des excuses trop faciles.

5 astuces pour pratiquer l’art de décrocher

Le premier pas pour apprendre à décrocher est de réaliser qu’on peine à le faire. Voici donc quelques stratégies qui vous aideront à développer cette capacité.

Vous repensez au travail? Arrêtez immédiatement, changez de lieu et faites autre chose pour vous occuper. Utilisez votre déplacement entre le bureau et la maison comme trait d’union entre votre vie professionnelle et votre vie personnelle.

En auto, écoutez de la musique ou les informations du jour. Dans le métro, le bus ou le train de banlieue, lisez un bon livre, faites des mots croisés ou un Sudoku.

Un problème vous hante? Fixez-lui un rendez-vous pour y réfléchir à 100 %, pendant 30 minutes ou une heure. Écrivez-le sur un bout de papier, rangez celui-ci et notez bien la date et l’heure de votre engagement. D’ici là, défense stricte d’y penser. Ça marche si vous êtes conséquent avec votre engagement.

Avant d’entrer au travail, engagez-vous à prendre un café afin de réfléchir sérieusement à une situation, ou encore, proposez à un collègue un rendez-vous à l’heure du lunch afin d’en parler ensemble.

Vous devez demeurer en lien avec votre travail pendant vos vacances? Voyez à minimiser le temps consacré à vos tâches : soyez efficace et coupez radicalement le contact lorsqu’elles sont terminées, puis activez-vous rapidement à autre chose.

Chaque chose à sa place

Pour décrocher réellement, il faut avant tout devenir plus zen, et savoir laisser le travail au travail. Lorsque vous le quittez, reprenez vos autres rôles : le conjoint ou la conjointe, le parent, la compagne ou le compagnon, l’ami(e). Ces autres facettes de votre personnalité méritent aussi d’être vécues pleinement. Vous connaissez le dicton : « une place pour chaque chose et chaque chose à sa place ». Visez l’équilibre.


Cet été, pratiquez l’art de décrocher et profitez au maximum des moments de relâche!

Source : http://www.jobboom.com

jeudi 18 mai 2017

Campagne de financement en SASI

Les élèves du secteur de la santé font actuellement leur campagne de financement pour le stage de SASI à l'étranger. 

15 mai au 10 septembre 2017

Si vous souhaitez placer une commande, veuillez communiquer avec Manon Houle par courriel.

Source : Manon Houle, enseignante au secteur Santé


Remise de bourses du CPA

Le 8 mai dernier, monsieur Marco Labrie, directeur général du Comité paritaire de l'automobile de l'Estrie, a remis des bourses à nos élèves des secteur de Mécanique automobile et de Carrosserie.

Les candidats lauréats des bourses sont :


Stephan Goudreau-Jubinville
Étudiant finissant en Carrosserie pour une bourse de 750 $



Gabriel Boulet
Étudiant finissant en Carrosserie pour une bourse de 750 $



Zacharie Maltais
Étudiant finissant en Mécanique automobile pour une bourse de 500 $



Ioannis Karadimos
Étudiant ¾ du parcours en Mécanique automobile pour une bourse de 500 $
      

                                           
René Lamontagne
Étudiant ½ du parcours en Mécanique automobile pour une bourse de 500 $

Félicitations!

Source : Annick Carrière, conseillère d'orientation

Documents ajoutés sur le PARTAGE

Comité TIC


-  Compte rendu du 27 mars 2017


Comité de perfectionnement décentralisé

-  Compte rendu du 28 septembre 2016
-  Compte rendu du 25 janvier 2017


Comité Soutien à la réussite

-  Compte rendu du 27 mars 2017

APPAMM Estrie - Les Troubles anxieux


jeudi 11 mai 2017

La maladie, LE MAL A DIT… La relation entre les émotions et les maladies

Toutes les émotions que vous refoulez à l’intérieur de vous-même parce que vous ne pouvez pas ou ne voulez pas les verbaliser, peuvent se cristalliser dans différentes parties de votre corps.

Les émotions génèrent des symptômes physiques, par exemple LA PEUR, L’ANGOISSE donnent des palpitations cardiaques, des vertiges, sueurs, tremblements ou mains moites.

  • LA PANIQUE peut provoquer des diarrhées.

  • LA COLÈRE retenue ou LA RANCUNE : une crise de foie.

  • LA DIFFICULTÉ A TROUVER OU A PRENDRE SA PLACE  peut provoquer des infections urinaires à répétition.

  • QUELQUE CHOSE QU’ON NE VEUT PAS ENTENDRE OU QUAND ON NE VEUT PAS S’ÉCOUTER, des otites, douleurs d’oreilles.

  • QUELQUE CHOSE QU’ON N’A PAS OSÉ DIRE, QU’ON A RAVALÉ, une angine, des maux de gorge.

  • UN REFUS DE CÉDER, DE PLIER, D’OBÉIR OU DE SE SOUMETTRE, des problèmes de genoux.

  • PEUR DE L’AVENIR, PEUR DU CHANGEMENT, PEUR DE MANQUER D’ARGENT, des douleurs lombaires.

  • INTRANSIGEANCE, RIGIDITÉ, douleurs cervicales et nuque raide.

  • CONFLIT AVEC L’AUTORITÉ, douleurs d’épaules.

  • TOUT PRENDRE SUR SOI, également douleurs d’épaules, sensation d’un fardeau.

  • SERRER LES DENTS POUR AFFRONTER QUELQU’UN OU UNE SITUATION SANS RIEN DIRE…douleurs dentaires, aphtes, abcès.

  • PEUR DE L’AVENIR, DIFFICULTÉS A ALLER DE L’AVANT, OU BESOIN DE « LEVER LE PIED »: douleurs dans les jambes, les pieds, les chevilles.

La colonne vertébrale est aussi un merveilleux terrain d’investigation de toutes nos émotions refoulées (voir l’illustration ci dessous).




Un groupe de Dessin de bâtiment visite Boston

En avril, les profs de Dessin de bâtiment ont fait un petit voyage architectural avec 11 de leurs élèves dans la belle ville de Boston.

Voici quelques photos représentatives de ce beau périple.







 

Source : Micheline Jourdain, enseignante en Dessin de bâtiment

jeudi 4 mai 2017

Document ajouté sur le PARTAGE

Conseil d'établissement

- Compte rendu du 20 février 2017

Soirée reconnaissance 2017

Un certificat d’honneur et de reconnaissance a été remis à Madame Lise Couture, enseignante du programme Service de la restauration, lors de la soirée des bénévoles de la CSRS. Ses actions bénévoles et son dévouement auprès de la Fondation du Centre 24-Juin ont permis d’aider plusieurs élèves en difficultés. Nous lui en sommes très reconnaissants.


Sur la photo : Hélène Lauzier, commissaire, Lise Couture et Julie Caron.


Source : Annick Carrière